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Category: Mon boulot

Spécialiste eMedia, photographe et vidéaste… 100% Multimédiatisé !

Les misstinguettes ont eu 6 ans !

Les misstinguettes ont eu 6 ans !

Vous dire que le temps passe à toute vitesse, qu’elles grandissent à vue d’oeil ne serait pas assez fort ! Non, c’est bien simple le monde tourne tellement vite autour de moi que je n’ai même plus le temps de poster dans les temps ces moments forts sur le blog… Même les photos tardent à venir remplir les répertoires sur le disque dur.

Et pourtant, voilà qui est fait, Alice et Juliette ont maintenant 6 ans ! Un sixième année qui nous aura mis à l’épreuve d’un caractère bien trempé et pourtant fragile d’Alice … et des folies souvent trop bruyantes de Juliette. Pour sur la vie à six est loin d’être de tout repos, et ces deux misstinguettes nous offres de l’animation en stéréo !

Ce fut aussi une année un peu frustrante. Nous avons souvent la sensation qu’elles s’éloignent. Les moments de complicité se faisant plus rares… Comme si être ensemble était inévitablement signe de tempête. Elles donnent l’impression de se mettre en compétition et parfois, notre maladresse de parents imparfaits ouvrent la porte à cela…

Vos 6 ans mes filles, c’étaient aussi l’occasion d’inviter vos copains et copines de classe à la maison… Sacrée ambiance, il faut bien l’admettre ! Puis enfin terminer en famille avec nos amis par un petit Weekend à Center Park.

Espérons que cette nouvelle année vous offre de beaux moments… et qui sait un peu de sérénité aussi ?

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Japon, droit devant !

Japon, droit devant !

Il y a des choses auxquels on ne s’attend pas toujours… Partir en reportage vidéo une semaine au Japon en faisait clairement partie. De retour depuis quelques jours maintenant, il ne fait aucun doute que ce voyage m’aura marqué, tant pour l’intensité du projet que nous y réalisions que pour la découverte de ce nouveau monde à l’autre bout de la planète.

Akihabara de nuit
Akihabara de nuit

Depuis bien longtemps le Japon me fascinait tant pour sa culture du Jeux-Vidéo que pour les mangas,… mais aussi son architecture, ses voitures, sa culture, sa musique, ses produits multimédia ! Le Japon m’a toujours donné l’impression d’être une destination de pèlerinage numérique !

Certes, avec des journées de travail de parfois près de 18h, je n’ai pas vraiment eu l’occasion de flâner dans la ville. Néanmoins, travailler à 200 à l’heure m’a par contre permis de vivre à la même vitesse que la ville et mon esprit n’a cessé d’analyser et ramener des souvenirs, des mémos de cet univers quasi futuriste aux côtés de notre civilisation européenne encroûtée…

J-1 Let’s flight to Tokyo

12h de vols + 7h de décalage horaire, encore un train à prendre pour arriver à la gare de Tokyo et nous étions déjà à pied d’oeuvre pour tourner les capsules MOOC de la journée dédiées à « L’esprit Kyocera« . Nous le savions, la semaine serait intense pour boucler notre planning et ce rythme intense aidait aussi à ne pas succomber à la fatigue…  Bref, il était déjà tard lorsque nous arrivions ensuite à l’hôtel, nous laissant une fin de soirée pour découvrir la cuisine locale, les galeries souterraines de magasins improbables et rapporter les premières images d’Akihabara, le quartier historique du jeux-vidéo japonais. Je pensais y « perdre » des albums de musique made in Cyborg Jeff, mais force m’est de constater qu’il est impossible de perdre quelque chose au Japon,… On viendra toujours vous le rapporter !

Dès cette première journée, le choc était impressionnant. Nous avions la grande chance d’avoir Claire à nos cotés qui parle le japonais couramment et connait parfaitement la ville. Sans cela, il aurait été impossible d’être autant efficace dans l’organisation de nos déplacements… ou tout simplement choisir notre repas ! J’espérais partir sur place avec mon « Apprends le japonais » sur Nintendo DS, mais ce dernier s’est perdu dans un bureau de poste. Je n’avais donc en poche qu’un Moshi Moshi, Konishowa et Sayonara issu de mes lectures de Yoko Tsuno…  Et ce n’est guère très utile ! Si il y une phrase à retenir, ce serait plutôt : 有難うございます。(à prononcer : Arigatougozaimaaaas) qui veut dire qqch du genre : Un tout grand merci ou Au revoir et merci beaucoup…

