4 lettres à Saint Nicolas

4 lettres à Saint Nicolas

Comme chaque année chez nous, dès un premier pied mis dans le mois de novembre, un tourbillon nous emporte jusqu’à l’année suivante. En effet, l’anniversaire des filles passé qu’il est déjà grand temps de s’attaquer à écrire sa lettre au grand Saint Nicolas or cette année, c’est quatre lettres qui arriveront chez lui !

Alors, alors... qu'est-ce qu'il y a d'intéressant ?
Alors, alors… qu’est-ce qu’il y a d’intéressant ?

Il faudra tout de même rappeler à notre chez Saint Nicolas que sont adaptation au monde numérique oublie certains petits détails. Comment veux-tu Saint Nicolas que nos petits enfants sages se documentent sur tes meilleurs jeux et jouets si tu ne nous envoies plus de catalogues ! Cette année encore, nous n’avons reçu que celui de ton partenaire Broze et l’Olifant. Il aura fallu aller chercher nous même celui du Carrefour de Boncelles, Fox… Oxybul, Cora, Dreamland… tant pis pour vous.

Bref, il te faut aussi faire face cette année à la grogne de tes lutins de chez BPost qui viennent mettre un peu de pagaille dans la gestion et le dispatching complexes de tes nombreux cadeaux et certaines questions remontent d’ailleurs

« Dit Papa, au fait, pourquoi Saint Nicolas il ne vient pas dans tous les pays et que c’est alors le Père Noël qui vient. Ils travaillent ensemble, et pourquoi ils ne travaillent le même jour ?« 

Oh oui, il y en a des questions à ton sujet Saint Nicolas cette année… 9 ans, cela semble être un moment où cela cogite !

Bref, et ces lettres alors ?

 

Les plus attentifs, comme Saint Nicolas bien sur auront constaté que chacun a demandé une grande maison Playmobil. C’est évidemment une belle idée, mais aussi un gros cadeau ! Nous leur avons donc proposé de s’unir tous les trois pour demander cette dernière ainsi que tout le mobilier nécessaire ! A coté de cela se sont glissé quelques idées récurrentes : Petit chien aimé, Talkie Walki, Princesses, Poupées, Barbies et maquillages…

J'aime bien ça moi !
J’aime bien ça moi !

« Oh Papa, j’aurais du dire à Saint Nicolas que j’avais envie de LEGO aussi… » Oui, évidemment, on ne peut pas penser à tout hein Charly ! C’est vrai qu’il y a toujours ce magnifique Robot à programmer en LEGO !

« Il existe vraiment Saint Nicolas, parce que à l’école, tout le monde me dit que ce sont les parents qui se cachent pour faire les cadeaux et partir la nuit acheter des cadeaux »

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Game Boy et sèche cheveux.

Game Boy et sèche cheveux.

Mon amie Aurore m’a ramené la semaine dernière son ancien Game Boy dont l’écran LCD était abîmé.

Les entrailles du Game Boy
Les entrailles du Game Boy

C’est un symptôme assez récurrent sur la première portable de Nintendo, les soudures de la nappe LCD se sont usées avec le temps et des lignes disparaissent donc à l’écran, rendant évidemment l’expérience pas très amusante. Lors des débuts de ma collection, j’avais récupéré plusieurs Game Boy de ce genre, j’avais fait appel à un ami pour ce genre de réparation… Entre temps, je me suis équipé d’un petit tourne-vis triangulaire nécessaire pour s’intéresser aux entrailles des anciennes machines de Nintendo et tentez de résoudre le problème par moi-même.

Je me suis dans un premier temps reporté au tutoriel disponible sur France Retrogaming qui détaille en photo la manipulation et où se trouve quel composant. Dans cette première étape, il faut essentiellement être vigilant lorsque l’on manipule la nappe qui relie l’écran LCD à la carte mère, mais rien d’insurmontable. Une fois ouvert, c’est alors l’occasion de faire un coup de nettoyage de votre Game Boy afin d’enlever tous les corps gras qui se sont accumulés au fils des années dans les petits interstices de la coque mais également de nettoyer les connecteurs des boutons.

Chacun son astuce, pour ma part, j’utilise des lingettes humides pour bébé, un cure dent et du gel désinfectant à base d’alcool, ce qui me permet de faire briller le tout, d’enlever les vieilles colles et autres inscriptions à l’encre. Cela ne permet pas de récupérer la couleur d’origine, il faut pour cela utiliser une technique plus complexe qui nécessite des agents mordant et du soleil.

Néanmoins dans ce tutoriel, les explications pour réparer les lignes de pixels n’étaient pas assez détaillés à mon goût, j’ai donc approfondi le sujet sur Youtube. Tous proposent d’utiliser un fer à souder, pas trop chaud, mais semble-t-il plutôt épais pour ressouder les connecteurs de la nappe, comme expliquer dans la vidéo suivante.

