Depuis que je suis passé de Windows 7 à Windows 10 fin de l’année dernière, voilà déjà par 3x que je dois aller ré-activer le protocole SMB1 de mon PC afin de pouvoir créer un accès direct vers les répertoires partagés tant de mes MACs que de mon NAS Synology.
Récemment passé de Windows 7 à Windows 10, voici un petit tutoriel que j’ai dû suivre pour pouvoir à nouveau me connecter à mon NAS via le protocol SMB.
Afin de ne plus chercher midi à quatorze heure comment remettre cela en place lors de chaque Mise à Jour importante de Windows 10 (Merci ‘Crosoft.) Je me garde ici la procédure pour activer la fonctionnalité Windows
1. Ouvrez la barre de recherche dans Windows 10 Tapez « Fonctionnalités Windows« Cliquez sur Activer ou désactiver des fonctionnalités Windows qui vous est proposé
2. Faites défiler la liste jusqu’à Support de partage de fichiers SMB1.0/CIFS 3. Cochez toutes les cases dans Support de partage de fichiers SMB1.0/CIFS
C’était l’hiver précédent, après avoir longuement préparer mon plan d’attaque, j’avais réussi à acheter la PlayStation 5, alors en difficulté d’approvisionnement. En réalité, à cette époque, il était presque impossible d’acheter une console seule, et dans le pack proposé par les différents magasins, se retrouvait régulièrement un abonnement d’un an au PlayStation Plus d’une valeur de 59€.
Après avoir un peu attendu, j’ai fini par activer celui-ci en juillet 2022, alors que le service Sony complexifiait un peu son offre entre la version essential (59€/an), extra (99€/an) et premium (119€/an).
Le premier argument de vente de ce genre d’abonnement est de rentabiliser le jeu en ligne et les serveurs mis à disposition. Un choix de la marque depuis l’arrivée de la PlayStation 4. Dès lors, ne jouant JAMAIS à des jeux en réseaux, le PlayStation Plus n’avait que peu d’intérêt pour moi.
En parallèle, deux ou trois jeux sont proposés gratuitement aux abonnés chaque mois. Une fois « ajoutés » à votre collection, qu’ils soient téléchargés ou non, ils seront liés à votre compte PlayStation, que vous renouveliez ou pas votre abonnement !
Je pourrais ajouter que pendant mon année de découverte, Sony offrait également de manière temporaire un accès à un large choix de jeux supplémentaires issus du catalogue classique de la PlayStation 4 pour renforcer le lancement de sa 5° console. L’accès à ceux-ci disparaissant au mois de mai 2023.
Arrivé au terme de mon abonnement, c’est donc une bonne occasion de faire un bilan des jeux offerts durant ces 12 mois, soit pour un prix de 5€/mois et envisager ou pas, de reconduire l’abonnement proposé temporairement à 44€ pour l’année.
Sur ce laps de temps, ce sont donc 36 jeux qui auront été offerts. Parmi ceux-ci, certaines licences relativement fortes tels que Need For Speed, Mass Effect, Star Wars, Battlefield ou encore Call of Duty. Mais vous ne serez pas surpris de savoir que beaucoup de celles-ci ne m’intéressent absolument pas, je n’ai d’ailleurs pas choisi de les ajouter à mon catalogue de jeux en ligne !
J’avais un peu peur de me retrouver avec des titres que je possédais déjà, mais finalement ce ne fut le cas que pour deux titres : LEGO Harry Potter Collection et Alan Wake.
Crash Bandicoot 4 : It's all about time - PS5 (Activision - Toys for Bob Inc. 2021)
Tony Hawk's pro skater 1 + 2 - PS5 (Activision - Vicarious Visions, 2021)
Need for Speed : Heat - PS4/PS5 (Electronic Arts - Ghost Games, 2019)
Grand Blue Fantasy : Versus - PS4/PS5
Toem - PS5 (Something we made, 2021)
Hotwheels Unleashed - PS5 (Milestone, 2021)
Heavenly Bodies - PS5 (2pt Py Ltd. 2021)
Lego Harry Potter : Collection PS4/PS5 (Warner Bros. Int. - Travleller's tale, 2016)
Biomutant
Star Wars : Jedi - Fallen Order PS5 (Electronic Arts - Respawn Ent. 2019 - 2021)
Héhé, si vous êtes allés voir, comme nous, le nouveau film Lady Bug et Chat Noir au cinéma, aurez-vous retrouvé toutes les Volkswagen qui s’y cachent ?
Cela n’a pas échappé à mon oeil averti. Si certaines sont immanquables, plusieurs autres déclinaisons colorées des modèles électriques ID se cachent dans le film… dont un concept car qui rappelle la Bettle. Le film, si vous aimez la série télévisée, vous ne serez probablement pas déçu, même si l’histoire est parfois un peu décousue entre la première transformation et le premier ba… (ah shuuuut, ok)
Je suis bien content de retrouver la chanteuse Lou dans les très nombreuses chansons qui accompagnent le film… même si son grain de voix a pris une certaine distance avec la voix énergique de Marinette. On sent une envie de coller à l’esprit Disney tout en cherchant à replacer les notes du génériques… mais trop…. Ce n’est plus Noam à l’écriture des chansons. Les connaisseurs, savaient peut-être que l’interprète de Goldorak avait poursuivi sa carrière en composant différentes musiques et génériques TV avec un retour réussi avec le générique de Miraculous Lady Bug.
