C’est sous le label « Strayboom » que Vincenzo et Nécropolo, issus du monde de la demoscène nous propose de découvrir un album énergique de SID Metal, ce genre de musique qui mélange la guitare énergique et nerveuse et les bliiip bliiiip du Commodore C64 ! Je vous invite à écouter « Bleep & Destroy » cet excellent mini EP de 6 titres sur Bandcamp !
Je pense bien n’avoir jamais pris le temps de partager avec vous mon projet d’autobiographiemusicale : « Every song has a story« . Avec un peu plus de 1500 musiques composées, essentiellement avec des outils de SoundTracking depuis 1995, j’ai évidemment de la matière, d’autant que le format de l’époque me permettait de laisser pas mal de note sur ce qui m’avait emmener à réaliser ces différentes créations, les projets fous que j’avais alors, les techniques pour détourner les limites techniques de l’époque… ou simplement des anecdotes.
Depuis 10 ans, le site en version « Beta » a déjà été alimenté des 560 premières créations, soit des années 1995 à la moitié de l’année 1998. Il y a donc encore un travail de titan version fourmi à faire, mais j’ai récemment remis un peu au gout du jour l’interface web vieillissante.
Je vous invite donc à découvrir par exemple Océanne 3D, l’une de mes plus compositions de Scenemusic ; Hey Now, prouesse technique de remix d’un groupe flamand de Girls Band ; I Gonna live my life with you, inventé durant les cours à l’IAD ou encore Carine , titre que j’imaginais nous ouvrir les portes de Pour la Gloire…
Chaque billet est bien entendu accompagné de la bande son de toutes ces créations et propose également de télécharger le fichier source au format .IT, .S3M, .XM, .MOD, …
Après de longs mois à côtoyer diverses personnes liées au monde de la musique et tout particulièrement mon ami Didier Rombauts qui excelle dans la composition symphonique je me suis ouvert moi aussi à d’autres facette musicale. Ce slow au titre peu originale, il est vrai, était pour moi la parfaite équation du grand classique de variété française de la fin des années 90. Une arrangement piano entraînant, une mélodie légèrement mélancolique il n’y manquait donc que la voix d’une chanteuse tel que Céline Dion, Zazie, Lââm ou Lara Fabian…
D’ici quelques jours, il sera temps de dire au revoir à notre « VW Fourre-tout » que nous avons eu l’occasion de tester quelques semaines, notamment lors de nos vacances en Bretagne en famille dont je vous parlerai prochainement.
Depuis que notre famille est passée en mode 6, je garde à l’oeil le Van VolksWagen T6. J’avais d’ailleurs l’année dernière été régulièrement prendre des mesures et comparer l’espace intérieur de notre actuelle VW Maxi Caddy, le VW Multivan T6 et la VW Sharan.
VW Multivan T6 7 Places
VW Multivan T6 7 Places
VW Multivan T6 7 Places
VW Sharan 7 places
VW Caddy Maxi 7 places
Rapport espace de stockage / transport de passagers / prix, la VW Caddy Maxi reste évidemment le probable meilleur choix, et c’est à nouveau vers cette dernière que j’ai reconduit ma confiance. La Sharan, plus couteuse, offre plus de confort tant que les 2 derniers passagers sont temporaire. Les sièges strapontin restent pour moi moins adaptés coté sécurité, moins confortable et bien entendu il ne reste presque plus de place dans le coffre ! Le Multivan n’est pas vraiment plus long que la Caddy Maxi, mais est surtout plus large, ce qui rend l’espace intérieur bien plus confortable, elle est part contre beaucoup plus haute, dépassant les 190cm, ce qui a été mon frein quant à son choix.
Les informations quant aux mensuration du T6 de VW sont assez obscures. On y trouve des modèles à 190,9cm à 193 cm ou encore 197cm. Il y a le modèle Transporter, Combi, Caravelle, Multivan, California… et enfin 3 longueurs différentes.
Au moment de recevoir mon Van, on m’avait annoncé le VW « Minibus » ! Après vérification, on m’a confirmé qu’il s’agissait du modèle « Caravelle ». Sur le véhicule il est ciblé comme « Transporter » et dans les documents de celui-ci, ce dernier est référencé comme « Combi ». A regret, j’ai pu très vite constaté que le modèle mis à disposition était bien en retrait des standards de confort du modèle Multivan pas de rangement à l’arrière, pas de siège passager réglable, ni même de commande de contrôle au volant ou de Cruise Control… Et d’aspect extérieur, mon gros fourre-tout noir de 5,3m est loin d’avoir l’allure de la belle édition 20 Years rouge et blanche.
En cherchant ce matin la raison de pourquoi les photos de mon smartphone ne se synchronisaient plus vers mon compte Dropbox, j’ai constaté dans les menu de l’application, en rouge, que je dépassais mon quota d’appareils connectés !? Sur mes 23 devices, seuls 3 me sont autorisés à mon compte « Basic », le compte gratuit de l’application web de synchronisation de fichiers dans le cloud que j’utilise depuis plus de 10 ans !
D’une rapide recherche sur la toile, je découvre donc que depuis la mi-mars, Dropbox a décidé de limiter le nombre de machines synchronisables sur les comptes gratuits, rendant pour ma part son utilisation totalement impossible telle quel.