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Playmobil Stories #3 : Sur la piste des champignons géants

Playmobil Stories #3 : Sur la piste des champignons géants

L’Automne s’est installé. A défaut de feuilles qui tombent dans le jardin, nous avons eu cette année de nombreux champignons qui ont poussé un peu partout… Cela m’a donné l’idée de raconter une petite histoire avec le T-Rex Playmobil que Charly a ramené de nos dernières balades en brocante…. avec peut-être un petit clin d’oeil au futur carton/navet de Nintendo : Mario Odyssey…

Playmobil Stories 3 - Champignons Géants
‘Vlà m’sieur Jones, c’est ici que commence la piste mystérieuse des champignons géants !

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Avant que Nintendo ne sorte une Game Boy Classics

Avant que Nintendo ne sorte une Game Boy Classics

Alors que la Mini Super NES Classics est venue envahir les magasins cet automne et que les Mini NES Classics de Nintendo s’arrachent encore à prix d’or sur 2emain… J’avais choisi de faire découvrir aux enfants ma collection de Game Boy un peu avant les vacances d’été, alors que nous étions en pleine GameBoyMania avec mes amis Thibault et Jeff.

 

1990, l'arrivée de la GameBoy en Belgique
1990, l’arrivée de la GameBoy en Belgique

C’est à la fin de l’année 1990 que débarque dans notre supermarché GB ce qui allait devenir un véritable phénomène de société ! Alors que la Master System, la NES et la nouvelle Megadrive sont rangées au rayon Maxitec aux cotés des micro-ordinateurs, la Game Boy est-elle rangée dans le rayon jouet du magasin dans un grand stand lumineux… Dans ce bloc gris rappellant le design des manettes de la console NES de Nintendo, on peut y découvrir le jeu Tetris qui demande de faire pivoter des formes géométriques pour compléter des lignes. Les fêtes de fin d’année aidant, la première réussite de console de jeux portable trouvera sa place dans bons nombres de foyers, comme chez mes amis Alain et Vivien. L’occasion de découvrir plus en profondeur les premiers titres qui feront un carton dans nos contrées : Super Mario Land, Ducktales ou encore Double Dragon. Avec son écran monochrome, la Game Boy n’a au fond pas à pâlir face aux alternatives du moment. Si les plus fortunés disposent de consoles en 16 couleurs, de mon coté, je joue toujours sur mon Commodore 64 avec un écran monochrome et les premiers jeux PCs que nous commençons à découvrir sont encore souvent limités aux 4 couleurs criardes du mode CGA. La fluidité et la lisibilité réussie des premiers jeux de la Game Boy font que ces derniers sont tout aussi réussis que les versions NES le tout déjà de jolies musiques en bliip bliip.

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Scoop : Le problème du câble USB-C pour la charge

Scoop : Le problème du câble USB-C pour la charge

Le problème du câble USB-C pour la charge
Le problème du câble USB-C pour la charge

Le sujet mérite d’être conservé pour y revenir dans le futur. Pour l’heure je découvre toute la complexité du port USB-C qui équipe mon nouvel MacBook Pro. En effet ce dernier peut être utilisé pour de l’USB 3, USB 3.1 ou du Thunderbolt 3, mais également pour recharger mon téléphone depuis que je suis sur le Google Nexus 5X. Hors, dans sa récente chronique, le Journal du Lapin y explique que la qualité du cable USB-C (pas juste le chargeur donc) joue sur la puissance ou taux de transfert. En effet, j’avais remarqué que mon câble Belkin USB-A – USB-C de me permettait pas de charger mon téléphone aussi rapidement…

« Avec la charge en USB-C, un problème se pose rapidement : quel câble utiliser ? Pas quel chargeur utiliser (même si c’est important) mais quel câble. Petite démonstration. Premièrement, le chargeur. Un MacBook se contente d’un chargeur de 29 W, un MacBook Pro 13 pouces d’un chargeur de 61 W et un MacBook Pro 15 pouces d’un modèle de 87 W. Comme auparavant avec le MagSafe, ils sont interchangeables avec des limites logiques : un MacBook va évidemment accepter un chargeur de 87 W (et éventuellement charger plus vite) alors qu’alimenter un MacBook Pro 15 pouces doté d’un GPU et d’un CPU à quatre coeurs va poser plus de soucis. La machine va peut-être s’alimenter mais la batterie risque de ne pas charger (ou très lentement) voir se vider en forte charge.(Le problème du câble USB-C pour la charge , Le Journal du Lapin) »