Chez nous, le mois de novembre est toujours un mois chargé. A peine sorti les décorations d’Halloween, qu’il nous faut réfléchir à celle de Noël, puisque chez nous, on s’y prépare depuis le mois de septembre afin de proposer aux familles de chouettes séances de shooting Noël. Ce sont bien sur Charly, Alice, Juliette et Rose qui font les petits modèles afin de tester les nouvelles idées. Cette année, deux thèmes seront proposés dans le studio Petite Snorkys et nous devons encore finaliser la scène extérieure avant le début des séances qui démarreront fin novembre.
OhOhOh ⛄️ Les réservations pour le studio Noël ont déjà commencées ! Les minis shooting de Noël auront lieu du 21 novembre au 2 décembre 2019. Pendant la semaine en journée et les 2 WE (attention vite pris). Priorité de choix pour le rendez-vous aux clients VIP. Réservation par mail
Je pense qu’avec les années qui passent, j’apprécie de plus en plus l’automne. Une fois les enfants rentrés à l’école, les deux semaines un peu rudes qui demandent de retrouver le rythme du travail, des devoirs, passées. J’apprécie alors prendre ces quelques minutes, secondes parfois à regarder le paysage changer chaque jours de couleur. Je me disais d’ailleurs que nous avions de la chance que sur cette planète, la nature nous offre un tel ballet de couleur, inlassablement. Que les arbres se parent de jaune, d’orange et de rouge durant cette saison, avant que les feuilles ne recouvrent le sol… Et qu’au fond, nous humain, nous puissions assister à cela… vous savez, une histoire de longueur d’onde, là…. Malgré les longs bouchons de ce mois d’octobre pour rejoindre la route du Condroz, j’aime serpenter la route de la Roche aux Faucons chaque jours parée de nouvelles couleurs. J’aimais aussi voir le jardin changer de couleur, mais il nous faudra attendre encore un peu que les nouveaux arbres plantés cette année ne prennent un peu plus d’ampleur…
Le Week-end dernier, Ce week-end, il faisait beau et même chaud. 23° en octobre, ce n’est pas très fréquent, il faut bien l’avouer. Après une balade en forêt pour fêter l’anniversaire de Mamou, suivi d’une dernière brocante domenicale, nous descendions tous les 6 sur la traditionnelle Foire de Liège qui a ouvert ses portes.
La Foire, un dimanche ensoleillé. C’était peut-être utopique…. alors avec les 4 enfants ! Il aura donc fallu tourner dans la ville avant de garer, non pas le grand Caddy (n’y pensons pas), mais la petite Vaillante Dracula. Il est bientôt 16h… Il y a un monde de fou. Cela valait-il même la peine de prendre le boitier Nikon avec tant de monde, il sera bien difficile de faire de jolies photos. Plus les années passent et plus marcher sur la Foire devient un vrai challenge pour tenter de rester ensemble…
Alors, prendre un peu de recul pour faire une jolie photo… je ramènerais des clichés plus sympa de mon Google Pixel 2 !
Avec les 4 marmousets, le budget s’épuise vite. Maintenant qu’ils ont grandi, 15 croustillons, cela se vide en quelques minutes ! Heureusement que le prix du Croustillon n’a que peut évoluer ses 15 dernières années. Bien évidemment, les enfants trouvent que l’on ne fait pas assez d’activité. Nous avons été jouer dans les machines à pièces… Vous savez ses drôles de machines où l’on glisse des jetons métalliques qui se poussent l’un, l’autre pour faire tomber des jetons ou des bonus. L’air de rien, il y a moyen de jouer pendant près de une heure tous les 6, les enfants avec des tabourets tout en s’amusant en famille et ce pour un budget probablement assez similaire que s’il avait fallu acheté 6 parties de Pêche aux canards ! Rose a gardé tous les chiniss’ , les filles deux jolis doudous et Charly a même gagné un joli canif !
Après avoir ensuite été faire un tour sur les petites montagnes russes de l’Elioth, nous avons pour une première en famille été prendre de l’altitude sur la grand roue afin de voir Liège s’illuminer à la tombée du jour.
Et vous… quels sont vos attractions favorites sur la Foire ?
C’est l’histoire du jeune Fred qui, en voyage aux Etats Unis avec ses parents découvre dans un magasin toute une série de jeux vidéo pour sa console Nintendo qu’il n’avait jamais vu jusque là. Batman, Terminator, Robocop, Snoopy, Roger Rabbit avec des prix bien moindre de ce que l’on trouve alors chez nous en Belgique. Imaginez l’excitation que l’on peut ressentir quand on est gamin car bien sur c’est d’un alléchant. Le voilà donc de retour chez lui qui enfourne une première cartouche dans sa console,… ça clignote, rien ! Une deuxième, encore une autre. Rien à faire, tous ces jeux auxquels il a rêvé jouer tout au long de son séjour refusent de démarrer… Diable, il va lui falloir recommencer encore son Legend of Zelda.
Ce n’est pas la première fois que l’on me raconte cette histoire, je me souviens d’ailleurs que mon voisin avait également une cartouche Megaman, venue de l’autre coté de la planète qui ne fonctionnait… Et la raison à cela est que la console NES de Nintendo est zonée, c’est à dire qu’elle ne peut lire que des jeux européens chez nous ou américains outre-atlantique. Au Japon, la NES est une Famicom aux formes bien différentes de ce que nous connaissons et propose des petites cartouches qui physiquement ne rentreraient pas dans nos consoles.
