Et oui, je dois bien vous admettre que j’éprouve une certaine fierté de voir aujourd’hui l’arrivée de mon nouvel album « Super CJ Land » sur l’iTunes Store, Spotify, Amazon ou encore Juno Download, bref la plupart des sites de vente de musique dématérialisée. Certes, je m’écarte du circuit de la distribution libre et gratuite que je proposais par le passé et ce, afin de pouvoir bénéficier de ces réseaux pour faire découvrir mes BliipBliips à un plus large panel !
Très prochainement je vous ferais découvrir les versions collectors de l’album, qui seront proposées via BandCamp… CD dédicassés, cartouches GameBoy à l’effigie de l’album et peut-être bien des GameBoy custo… tout cela se met à l’étude.
J’espère que vous appréciez ce long travail musical !
Encore merci à tout ceux qui m’ont aidé récemment dans ce projet : Vadu, Pete Corvus, Shortcut, Tohad, Pype, Pierrick, Matt, LLB, Zavie,…
Et oui, merci Saint Nicolas d’avoir encore une fois gâté cette bande de petits loulous ! Quelle organisation pour arriver à tout goupiller sur un weekend, palier aux retards de livraison Amazon, aux décisions de dernière minute, tout en gardant la surprise maximale ! Les miss (2 ans) étaient toutes contentes des surprise de « Colas »… Charly s’est montré plus mitigé. Entre ce petite air de « je suis content, mais je garde mes émotions en faisant le timide » et « c’est pas vraiment ce que j’avais envie »… Au final, les sourires sont quand même là sur les photos !
Playmobil – le bateau pirate 2013Playmobil – la cabane dans les arbres
Clairement, le petit monde de pirates a un vrai succès, même s’il occupe toute la table à manger ! Et papa s’amuse tous les soirs à le reconstruire et mettre en scène de nouvelles histoires de pirates (héhé, merci Saint Nicolas !). Je m’étais creuser longtemps la tête sur un jeu avec des cordes et des ficelles, ce dont Charly raffole ! Et l’on peut dire qu’il est servi !
Invité de dernière minute, un petit Furby bleu. Il faut bien admettre que les nouveaux modèles sont assez bien réussi. On peut même interagir avec eux depuis son smartphone ou sa tablette… et le nourrir de hamburger. Évidemment, cela reste un petit robot fragile et il faudra surveiller les séances de jeux pour ne pas qu’il tombe de trop !
Fisher Price – tourne disque vintage
Je reste par contre un peu déçu des ré-éditions « vintage » de Fisher Price. Alice et Juliette ont notamment reçu la ré-édition du tourne-disque, jouet incontournable à la fin des années 70. Si bien sur, le concept même d’un tourne disque parle peu à un enfant moderne, pouvoir changer de musique une grosse « boite à musique » me plaisait beaucoup. Malheureusement, comme pour la nouvelle caisse enregistreuse, ce jouet Fisher Price est construit dans un plastique bien moins noble qu’à l’époque. Et comble, nécessite des piles ! En effet, les musiques ne sont plus réellement stockée sur les disques de manière physique (avec des petites encoches), mais plus que probablement dans des puces électronique, puis rejouée et amplifiée par un haut parleur et non une vraie boite à musique ! Pour un produit élu jouet de l’année par Le Ligueur, c’est décevant !
Quoi qu’il en soit, même si papa est déçu de la fabrication, autant la caisse enregistreuse que le tourne disque sont très appréciés par les enfants !
Et dire que maintenant, il faut déjà faire le sapin de Noël et organiser les fêtes de fin d’année ;)
The Legend of Zelda : Link’s Awakening – GameBoy (Nintendo, 1993)
Il y a bientôt vingt ans, je découvrais pour la première fois les aventures de Link avec Legend of Zelda sur la Nintendo GameBoy de mon ami Alain. Ce n’était certes pas le premier épisode de la série, mais c’était pour moi une première rencontre, et même le premier jeu d’aventure que j’allais découvrir. L’épisode GameBoy était magnifique, probablement l’un des plus beaux jeux sur cette console, avec une ambiance toute particulière que je n’ai d’ailleurs jamais plus retrouvée dans les autres aventures de la série… Pour moi qui avait alors 16 ans, toutes ces mécaniques de jeux étaient nouvelles. Se promener dans les villages, la forêt, discuter avec les personnages comme j’avais à le faire dans un Monkey Island pour résoudre des énigmes… tout en devant trouver une épée pour combattre les ennemis, une plume pour sauter au dessus des trous, un gant pour porter des cailloux bloquant le chemin, un coquillage pour une petite sirène,… Legend of Zelda arrivait à mélanger tous les styles de jeux que je connaissais jusque là, de l’action, de la réflexion (avec des énigmes dignes du pousseur de caisse de Sokoban), de la recherche d’objet, de l’amélioration de pouvoir, une histoire enivrante et des personnages attachants.
Au printemps dernier, Nintendo annonçait un tout nouvel épisode des aventures de Link développé sur la console portable 3DS. Abandonnant le concept graphique des épisodes précédent Phantom Hourglass que je ne trouvais pas vraiment sympathique, le style ce veut être en hommage aux épisodes du début des années 90, plus spécialement l’épisode sur Super Nintendo : A Link to the past qui fut développé en parallèle de la version GameBoy.
