Et bien, en plus de 15 ans de WordPress, je pense que je ne m’étais jamais retrouvé dans une situation où envisager un downgrading de version se présente être la meilleure option. Il faut admettre que par le passé, ce genre d’option était assez complexe à mettre en place, devant toucher au noyau du CMS sur le serveur FTP et dans la base de données. J’ai toujours cherché d’autres options.
Mais ici, en utilisant la surcouche ProPhoto 7 si l’un de nos sites professionnels, je n’ai plus autant la main dans l’affichage finale, ce qui était par ailleurs mon intention ! Dès lors, lorsque problème il y a, les solutions à ma disposition me sont moins nombreuses.
ProPhoto 7 bug avec WP 5.9.2
J’avais évité le passage à la version 5.9.x sur ce serveur alors que je préparais le développement du nouveau site, et je pensais que migrer de la 5.8.last vers la 5.9.2 ne serait pas risqué, puisque 2 versions avaient déjà pu éventuellement corriger les bugs de jeunesse. C’était sans compter un gros changement de la part de WordPress dans sa version 5.9.1 ! Et un message rapporté par ProPhoto recommandant de ne pas passer à la version 5.9.1 et d’attendre, peut-être la 5.9.2 … ARF
Dans les solutions proposées, un roll-back à la version 5.9 , en autre via le plugin « WP Dowgrade » dont la doc est en allemand. Techniquement, on cible le numéro de version, par exemple la 5.9 (et non la 5.9.0). Une fois validé, la page des mise à jour de WordPress va, non plus proposer de ré-installer la dernière version, mais ciblera la version souhaitée. C’est rudimentaire, certes, mais après avoir croisé les doigts et fait deux « Je vous salue Mario »… Le retour en arrière avait réussi et le site était corrigé !
Si vous ne connaissez pas encore l’application #JustWatch, elle vous permet de centraliser les contenus disponibles sur vos plateformes VOD payantes ou gratuites ( Be tv, Netflix, Disney+, RTBF Auvio,…)
A vous d’y cibler les abonnements que vous avez souscrits et il n’y aura plus qu’à vous assoir dans votre canapé sans fouiller des heures après le film de votre soirée !
Depuis quelques semaines, je m’énerve lorsque, depuis mon smartphone Androïd, je ne vois s’afficher aucun résultat ciblant mon blog !
Afficher les résultats personnels
Etrangement, le problème n’apparait que depuis mon smartphone et de fil en aiguille, j’ai fini par trouver que le problème était lié à une nouvelle fonctionnalité de Google dans son OS : « L’afficher les résultat personnels ». Cette option assez « floues » fait un filtrage des résultats trouvés par Google lors d’une recherche sur base de « mon comportement ». Voilà qui aurait pu pousser Google à mettre plus en avant les résultats de mon blog que je consulte régulièrement, mais c’est bien tout le contraire qui apparait.
Désactiver l’option sur mon téléphone n’est pas une solution pour moi, car c’est également ce réglage qui permet à « Discover » de me proposer des articles pertinents tous les matins sur mon smartphone… Il m’aura donc fallu fouiller plus en profondeur.
Comme chaque années, les vacances de Noël sont un moment propice pour faire mettre un peu d’ordre sur la blog, d’autant que j’ai déjà la tête dans WordPress en préparant le nouveau site de madame.
Dans un premier temps, j’ai envisagé avoir fait une fausse manipulation à « blacklistant » mon blog ou le nom de domaine, mais j’ai fini par me retrouver sur l’espace « Google Search Console » qui remplace les outils Webmaster. C’est à cette endroit en général que l’on transmets à Google son fichier d’indexation afin d’optimiser le référencement naturel de son site web et que l’on peut vérifier ce qui coince. J’avais oublié qu’il y a quelques années, fier de la compatibilité « mobile » de mon blog, j’avais activé l’analyse pour Mobile afin de donner un coup de boost à mon blog, or depuis un moment, le nombre d’erreur lié à un problème d’ergonomie mobile y sont fréquents.
Tout en poursuivant les recherches, j’ai tout d’abord vérifier qu’un vieux fichiers ROBOT.TXT ne bloquait pas la navigation du GoogleBot. Cela ne semblait pas le cas. En analysant un peu plus en détail les codes d’erreurs et le résultat du test mobile réalisé par Google, j’ai pu constater qu’un nombre très important d’éléments n’était pas chargé lors de l’analyse de la page, dont la CSS et le code Javascript.
J’aurais bien été du genre à imposer à Google ne pas crawler les contenus sans interpréter cela en son temps, mais de quelle manière ?