Mais à la maison, pas de fer à souder ! Il faudrait que j’y pense, j’ai quelques autres petites réparations de manettes Megadrive et console Atari que je pourrais expérimenter mais j’avais vu passer un commentaire d’une personne qui déconseillait l’utilisation du fer à souder au risque d’abîmer la nappe si la chaleur était trop élevée et qui utilisait un sèche-cheveux ! … Et ça, j’en ai un à la maison, alors tentons !

Game Boy et sèche cheveux
Game Boy et sèche cheveux

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Harry Potter et les 4 fantastiques

Harry Potter et les 4 fantastiques

Petit à petit, je commençais à m’acclimater à ce « nouvel » univers de JK Rowling et ses animaux fantastiques. Le monde des sorciers à l’américaine étant bien différent de celui que nous connaissions avec les aventures d’Harry Potter. Ce coté Marvel, ce coté sombre… Mais oui, petit à petit j’arrivais à m’émerveiller des petites choses magiques et des personnages plutôt attachant.

Dans cette deuxième aventure, le ton sombre est donné dès la première scène de l’évasion de Grindelwald qui nous offre un Johnny Depp plus violent que Voldemort… Oui, en quelques minutes Voldemort, celui dont on ne doit pas prononcer le nom semble déjà peu de chose !

Il faudra donc un bon moment avant que je parvienne à me retrouver dans l’ambiance magique, que je retrouve les personnages et ce malgré un jeune Albus Dumbeldore qui colle tout à fait à Jude Law !

Oui, il faudra bien 1/2 film avant de mettre les pieds dans un Poudlard des années 30 et même encore avant avec tout une série de flashback de la jeunesse de notre ami Norbert Dragonau, qui nous offre un agréable retour aux racines d’Harry Potter…. et je me suis senti transporté bien plus souvent dans cette deuxième partie de film.

Reste, un final à la généalogie trop complexe à mon gout, malgré une réflexion assez intéressante et nouvelle quant à l’impact des actes moldus sur la communauté magique…. une réflexion intéressante mais très « x-men »…

Joyeux anniversaire Jazz Jackrabbit !

Joyeux anniversaire Jazz Jackrabbit !

Il y a quelques semaines, la série Jazz JackRabbit soufflait les 20 ans de la sortie de son 2e épisode. Pour l’occasion les fans musicos du lapin vert offraient à la communauté un très bel album d’arrangements modernes des thèmes musicaux de la série ! Ah, que me racontes-tu là, Franqui… « personne ne connait Jazz JackRabbit !? » Une petite séquence Playhistoire s’impose donc… Je vais vous parler de ce temps où Epic Mega Games n’était ni synonyme d’Unreal Engine et encore moins de Fortnite.

Début des années 90, bon nombre de mes copains de classe reçoivent une Megadrive pour jouer à Sonic le hérisson, devenu le symbole des jeux vidéo « cool ». Moi, je fais partie de ceux qui ont à la maison un ordinateur et non une console. Si graphiquement les PC de l’époque proposent des expériences vidéoludiques novatrices avec des simulations en 3D vectorielle toujours plus réussies et des jeux d’aventure Point & Clic aux couleurs chatoyantes, je suis bien forcé de constater que les jeux de plate-forme que j’affectionne tant y sont bien moins fréquents. En effet, l’une des difficultés du monde PC à l’époque est que ces machines embarquent des composants relativement disparates dont notamment les cartes graphiques. Cette diversité de performances rend difficile la réalisation d’un scrolling concluant des sprites à l’écran. À l’époque par exemple, les versions MS-DOS des jeux français de Titus reposent alors sur une technique d’écrans qui scrollent brutalement lorsque le personnage se rapproche du bord (je vous invite au besoin à relire mon test des Aventures de Moktar). Ce sera l’arrivée des titres de la génération « sharewares » américains qui viendra bouleverser le paysage PC avec le premier épisode de Keen Commander signé Apogee – ID Software et Jill of the Jungle, proposé par le « studio concurrent » Epic Mega Games.


Les aventures de Keen Commander, Jill of the Jungle, Duke Nukem et autres Bio Menace reposent sur ce modèle économique du shareware qui n’a évidemment pas eu le même impact chez nous. Les studios proposent en « téléchargement » gratuit le 1er épisode de ce qui se présente souvent comme une trilogie. Les autres titres pouvant ensuite être téléchargés sur un BBS, l’ancêtre d’internet, et ce de manière payante voire commandés par vente par correspondance. Ici en Belgique, ces jeux « gratuits » se retrouvent en cadeau dans des magasines spécialisés, dans des packagings à bas prix de grande surface ou un peu plus tard dans des compilations de jeux sur CD-Rom.

Bien entendu, les influences du monde console sont importantes. Si Keen Commander tente de reproduire avec suffisamment de distance les mécaniques de gameplay et surtout le scrolling efficace du premier Super Mario Bros, Jill of the Jungle se rapproche plutôt de Metroid et Bio Menace de la série Contra… Mais nous sommes bien loin d’envisager l’équivalent d’un Sonic sur PC, d’autant que la plupart de ces titres se limitent à exploiter les 16 couleurs du mode graphique EGA pour offrir un scrolling fluide.