Ai-je d’autres alternatives que de passer à un abonnement « Plus » à 99€/an ? Si à titre professionnel, je dispose d’un équivalent à Dropbox propre à mon employeur, j’ai malgré tout besoin pour mes autres activités besoins de pouvoir accéder à mes contenus « Dropbox » à tout moment sur 2 smartphone, 2 tablettes et un minimum de 5 ordinateurs… Mais quoi qu’il en soit, la force de Dropbox était que je pouvais avoir sur n’importe lequel des ordinateurs, tablettes ou smartphone que j’utilise au quotidien tout une série de document et surtout de photo « mémo » ainsi que l’assurance que tout les contenus que je crée depuis mes Smartphones s’y retrouvent automatiquement ! Difficile de trouver mieux ailleurs.
Alors que la Game Boy souffle ses 30 bougies, l’équipe de Press-Start en profite pour poursuivre son projet « Full Set Quest » qui a pour ambition de se poser sur les 444 jeux sortis en Europe sur la portable de Nintendo.
Navy Seals – Press-Start
J’avais déjà grandement apprécié la chronique dédiée au jeu Navy Seals l’année dernière, un jeu d’action parmi les premiers découverts à la sortie de la Game Boy. Un titre difficile mais que j’appréciais malgré tout car,… signé Ocean Software, une boite que j’appréciais beaucoup et que je connaissais du monde du Commodore 64… D’ailleurs Navy Seals est tout à fait dans la vague des jeux sortis sur mon micro-ordinateur préféré mais j’ignorais totalement que celui-ci était issu d’un film éponyme.
Une fois de plus, Ocean a adapté un film à succès en jeu vidéo et a encore une fois réussi son coup. Même si vous ne faites pas un fullset, Navy Seals est un jeu que je conseille pour son fun, sa difficulté et son respect de l’oeuvre originale dont il a été adapté. (Un article à lire sur Press-Start)
Aujourd’hui, c’est autour des Blues Brothers de monter sur scène, or je suis un grand fan de Blues Brothers. Non pas du film, mais bien du jeu et de manière générale des créations du studio français Titus à qui l’on doit également Prehistorik et Les Aventures de Moktar/Titus the Foxsur lesquels j’ai déjà eu l’occasion de m’attarder par le passé.
Fin 1991, débarque Blues Brothers
La fin de l’année 1991 approche et mon ami Alain a reçu une série de nouveaux jeux sur son PC 286 fraichement équipé d’une carte son Sound Blaster et nous découvrions alors deux jeux développés par Titus, la démo de Préhistorik et The Blues Brothers. C’était une révolution pour nous à l’époque avec ces premie jeux en 256 couleurs et des chouettes musiques qui venaient remplacer le biip biip du PC-Speaker.
The Blues Brothers – Press Start
The Blues Brothers, avec le recul fait évidemment penser aux jeux Tic & Tac : Rangers du Risque sorti un peu plus tôt sur la console NES de Nintendo mais que nous découvrions en paralèlle sur les bornes de démonstrations du Maxitec pendant les fêtes de fin d’année. Le jeu de Titus se présentait comme un titre dans lignées des jeux consoles avec un gameplay proche dans la mesure où notre musicos peut ramasser des caisses qu’il pourra ensuite balancer sur la tête de ses ennemis. Sur PC, hormis le scrolling brutal d’écran par écran, le titre se montrera plus interssant que Tic & Tac avec beaucoup de variété en sein même d’un même niveau !
Une petite pépite de la portable de Nintendo. Une bande son au top, une jouabilité bien foutue et des détails épurés permettent au titre de prendre une place de choix dans la plupart des ludothèques. On regrettera peut-être de ne pas avoir la possibilité de passer dans une difficulté plus élevée et de n’avoir « que » 5 niveaux à parcourir. (Un article à lire sur Press-Start)
Je n’ai découvert que tardivement la version Gameboy dont le portage était assez réussi. Titus maitrisant assez bien le portage de son moteur « plateformer » sur la portable de Nintendo, là où la version NES par contre est assez catastrophiquement pauvre !
J’ai récemment retrouvé également la version Commodore 64 qui souffre, elle, d’une bande son calamiteuse, alors que la machine aurait permis à cette époque de faire quelques chose de beaucoup plus réussi !
On fait l'impasse sur beaucoup de graphismes dans la version NES - The Blues Brothers - NES (Titus, 1992)
Sur le Commodore 64, cela manque un peu de lisibilité ! The Blues Brothers - C64 (Titus, 1991)
The Blues Brothers - PC (Titus, 1991)
Le portage GB tiens parfaitement la route ! The Blues Brothers - GB (Titus, 1992)
Captures d’écran utilisées à titre personnel, d’illustration et d’archive respectant le cadre du “Fair Use“, issues en autre de Mobygames
Bref, The Blues Brothers fait partie de ces jeux mythiques qui ont façonné un plaisir de jeux que je cherche à retrouver dans les jeux dit « de plate-forme » et est donc pour moi une référence quand je pense à la création d’un jeu de ce genre, comme j’aurais prochainement l’occasion d’en parler lorsque je m’arrêterais sur le projet « Spector ».