Entre l’anniversaire d’Alice et Juliette et la Saint Nicolas, le château de princesse Playmobil s’est agrandi d’un nouvel étage et étoffé de nouveaux éléments. Il était donc grand temps que je monte dans la chambre des filles faire un peu de rangement ! Bref, dimanche… papa a rangé les Playmobil !
Il était une fois,….
Il était une fois, dans un majestueux chateau, une jolie princesse avec de longs, très looooongs cheveux. Elle ne s’appelait ni Raiponce, ni Belle ni même Jasmine.
C’était il y a bientôt 15 ans, je venais de m’acheter une Playstation 2 et je disposais pour la première fois d’un lecteur DVD sur ma télévision. Je me souviens avoir été séduit par un concept « novateur » à l’époque : le BDVD ! L’idée était de raconter une histoire sous forme de bande dessinée dans laquelle on promenait le lecteur-spectateur qui avait des choix à poser afin de progresser dans l’histoire. Un concept qui me plaisait beaucoup, mais dont le résultat fut au final assez moyen avec un scénario très classique de meurtre dans un château à élucider et un dessin, somme toute, très banal. Pourtant le principe de choix avait un potentiel intéressant et j’ai souvent été par la suite très réceptif à ce genre de démarche comme dans Shadow of Memories (PS2, Konami) ou plus récemment Heavy Rain (PS3, Quantic Dreams).
Si je vous parle de tout cela, c’est que je me suis laissé séduire par une publicité m’invitant à découvrir « Along the Edge », une nouvelle interactive à découvrir sur support tablette ou Steam. À mes yeux, les iPad et déclinaisons sont des outils remplis de chouettes choses noyées dans un fatras de trucs inutiles proposés par l’Apple Store. Je ne trouve qu’assez rarement mon bonheur, mais je me devais ici de vous partager ma joie d’avoir mis le doigt sur quelque chose qui colle parfaitement au média tactile.
Soyons donc clairs dès le départ, Along the Edge n’est pas un jeu vidéo dans la mesure où il n’y pas de « gameplay ». Il s’agit d’un « Interactive Graphic Novel » que l’on pourrait présenter comme un livre illustré où vous aurez à prendre des décisions.
Ca ne vous parle pas ? Surtout ne passez pas votre chemin, laissez-moi vous convaincre.
Along the Edge, iPad
Along the Edge, iPad
Glissez-vous sous votre couette, dans votre sofa au coin du feu, dans un petit coin tranquille (que sais-je ?) et commencez l’aventure. Comme dans un bon roman, vous vous retrouvez plongé dans la vie de Daphnée, jeune chercheuse qui vient de décider de tout quitter pour partir loin de la ville…
Along the edge, iPad
Dès le départ, la situation est floue et on ne vous distille que peu d’informations sur votre vie d’avant et sur ce qui vous attend, mais qu’importe vous voilà déjà plongé dans l’histoire et par-dessus tout, accompagné de splendides fresques numériques réalisées par Nicolas Fouqué. Dès la première page numérique, l’illustrateur a su me captiver et me faire basculer dans l’oeuvre. Or le projet est loin d’être avare en illustrations, elles sont même souvent nombreuses pour poser le décor d’une même situation. Détail, lumière, décor, ambiance… et le charisme des personnages n’est pas en reste ; vous aurez l’occasion de vous en rendre compte, clairement, l’artiste maîtrise à merveille le speed painting, avec 450 dessins annoncés et 20 personnages différents.
Mais Along the Edge n’est bien sûr pas qu’un simple prétexte à vous promener dans un joli portfolio, il y a cette histoire que vous allez vivre. Dans un premier temps il m’a fallu comprendre ce qui se présentait à moi. J’ai d’abord trouvé le texte un peu simple et les choix anodins voire prévisibles. Puis, j’ai compris l’idée. Il ne s’agit pas d’un roman où l’auteur aura à nous décrire les lieux, les visages et les expressions puisque nous avons le support visuel. Les mots et les phrases sont une partie de l’oeuvre et se concentrent sur les sentiments, sur les dialogues et sur tout ce qui se passe dans la tête de Daphné… et par extension dans la nôtre. Notre manière de transposer cela va, de fait, influencer nos choix. Le texte n’en est pourtant pas moins riche : 80.000 mots, l’équivalent d’une livre de 400 pages.
Chaque choix fait se range dans l’une des quatre catégories relativement mystérieuses, présentées en haut de l’écran, qui influenceront la direction du dénouement final… Avec 60 fins différentes, vous aurez de quoi y revenir !