La guerre des mascottes - Pix'n Love Editions
La guerre des mascottes – Pix’n Love Editions

L’arrivé de Sonic the Hedgehog en 1991 va bousculer le monde du jeu de plateforme. Là où la majorité des héros avaient une forme humaine, les mascottes vont petit à petit inverser la tendance comme nous le raconte William Audureau dans son excellent ouvrage « La Guerre des Mascottes » édité chez Pix’n Love en 2016. Un singe chez Nintendo, un renard chez Titus, un chat chez Accolade, une chauve-souris chez Sunsoft, un écureuil chez Ocean, une fourmi chez Gremlin Graphics, un lézard chez Crystal Dynamics aux cotés des nombreux personnages de Disney et autres Looney Tunes, les rayons de jeux vidéo se retrouvent envahis !


Alors qu’Epic Mega Games assoit un temps sa réussite sur une série de jeux de flipper très réussi (Epic Pinball), elle recrute dans son équipe Arjan Brussee. Democoder talentueux,  il s’attaquera depuis les Pays-Bas à un projet reposant sur un moteur graphique proposant une action très rapide à l’instar de Sonic bien entendu, mais également de Zool sorti sur Amiga et PC. Au début du projet, le héros pressenti devait être le cosmonaute hollandais Wubbo Ockels, afin d’offrir un titre dans l’esprit de Megaman, mais en plus nerveux. Cependant le thème spatial n’était alors plus aussi vendeur que la déferlante de mascottes… Notre cosmonaute se transforme alors en lapin vert repoussant l’invasion de tortues de l’espace ayant kidnappé Eva, la princesse de Karotus. Un lapin vert créé par le comparse de Arjan, Cliff Bleszinski.

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Peugeot Traveller, le bon plan pour les grandes familles ?

Peugeot Traveller, le bon plan pour les grandes familles ?

Aujourd’hui, j’avais prévu d’aller faire un tour chez VW, arrivé au garage, la porte était close. Magasin fermé a 15h… Il était 15h10. Je me suis dit que peut être , c’était un signe d’aller voir la nouvelle Peugeot Traveller chez Peugeot iacolino P. où j’ai été accueilli bien plus chaleureusement… Voilà qui pèsera dans ma réflexion. Elle a une certaine allure cette traveller non ? Bcp plus modulable, moteur moins imposant…

Si vous arrivez jusqu’ici, c’est que vous aurez constaté que les grandes voitures familiales pour plus de 3 enfants qui offrent confort et volume de chargement suffisant ne court pas les rues. Il est loin le temps où une Renault Espace offrait de l’espace et non du style et les japonnaises regorgeaint de modèles spacieux. Lorsque l’on élimine tous les modèles offrant des strapontins au rang 3 et/ou un coffre d’à peine 30cm de profondeur, il ne restait que la VW Caddy Maxi, La Ford Grand Tourneo Connect ou des véhicules plus imposant allant de l’Opel Vivaro à la Mercedes Classe V en passant bien sur par la VW Multivan dont les lignes tranchantes m’ont toujours fait de l’œil.

7 Places + les courses

Il y a 3 ans, c’était donc la VW Caddy Maxi qui avait remporté le deal et la réflexion mérite à nouveau d’être remise sur la table en prenant ce dernier comme base de référence. Parmi toutes les questions à prendre compte certains éléments sont primordiaux, un espace de chargement derrière le rang 3 qui permet de glisser des bacs type « Supermarché », un véhicule qui reste sous la longueur de 5m et également si possible qui ne dépasse pas 190cm de hauteur, histoire de pouvoir toujours rentrer dans les parkings sous-terrain. Coté motorisation, le Diesel n’a évidemment plus le vent en poupe auprès du gouvernement belge, pourtant pour de tels véhicules, difficile de trouver une alternative Essence. Celle-ci sera alors très gourmande en carburant. La taxe aura aussi un impact sur le choix finale.

J’ai longtemps gardé le Multivan T6 et sa magnifique édition en rouge en blanc dans mes voitures de rêve, mais dernièrement je m’étais replongé sur le modèle grande famille proposé par Citroen, Peugeot et Toyota respectivement nommé : Peugeot Traveller, Citroen SpaceTourer et Toyota ProAce Verso. Chacun disposant d’une carrosserie et motorisation propre, mais reposant sur un chassis et des dimensions similaires. Hors du lot, c’est esthétiquement le Peugeot Traveller que je trouve le plus sympathique, mais dommage de ne trouver que la version la plus longue en démonstration…

Petit point sur les hauteurs dans cette catégorie…

7 places 2018
7 places 2018

Illustration principale – Composition personnelle réalisée avec les catalogues promotionnelles officielles de ©Peugeot et ©Volkswagen.