The Legend of Zelda : Link between worlds – 3DS (Nintendo, 2013)
Bref, en début de semaine, j’allais pouvoir trouver un petit 1/4 d’heure pour enfin déballer Legend of Zelda – A link beetween worlds, la suite spirituelle de l’épisode Super Nintendo de 1992. Comme à mon habitude, j’avais essayé de ne pas trop suivre les actus sur le jeu, histoire de me réserver le plaisir de découvrir, d’ailleurs c’était même un peu surpris que j’avais vu qu’il sortait le 22 novembre, à un prix très compétitif de 32€ sur Amazon ! En quelques secondes, j’étais déjà sous le charme.
« Aufait Pitu, c’est quoi une sauvegarde ? Je suis petit, alors je ne sais pas ce que c’est… »
Rien que par cette petite phrase, je faisais un bon de vingt en arrière… pour me retrouver sur Cocolint, l’île où se déroule les aventures de Links sur GameBoy, où les petits enfants que je pouvais y rencontrer me donnaient des brides d’infos sur les commandes de base avec des expressions bien similaires. Le style graphiques des épisodes SNES et Gameboy étant très similaire, avec ou sans couleur, je replonge vraiment dans les moments magiques où je me calais dans mon lit à jouer à jouer tout l’après-midi à Zelda, jusqu’à ce que mes piles commencent à fléchir…. Mais bon, un petit coup de « girouette » pour sauvegarder, car j’ai des montages vidéos à finir !
Oui, difficile de coupler jeux-vidéo, enfants et boulots, boulots… quoi qu’il en soit, j’ai tout même pu me trouver d’autres petits moments détentes pendant la semaine… le temps de visiter le cimetière et constater que pour un début, les énigmes impliques déjà un peu de réflexion pour une personne ne connaissant pas du tout les mécaniques de Zelda… et de la logique sans s’encombrer d’un tutoriel pour les habitués… Je dois avoir grosso modo 40 minutes de jeux pour l’instant, et j’ai visité la carte d’est en ouest. J’ai déjà dû jongler entre épée, arc à flèche, soulever des cailloux, allumer des torches et me protéger avec mon bouclier. Difficile de comparer avec A Link to the past sur Super Nintendo, je n’ai jamais été très bon à cet épisode, mais comparativement à l’aventure GameBoy, il faut déjà pas mal jongler entre le A,B,Y et R.
Alors à vous dire également, je trouve la 3D vraiment bien utilisée. Elle donne vraiment un effet de profondeur réussi, lorsque l’on soulève des objets, lorsque les ennemis sautent par dessus notre petit héros. En contrepartie, Link n’a pas encore eu recours au fameux pouvoir de se transformer en peinture… ce qui est pour l’instant ma plus grande crainte quand aux modifications du gameplay que cela pourrait apporter.
Bon, vivement la prochaine session ! … et j’espère que j’arriverais à y donner goût à madame.
« Cher Saint Nicolas, j’ai été très très sage ! J’ai taché d’être un papa modèle, toujours bien gentil avec mes petits bouts, j’ai vidé le lave-vaisselle quand il le fallait, j’ai passé l’aspirateur, payer mes factures en temps et en heure, mon patron est très content de moi, et je m’occupe bien de ma petite femme aussi !
Je suis certain qu’à ce prix là, personne ne te fera de reproche si tu déposais discrètement les dernières aventures de Zelda pour 3DS dans mes crocs que j’aurais laissé trainé (exprès bien sur) à coté de celles des enfants…
Je n’ai jamais douté de toi, de ton efficacité, et même encore maintenant, je continue à dire beaucoup de bien de toi…. »
Et oui, chez nous les p’tits belges, c’est le 6 décembre que Saint Nicolas arrive son âne et le père fouettard qui n’est pas noir déposer plein de joujoux. Et Saint Nicolas il a tout compris depuis longtemps, là dans les nuages, il travaille dans le cloud : Broze, Carrefour, Cora, Dreamland, Amazon, Oxybul,… il répartit sont travail pour que chacun de nos petits bambins puissent crier « Merci Saint Nicolaaaas ».
Avec maintenant 3 enfants à la maison, 3 nièce/neveux et les filleuls… cela fait du travail à la maison, et en sachant que l’anniversaire des filles sera ce weekend, et donc à quelques semaines de Saint Nicolas, il vaut mieux être organisé !
Alors, cette année, j’ai fait comme Saint Nicolas, j’ai utilisé le Cloud. Avec mon Smartphone, je fais des photos et du repérage dans les magasins de ce qui m’intéresse, j’ai aussi pris en photo tout ce que j’avais trouvé sur les bourses et brocantes… le tout s’auto-envoie sur DropBox. J’en profite pour mettre à jour toutes ces infos via Evernote, et faire une galerie privée dans Facebook… J’ai tout sous la main et je peux à tout moment mettre ma Snorkys au courant et discuter du sujet…
Après il n’y a plus qu’à s’assurer que la lettre à Saint Nicolas de Charly arrive à bon port… parce que c’est quand même plus sympa que de lui écrire un mail !