Les bandes sons et toute la production du film restant sous le contrôle de Jéremy Zag, producteur de la série.
Quoi qu’il en soit, Lady Bug reste l’héroïne de la génération de mes enfants, dont la série de dessin animé est l’une des seuls à avoir su surfer sur la réussite et l’ambiance de la génération dorée Dorothée, et cet adaptation sur grand écran est fut un moment familial que chacun aura apprécié, et cette réussite est suffisante pour masquer le creux de scénario entre les chansons, et offrir un petit point bonus supplémentaire à ma note !
Développé par Data East et sorti en 1982 sur borne d’arcade, j’ai découvert Burger Time parmi les petits jeux à écran fixe de mon Commodore 64 assez rapidement entre 1984 et 1985. Sans être un des titres qui m’aura marqué à l’époque, je me souviens avoir trouvé le concept de faire des sandwichs assez amusants, et il me faudra d’ailleurs quelques années pour en comprendre le titre. Car chez nous, à cette époque, nous n’avons jamais entendu parler de « burger » ou de « hamburger » !
Publicité pour la borne d’arcade de Burger Time distribuée par Midway
Néanmoins à cette époque, j’ai déjà eu l’occasion de découvrir quelques jeux avec défilement d’écran que je trouve donc bien plus intéressants que les petits jeux de plateformes et d’échelles sur lequel repose Burger Time.
Malgré tout, avec ces burgers à préparer en marchant sur les différents ingrédients, le titre se montre un peu plus amusant qu’à devoir simplement ramasser des clés ou divers autres bonus. Il faut évidemment éviter quelques ennemis plutôt drôles en forme de saucisse, cornichons ou oeufs sur le plat. Si j’avais à l’époque déjà connu l’univers de Mc Donalds, il est certains que j’aurais bien imaginé une version sponsorisée !
La version C64 de Burger Time adaptée par Interceptor Micro
Sur mon Commodore 64, la tâche se montrait néanmoins délicate. Tout d’abord, le portage de ce jeu d’arcade se jouait au clavier, pas toujours si facile à prendre en main, mais il nous aura fallu un long moment pour comprendre que nous pouvions appuyer sur la touche « P » pour déposer un peu de poivre pouvant alors bloquer nos ennemis. Ce dernier bloque alors l’ennemi. Un comportement bien différent en réalité de la version arcade à laquelle je n’avais jamais joué où notre Peter Pepper lance du poivre devant lui pour se débarrasser d’un ennemi, comme une arme et non comme un obstacle.
Burger Time est donc longtemps resté comme un simple petit jeu de mon enfance, puis une licence un peu hype de la vague rétro.
Burger Time Deluxe en version Game BoyBurger Time Deluxe – GB (Data East, 1991)
Mais quelle surprise en découvrant via l’abonnement Nintendo, ces derniers jours la version « Deluxe » sortie sur Game Boy au début des années 90. A l’image de quelques autres classiques, tels que Boulder Dash par exemple, un soin a été apporté à créer un univers visuel sympathique et des petites musiques énergiques.
J’y découvre alors une autre manière de lancer du poivre, plus fidèle à la version arcade, des animations drôles, et surtout des niveaux plus larges et variés qui rendent très vite ce Burger Time addictif !
Passé, chez nous, inaperçu à cette époque au profit d’un Bugs Bunny Crazy Castle que nous avions tous eu, Burger Time Deluxe est pourtant bien plus réussi dans ce créneau de jeu de plateformes et échelles !
Je poursuis mes analyses afin d’optimiser ce qui peut l’être sur mon blog. Depuis le mois de juin, Goolge semble avoir renforcé les conditions pour proposer une expérience Mobile acceptable, et je sais que cela peut avoir un impact sur le référencement. Je m’étais donc mis à l’analyse de ce que je pouvais mettre en place pour réduire la lenteur d’affichage de ce dernier, profitant pourtant d’un des meilleurs hébergeurs européen. Après avoir renforcé l’optimisation des fichiers images avec le plugin Smush, supprimé une série de plugins inutiles, adapter Related Post et modifié les réglages de la mise en cache… Il restait une action que je trouvais pertinente à envisager.
J’aime avoir un joli site, et dans la configuration de mon thème, je charge un image originale et pourtant discrète en arrière plan. Cela se constate essentiellement sur un ordinateur à grand écran, en revanche, au format mobile, on ne la voit pas. Je me suis donc dit que je pourrais, avec un peu d’aide de ChatGPT, repérer comment ajouter une condition qui contournerait cette consommation de bande passante lorsque l’on visite le site depuis un Device mobile.
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