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Category: Mes passions

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Grandir…

Grandir…

Grandir, ce n’est pas oublier… Même lorsque l’on a plus le temps de mettre de l’ordre dans tous ses souvenirs ou même simplement d’allumer la lumière… Grandir c’est jongler avec le temps et le désordre des souvenirs… Reste à l’artiste la chance de pouvoir faire le spectacle et faire rêver ceux qui l’entourent….

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DJ Daerden, c’était il y a 10 ans déjà !

DJ Daerden, c’était il y a 10 ans déjà !

C’était il y a dix ans, en octobre 2006, je rêvais alors depuis bien longtemps d’entrer dans le Top 50, me promenant dans les profondeurs du web entre la Demoscène et le forum Trackers@Work, puis sans y prendre garde ce n’est pas d’une chanson boys band que tout est arrivé mais d’un titre techno ploticohumoristique autour d’un phénomène d’actualité, la victoire de Michel Daerden et du PS aux élections belges.

Évidemment faire un tube tel que celui là n’était pas tout à fait ce que j’avais imaginé, mais ce petit moment de gloire a tout de même été amusant… Et si le monde de la musique numérique avait été celui qu’il est aujourd’hui, sortir une version MP3 sur Spotify et l’Apple Store aurait pu prendre vie en un tour de clic, là ou le projet d’un CD single aura trainer de longs mois pour finalement débouler près d’un an plus tard sur Jamendo, alors que tant les frites que la mayonnaise étaient déjà retombés.

Avec plus de 100.000 vues sur Youtube les deux titres « C’est Etraordinaire » et « La Daerden Machine » ont fait leur carton sur la toile et cela a attiré une série de personnes à découvrir ce que je faisais et probablement donner un peu plus de visibilité à mon album « Goddess in my hands » sorti deux ans plus tard, néanmoins, je n’ai jamais réussi à me rapprocher de tels résultats dans mes projets suivants…

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Les films du mois : Time lapse

Les films du mois : Time lapse

Time lapse (2016) 8/10

J’ai eu beaucoup de mal avec la mise en place de la situation et des personnages puis une fois le concept de time lapse amorcé, j’ai accroché. Le film reste malgré tout sans grande prétention dans un huis-clos à trois… Comment réagiriez vous si vous pouviez savoir ce que vous serez entrain de faire demain à 20h ?

La face cachée de Margo (2015) 8/10

Un sympathique teenage movies qui malgré un casting passe-partout parvient à tirer son épingle du lot avec un histoire digne d’un bon roman pour adolescent. Mention spéciale à la scène « pokemon » qui m’a vraiment bien faire rire ; )

Cake (2015), 8/10

Belle brochette d’acteurs dans ce film qui n’a rien de comique mais qui parvient malgré tout à nous raconter l’histoire du mère qui souffre sur le juste ton… Je ne vous en dit pas plus, laissez vous tenter.

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Mr Nutz, de la Game Boy Advance à la GB Classic

Mr Nutz, de la Game Boy Advance à la GB Classic

Si je n’ai jamais pu jouer à Mr Nutz lorsqu’il est sorti en 1994 sur consoles de Salon, j’ai en revanche eu l’occasion à l’époque d’y jouer sur ma Game Boy ! Après avoir testé il y a quelques années l’adaptation sur GBA, je peux ajourd’hui un peu plus apprécier la qualité du travail réaliser sur la version portable monochrome de Nintendo.

Il faut souligner une excellent maniabilité pour un jeu de ce genre, et ce malgré les nombreux grands sprites à l’écran. Le jeu ne ralenti pas, et l’on sent notre écureuil répondre à la noisettes près ! Le titre n’en reste pas difficile, même s’il est possible de s’ajouter des continus, il faudra réussir à atteindre le 2° monde pour en bénéficier… et non le second niveau.

Mr Nutz sur Game Boy
Mr Nutz sur Game Boy

Malgré les 4 tonalités de gris de la Game Boy, tout est parfaitement claire à l’écran, digne des meilleurs Super Mario Land 2 et Wario Land, incroyable ! Côté musique, cela ne marque pas les oreilles !


Lectures en cours…

Lectures en cours…

Pile de livre sur ma table de nuit

Je parle de beaucoup de chose sur mon blog, mais il est vrai que les bouquins y trouvent assez peu leur place. Pourtant, ma vie est à l’image de ma table de nuit. Remplie de belles choses, de découvertes, d’envie d’aller plus loin, de choses que je mets de coté et d’autres qui m’oblige à faire du ping pong…

J’ai entamé Le livre perdu des sortilèges durant l’été 2013 sous le soleil d’Italie. J’ai été transporté intensément par l’histoire de Diana Bishop chercheuse dans une prestigieuse université anglaise se découvrant d’une grande lignée de sorcière et tombant amoureuse d’un vampire. Un livre bien différent des histoires à la Twilight qui ne m’ont jamais intéressées et pourtant je suis resté à l’arrêt dans l’histoire… espérant un jour m’y remettre et surtout une adaptation cinématographique !

Un livre, c’est beau ! Oh grand jamais je ne pourrais me résoudre à ne pas avoir l’objet en main et j’apprécie beaucoup être séduit par les couvertures des jolies éditions de romans modernes que je découvre régulièrement sur le compte instagram de Sophie Lvrdr. Il y a tout juste un an j’avais été plus qu’intrigué par le roman La 5° Vague. Entre La Guerre des Mondes et Walking Dead, j’avais bien accroché le rythme effréné du roman entamé en janvier dernier. Mais ce dernier se retrouvait déjà sur le petit écran, ne me laissant pas vraiment le plaisir d’en savourer le dénouement… Puis, il y a la trilogie du Passe Mirroir et son 1° tome Les fianciés de l’hiver que je viens de commencer. J’avais offert ce roman il y a quelques temps déjà à madame qui l’avait adoré, comme toutes les personnes à qui nous l’avions recommandé. Mon boulot devrait me permettre de rencontrer son auteur Christelle Dabos dans les semaines à venir et il me tenait à coeur de me plonger dans cette univers avant cela !

A coté de tous ces romans, il y a mes divers ouvrages sur la culture « Playhistoire » signés Pix’n Love que je continue à enrichir… La biographie d’Eric Chahi par Daniel Ichbiah toujours en standbye. J’alterne pour l’instant les chapitres de l’excellent bouquin « la révolution PlayStation » avec mon livre de l’été « la guerre des mascottes » dont mon frangin vient tout juste de publier une excellente critique !

Enfin, j’ai parfois besoin de moments simples, je (re)découvre depuis un bon moment déjà l’univers de Jojo de Geerts à mesure de mes achats sur brocante. Trop ignoré étant enfant, j’y trouve une magie de simplicité, de nature et de poésie de l’enfance incroyable. La série débutée à la fin des années 80 a vraiment su vivre avec son temps et apporter des petites références à l’évolution de l’enfance dans les années 90 puis 2000. Et pour clôturer, c’est également au coté de Yoko Tsuno, idole de ma jeunesse que j’aime à voyager. L’été dernier, j’avais commencé à relire l’ensemble de la série qui n’a pas perdu une ride pour enfin me plonger dans les aventures électroniques jusqu’ici inédites pour moi avec un excellent le tome 24 : Le 7° code.