Je vous ai peu parlé jusqu’ici de l’histoire. Personnellement, j’aime être surpris et ne pas trop savoir ce qui m’attend, mais vous aurez peut-être un peu envie que je vous titille ?
Une fois arrivé dans ce village perdu, découvrant la propriété imposante dont vous venez d’hériter de votre grand-mère, comment réagirez-vous ? Que confierez-vous à votre ex-compagnon venu prendre de vos nouvelles ? Et ces rêves étranges où vous vous retrouvez dans la forêt poursuivie par une ombre. Tout semble bien différent ici, ces croyances anciennes bien ancrées dans la tête des villageois…
long the edge – Un joli petit village, pourtant plein de mystères !
De fil en aiguille, j’ai trouvé le scénario plus riche, et j’ai longuement hésité sur les choix à faire, voulant rester cohérent dans « mon personnage ». Je m’étais laissé happer dans l’histoire, preuve que le studio bordelais Nova Box avait réussi là une chouette production ! Je me suis donc relancé avec ma dame dans une seconde lecture…
J’ajouterais, en tant que mélomane, que j’ai d’autant plus apprécié l’expérience qu’elle est accompagnée de quelques notes de piano venant poser la juste ambiance par des petites mélodies qui savent rester en mémoire.
Bref, si vous avez besoin d’un peu de quiétude à l’approche des fêtes, si vous cherchez un cadeau original, si vous avez tout simplement envie de vous laisser surprendre, je vous recommande chaudement de vous plonger dans Along the Edge, disponible tant sur l’Apple Store que sur Steam.
J’étais enthousiaste, très enthousiaste à me replonger dans l’univers magique de JK Rowling ! Mordu d’Harry Potter, papa et maman avait d’ailleurs choisi d’emmener Charly au cinéma afin de lui faire vivre lui aussi une aventure au pays des sorciers !
Les Animaux Fantastiques – Dragonneau à New York
Basculant dans les années 30, de l’autre-coté de l’Atlantique, nous allions vivre le choc américain au coté de Norbert Dragonneau, un jeune sorcier particulièrement attaché aux animaux magiques futurs écrivains de l’ouvrage de référence en la matière à Poudlard à notre époque. A New York, tout est plus grand et surtout bien différent de la bonne vieille Angleterre…
Je ne vous dévoilerais rien de l’histoire et au fond, je n’ai rien à reprocher à la trame ni aux nombreux petits détails de l’univers « Potter » que je regrettais d’ailleurs de ne plus retrouver dans les derniers films d’Harry Potter,… La magie fait son effet tant pour les petits que les grands ! Pourtant, pourtant… je n’ai pas été transporté dans le film comme je l’avais espéré et j’essaie d’en comprendre le pourquoi !
Novembre, la course folle ! Cette année, j’ai même bien du mal à tenir à jour notre petit quotidien sur le blog. Il y a quelques semaines déjà les enfants ont réalisé leur lettre à Saint Nicolas qui sera déjà là d’ici une semaine maintenant…
Poupées qui chantent, Reine des Neige, Voiture téléguidée, Train, Crayon à création 3D, boule disco, boite à dessin, costume de troll, tête à coiffer, sirène… Il aura de quoi trouver l’inspiration !
Ecrire la lettre à Saint Nicolas - 2016
Ecrire la lettre à Saint Nicolas - 2016
Ecrire la lettre à Saint Nicolas - 2016
Ecrire la lettre à Saint Nicolas - 2016
Ecrire la lettre à Saint Nicolas - 2016
… et sinon, si tu tombes sur PS4 qui trainait dans le fond du sac de l’âne, je crois que je suis partant maintenant ; )
Et voilà, déjà près de 3 semaines qu’Alice et Juliette ont eu 5 ans. Vous l’aurez compris, en ce moment, je suis un peu dépassé et même tenir mon blog ou mon mur Facebook à jour m’est impossible. Je suis cognitivement surchargé… Pourtant, j’étais dans les temps pour ma petite vidéo annuelle retraçant les plus moments passés avec mes deux misstinguettes depuis leur naissance !
5 ans, on m’avait dit que c’était tellement plus facile que le fameux « Fucking Four » ! J’en avais d’ailleurs eu l’impression avec Charly, mais pour l’heure, ces demoiselles restent épuisantes, débordantes d’énergie et visiblement sourdes à de nombreuses occasion. Dans leur monde, dans leurs jeux, papa et maman sont si souvent bien loin d’arriver à exister lorsqu’il faut s’habiller, ranger son pyjama ou se mettre au lit… Vous me direz que c’est partout pareil… mais ici, c’est au minimum X2 !
Quoi qu’il en soit, je suis fier de vous mes poulettes et je passe de merveilleux moments avec vous.