Super Mario Bros, l’icone de la console NES
A la fin des années 80 et 90, bien évidemment. Nous n’avions aucune idée de cette problématique ou de comment résoudre le problème. J’étais pour ma part bien au courant qu’une console japonaise Super Nintendo tournait en 60hertz avec des titres donc plus nerveux, et qu’il était possible de la « switcher » mais, sans en comprendre plus la problématique.
Aujourd’hui, retrouver sa NES dans le grenier de chez ses parents, c’est, après ce sentiment joyeux qui rappelle tous les bons moments passés à jouer à Super Mario, Les Aventures de Picsou ou peut-être les premiers donjons de Zelda,… bien souvent une grande frustration de voir la LED rouge clignoter sans ne faire démarrer plus aucun jeu… En effet, la NES vieilli mal !
Tout d’abord, mécaniquement son système pour insérer la cartouche en mode dit « grille-pain » force sur le système de connections entre la cartouche et les connecteurs, ce qui rend difficile le passage des informations. De plus, avec le temps les pins de connexion ont tendance à s’oxyder et toutes ses petites usures ne sont pas aider par la puce « NES 10 » 3195A. En effet, c’est cette dernière qui est présente pour vérifier l’authenticité du jeu, s’il fait bien partie des jeux originaux de Nintendo et qui plus est qu’il s’agit d’une jeu adapté au zonage de la console. Historiquement là où le marché du jeu-vidéo s’était effondré à l’époque de la console Atari qui était envahie de mauvais jeux conçu par n’importe quel studio, Nintendo avait imposé un accès trié sur le volet d’éditeurs devant payer une licence d’exploitation afin de faire partie du catalogue de jeux pour sa console Famicom, dénommée NES dans nos contrées. Avec cette puce, Nintendo s’assurait qu’aucun jeux non-officiel ne soit mis en vente, pouvant ainsi réduire le prix de vente de la machine tout en s’assurant de juteux bénéfices sur la vente de jeux. L’empire Nintendo s’était en place pour de longues années !
Grâce à Internet, il est maintenant facile de savoir qu’il est possible de régler ses soucis de difficulté de lecture des cartouches dans sa console NES et de dézoner cette dernière en coupant l’une des patte de cette puce 3195A. Mais cela fonctionne-t-il vraiment, est-ce sans risque ? Je vous avoue que jusqu’ici, je n’avais pas eu trop besoin de me pencher sur le sujet, ma console NES avait reçu tout un nouveau système de pin de connexion et était déjà dézonée par le roi KingSteph. Par cette technique ou une autre, puisqu’il réside sur sa face avant un petit trou qui rappelle la présente d’un switch qui devait à l’époque permettre déjà la lecture de jeux américains.
Ce cher Fred, lui, a finalement retrouvé sa console, mais cette dernière restait muette. Même pas de LED rouge qui clignote. Démontée, rien d’anormal à l’horizon et pour cause, c’est son alimentation qui ne fonctionnait plus. Un petit test avec la mienne aura permis de faire démarrer quelques-uns de ces jeux !
Voilà des mois que madame me fait savoir que trop souvent, quand elle travaille des lots de fichiers photo bruts dans Photoshop, son ordinateur est extrêmement lent. Je me suis penché régulièrement sur le sujet, j’en ai bien fait le tour. Pendant cette phase de travail, l’application Photoshop souhaite exploiter beaucoup de mémoire RAM, ce qui déborde des 16go et utilise de la mémoire sur le disque dur. Ce dernier, crée également d’énorme fichier temporaire tout en devant accéder à des fichiers .RAW lourd sur le Fusion Drive du Mac. Or le Fusion Drive est un disque hybride qui combine un disque de 128go en SSD pour le fichiers devant être régulièrement accessibles et un disque à plateau lent (5400 tr/m) pour le reste de données. A ce moment, c’est sur cette partie du disque que se trouvent les données, ce qui ralentit la machine. Vu que ce travaille est long, le système de backup Time Machine va considérer qu’il y a de nouvelles données à archiver et risque bien de tenter de créer un backup sur le disque dur externe, connecté en FireWire.
On boost ou on remplace ?
C’est une question qui aujourd’hui a bien plus de sens qu’il y a 10 ans. Les ordinateurs modernes ne semblent plus apporter de nouvelle technologie changeant fondamentalement le quotidien au point de devoir changer complètement de machine. Si les anciens Mac sont particulièrement robustes dans le temps, ils sont par contre dépendant du timing d’achat. En effet, les modèles restant longtemps au catalogue, l’iMac acheté en juillet 2015 est en réalité un modèle de la fin 2013, alors que mon Mac Portable acheté à l’automne 2013 était un modèle mi-2012. Les Macs sont connus pour être difficilement upgradables, mais cela reste possible, surtout pour ces anciens modèles. Sur un PC, là, c’est d’autant plus facile d’envisager des améliorations depuis la démocratisation du prix des disque SSD !
Remplacer un disque dur par un SSD et ajouter un peu de RAM à un vieux PC lui permet forcément de gagner en rapidité, mais à quel point ? Après avoir amélioré notre PC, nous avons bien évidemment évalué les résultats. Et ils sont incontestables ! Auparavant, notre PC de maison était ce qu’on pourrait vulgairement appeler « une brouette » qui mettait 151 s à démarrer et à tout charger sur Windows 7. Une fois le contenu du HDD placé sur le SSD, le PC ne prend plus que 36 s à démarrer, ce qui reste assez long, mais déjà plus tolérable. L’arrêt de Windows passe lui de 105 s à 15 s. (Un tuto à lire sur Les Numériques)