On pourrait croire qu’il suffit de mettre sa carte SIM dans son nouveau numéro de téléphone, et tout fonctionne, et bien non ! Cela ne vaut que pour les « grands opérateurs » belges que sont Proximus, Orange ou Base. Lorsque vous êtes par exemple abonnés VOO, cette automatisation ne fonctionne que sur certaines « grandes marques », Apple ou Samsung par exemple. Le Google Pixel lui, n’est pas reconnu, et vous aller devoir entrer vous-même tous les paramètres nécessaires à pouvoir utiliser la 4G ! Je vous avoue que je suis resté un peu sur les fesses lorsque le technicien m’a expliqué cela, néanmoins,… celui-ci s’est montré très efficace pour régler tout cela !
J’ai récemment, ajouté un numéro mobile depuis mon abonnement VOO. Voilà près de 20 ans que je suis client Proximus et Mobistar/Orange et c’est donc avec étonnement que j’ai pris la nouvelle du technicien « L’internet mobile sur le réseau VOO, cela ne s’active pas automatiquement ! ».
En réalité, chez les deux opérateurs belges principaux, je n’ai jamais eu qu’à pousser ma carte SIM dans le téléphone et zou, tout fonctionnait automatiquement. Chez VOO, c’est un principe en recevant un SMS que les choses s’activent, mais…. cela fonctionne en général uniquement sur les téléphones les plus communs… Comprenez, les Samsung et les Apple !
Bon, je m’inquiète dès lors un peu avec le technicien, ici on est sur des Google Pixel, vous savez, c’est excellents smartphones si difficile à trouver en Belgique ! Et bien no, panique, ceuxi-ci se retrouvent bien dans le « pas à pas » que propose VOO pour un très grand nombre d’appareil, afin de faire les réglages manuellement !
La semaine dernière, avec notre équipe, nous avions l’occasion de mettre à l’épreuve GatherTown, un outil en ligne permettant d’intégrer de la gamification dans un colloque ou une formation. Voilà plusieurs semaines que l’onglet était ouvert sur mon ordinateur, nous en avions parlé en mars durant l’un des cours du certificat en culture vidéoludique que j’ai suivi cette année, et c’était avec un peu de surprise et beaucoup de motivation que j’avais découvert que cet outil nous était proposé pour organiser la présentation du dispositif MOOC de l’Université de Liège à quelques partenaires étrangers.
Le concept de GatherTown, immerger les participants dans un espace virtuel à l’image d’un espace dédié à un colloque, une université, voire même une ville ! L’environnement joue la gamification en se présentant visuellement comme un jeu d’aventure de l’époque 16 bits des années 90, à la « Zelda » ou « Final Fantasy » pour les fins connaisseurs. On pourra y définir des lieux propres pour y faire des présentations, des échanges en plus petits groupes ou des discussions en privé, ces différentes zones activants alors micro et webcam avec les personnes proche de vous.
De notre coté, nous avions choisi d’aller un peu plus loin, en invitant les participants à se promener dans les lieux où nous avions disposer une série d’éléments avec lesquels interagir. Des télévisions et ordinateurs où retrouver des capsules vidéo produites en studio, plutôt que de faire des présentations en « live ». Des livres pour rassembler les questions. Des Pinboards, pour que chacun puisse se présenter et s’épingler sur une carte du monde. Ainsi que divers autres documents déposés stratégiquement dans des bibliothèques, sur des panneaux d’affichage, des posters au mur… Bref, finalement nous avions transposé et gamifié dans GatherTown l’équivalent d’un module d’une formation de type MOOC.
Le Mapmaker de GatherTown
Sans entrer plus dans les détails, un élément important de notre approche était d’intégrer au sein de GatherTown toute une série de ressources vidéo existants en français que nous avions fait sous-titrer en anglais ! Et là, horreur, à 48h de l’ouverture de notre monde virtuelle, je découvrais que le player vidéo intégré dans la plateforme ne gère pas les sous-titres !
Il aura donc fallu ruser, et avec un petit coup de pouce de Lucie, pour trouver une solution et forcer GatherTown à afficher les sous-titres. En effet, dans la ressource suivante, on peut trouver une commande à ajouter à la suite d’une URL de vidéo hébergée sur Youtube qui permet d’obliger l’affichage des sous-titres, voire même la langue dans laquelle l’activer : https://www.youtuberlink.com/forcer-affichage-sous-titres/
Finalement, la tactique que nous avons appliquée en poussant non pas simplement l’URL de la vidéo Youtube dans le champs « Embed Vidéo » de GatherTown mais en y glissant tout le code « iFrame » auquel nous avons ajouté la ligne de code pour forcer l’affichage des sous-titres en anglais « &hl=en&cc_lang_pref=en&cc_load_policy=1″.
Cette solution, permet alors d’afficher les sous-titres dans GatherTown… dans la langue préférée de l’utilisateur. Il aura encore donc fallu encore s’assurer de supprimer les sous-titres en français de nos vidéos, pour forcer l’affichage en anglais ! Ouf !