Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants…

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants…

… ou pas !

Ah pour sur, avec la série Final Fantasy, quand tu termines le jeu, il n’y a jamais d’heureux dénouement, et ce n’est pas ce dernier volet Final Fantasy XVI qui dérogera à la règle.

Les flashback sont nombreux dans Final Fantasy XVI et construisent petit à petit la narration.
Les flashback sont nombreux dans Final Fantasy XVI et construisent petit à petit la narration.

Si le jeu nous a ponctué tout au long de l’aventure de nombreux retour en arrière dans le passé des personnages Clive, Jill ou même notre compagnon canidé Talgor, je dois bien admettre que je m’attendais à minima à quelques choses de plus ambitieux, qui nous fassent voyager de contrées en contrées… voir peut-être d’un retour du héros, Clive, malgré la mort de son jeune frère… mais que nenni, ce Final Fantasy restera dans le même courant que les précédents… avec des sentiments qui semblent difficile à faire sortir entre nos protagonistes principaux, là où l’honneur, la foie et le devoir semblent tellement prendre le dessus. Des valeurs évidemment plus fortes chez nos amis japonais qu’ici en Europe…

La séquence de fin en soit n’est pas entièrement loupée, elle cache même un clin d’oeil plutôt réussi sur le monde en devenir de Valisthéa. En réalité, les éléments que j’aurais aimé voir rassemblé pour clôturer mon aventure sont distillés aux travers des quêtes annexes.

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de Penultimate à Noteshelf 3 ?

de Penultimate à Noteshelf 3 ?

Voilà déjà probablement déjà 5 années maintenant que j’ai pris le pli de la prise de note numérique grâce à l’efficacité de l’Apple Pencil utilisé sur un iPad couplés à aux outils Penultimate et Evernote.

Prise de note avec Penultimate
Prise de note avec Penultimate

Cette solution m’a demandé avec les années de passer à la caisse en prenant un abonnement Evernote afin de pouvoir m’adapter à leurs modifications de stratégie, puis à leurs augmentations de tarif. Le besoin de pouvoir accéder à mes notes sur plus de 3 appareils m’a donc poussé vers l’abonnement « Personnal » qui aux fils des années est passé de 39€/an à 69 puis encore tout récemment 99€/an !

En parallèle le support de Penultimate, racheté depuis plus de 10 ans par Evernote n’a qu’assez peu évolué. En 2022, je devais d’ailleurs composer avec un support du produit mis en berne. Si la « nouvelle » version d’Evernote intègre toujours bien l’importation automatique de mes notes prises via Penultimate, il ne m’est par exemple plus possible de renommer celles-ci depuis Evernote. Signe déjà d’une volonté de ne plus trop s’occuper de Pentultimate.

Cette année, j’ai le plaisir de renouveler mon équipement avec un nouvel iPad Pro équipé de la nouvelle génération d’outil de prise de note, l’Apple Pencil 2. Quand je dis nouvelle génération, il faut tout de même remarquer que celle-ci est sortie fin 2018, soit quelques mois après l’achat de mon premier Apple Pencil 1° génération, mis sur le marché en 2015 !

Faisons le point sur les différents Apple Pencil - ©Apple
Faisons le point sur les différents Apple Pencil – ©Apple

Et là, mauvaise surprise, impossible d’utiliser l’Apple Pencil 2 avec l’application Penultimate ! Lors de ma tentative de prendre des notes, mes traits s’effacent. L’année dernière je devais déjà composé avec des outils mal placé depuis la mise à jour iOS qui permettait de décomposer la zone d’écran en balayant le haut de l’écran. Cette fois, c’est l’application qui est complètement inutilisable ! Et cherchant sur la toile, plusieurs retours d’utilisateurs sur le forum d’Evernote rapportent des soucis restés sans réponses d’utilisation de Penultimate

En réalité, bien que ce dernier se soit ré-installé automatiquement lors de la migration d’une tablette à l’autre, Penultimate a disparu de l’Apple Store, depuis quand ? aucune idée ! Il me faut donc envisager une alternative !


Des alternatives à Penultimate ?

Prendre des notes manuscrites directement dans Evernote

Apple Freeform

Noteshelf 3

Se déplacer, demain

Se déplacer, demain

Hier, j’ai commencé le premier épisode du docu « 2080 – nos futurs » qui se pose sur la thématique de « se déplacer« . Aujourd’hui, Google me fait un petit rapport sur mes déplacements de l’année 2023 : « Vous avez parcouru 16 559 km au total dont 16.057 en voiture« .

2080, nos futurs de Sarah Carpentier, Pierre Lergenmuller (2023) - Unifrance2080, nos futurs de Sarah Carpentier, Pierre Lergenmuller (2023) - Unifrance 2080, nos futurs de Sarah Carpentier, Pierre Lergenmuller (2023)
2080, nos futurs de Sarah Carpentier, Pierre Lergenmuller (2023)

Très vite, le docu nous fait comprendre que le passage à la voiture voiture électrique aura un impact assez faible sur les 18 tonnes de CO² annuelles que produise une famille, soit 0,5 tonnes (En cherchant sur le NET, il semble que la moyenne en Belgique serait plutôt de 10)…

La « problématique » de la voiture électrique n’est pas nouveau, puisque c’est tout la chaine de production qui doit être prise en compte pour réduire l’impact CO². Mais nous en sommes seulement aux débuts, des débuts où les grandes idées se heurtent maintenant à la réalité. Le documentaire pousse plus loin, sur le besoin de se déplacer, comment, pourquoi et aussi ce qui nous pend au nez. Il arrivera bien un moment où il faudra arrêter tous ces vols en avion qui passent pourtant en permanence au dessus de nos têtes…. et je reste à penser que mes enfants connaitront un monde où posséder une voiture sera un luxe réserver aux amateurs de Lamborghini et Ferrari et où nous réserveront des véhicules autonomes adaptés à nos besoins qui viendront nous chercher d’un point A à un point B le tout contrôler par HAL et son infrastructure IA pour Ville Connectée.

Et pourtant, il y a un an, j’ai moi aussi dû me pencher sur le choix de notre prochaine voiture.

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Projet : La Game Boy parfaite

Projet : La Game Boy parfaite

Voilà un moment que je réfléchis à transformer une « épave » de Game Boy Advance en Game Boy parfaite !

J’ai dans ma petite collection plusieurs modèles de Game Boy. Des versions classiques qui mangent les piles et qui rappellent immanquablement les souvenirs de l’époque, des Pocket, des Game Boy Color, Advance, Advance SP et même Micro Game Boy. Un point marque lorsque l’on ressort sa Game Boy du placard. « Comment faisait-on pour y voir quelque chose sur un écran si petit et si peu lisible ! »

Prehistorik Man de Titus sur la GBA SP
Prehistorik Man de Titus sur la GBA SP

Oui, il faut bien admettre que l’on se tournait dans tous les sens pour avoir le meilleur contraste, pas trop de reflet. Le Game Boy Pocket offrait une image en monochrome un peu meilleur et les joueurs japonais avaient même eu droit à une version « light » avec un écran rétro-éclairé. Une fois la couleur arrivée, il faut bien admettre que le résultat était tout aussi problématique avec la Color et le premier modèle Advance !

Assurément, la GBA SP qui se déplie comme une Game & Watch se montre par défaut la console portable la plus réussie pour rejouer à la ludothèque Game Boy, toutes générations confondues, puisqu’elle propose un écran couleur rétro-éclairé et une batterie. En revanche, on pourrait lui reprocher de ne pas avoir un design Nintendo très marqué. Il y a bien encore la Game Boy Micro qui propose un écran rétro-éclairé de qualité nettement meilleur, comme les Nintendo DS, mais ces des deux derniers modèles ne peuvent eux recevoir que les cartouches GBA.

Je m’étais donc mis en tête l’année dernière de customiser une veille Game Boy Advance récupérée dans un état assez moyen. Néanmoins tout ce que je lui demandais, c’était de s’allumer et de lire les jeux. Au programme, un gros nettoyage, une nouvelle coque et un écran IPS nouvelle génération offrant une contraste d’image bien meilleur que ce qui existait à l’époque. Des composants que l’on trouve sur AliExpress, avec les problèmes que cela comportent d’importer des produits directement de Chine ou encore sur Amazon, taxe de dédouanement comprise.

une vieille GBA, une nouvelle coque et un écran IPS.
une vieille GBA, une nouvelle coque et un écran IPS.

Après plusieurs commandes annulées pour cause de colis disparu, j’ai fini par recevoir avant les vacances de Noël l’écran IPS longuement attendu, mais très vite, j’ai senti le projet tomber à l’eau.

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On joue au Dobble Disney 100 ans

On joue au Dobble Disney 100 ans

Reçu à Noël, le Dobble « Disney 100 years of Wonder » est loin d’être notre premier jeu de société Dobble.

Depuis que les enfants sont bien plus jeunes, 7 années déjà, nous avons déjà eu de nombreuses variations de ce classique. Le concept est simple retrouver sur sa carte la seule et unique illustration similaire à la carte au centre de la table, et ce avant les autres joueurs.

Cirque, Animaux, Objets ou plus récemment Harry Potter, les différents Dobbles que nous avons eu n’étaient pas tous égaux. Certains sont mieux adaptés aux plus petits avec de plus grandes images et moins nombreuses (32 cartes plutôt que 55), d’autres ont un peu déçu, à l’image de celui dédié à Harry Potter ou finalement, il n’est pas toujours simple de donner un nom à ce que l’on voit sur la carte !

Avec cette édition, ce sont 90 cartes qui viennent rythmer la partie, soit 3x plus qu’une édition pour les plus jeunes. Les illustrations sont nombreuses et ciblent tant des héros issus de grands classiques que des nouveaux films, ce qui au final équilibre les parties en famille où chacun aura un peu petit avantage en fonction de sa génération : )


Dobble Disney 100 ans

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