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Category: Jeux Vidéos

je suis fan de jeux vidéo.. essentiellement les bon vieux d’ailleurs !

Pacman Syndrome : Le retour de Prince of Persia

Pacman Syndrome : Le retour de Prince of Persia

Hé, mais il à l’air très sympa ce nouveau Prince of Persia !

Voilà qui me donne l’occasion de faire un petit point sur les dernières nouveautés à venir ou sorties ces derniers mois. Je ne m’attarderais cependant pas sur Alone in the Dark dont je dois testé la démo sortie il y a peu, et encore moins sur le prochain Final Fantasy XVI qui ne m’inspire pas le moins du monde ! Je ne vous parlerais pas non plus de la sortie du nouvel épisode de Legend of Zelda… Le fiston avait même en tête de m’offrir cela pour la fête des pères… mais je n’ai toujours pas réussi à accrocher à Breath of the Wild, et la suite semble pousser plus en profondeur encore l’approche de ce dernier.

En revanche, j’étais complètement passé à coté du retour de Prince of Persia, non pas dans un format 3D comme on avait pu y jouer ces dernières décennies avec les titres qui ont suivi « Les Sables du Temps », mais plutôt dans un retour aux sources de la série, tel que Jordan Mechner l’avait imaginée durant les années 80.

Prince of Persia est de retour avec ce jeu de plate-forme aussi séduisant que Hadès !
Prince of Persia est de retour avec ce jeu de plate-forme aussi séduisant que Hadès !

Si à l’époque l’article de JeuxVideo.com ciblait « Un jeu de plate-forme aussi remarquable qu’Hadès ? » Ce qui ne m’avait pas vraiment parlé.

La bande annonce du titre maintenant renommé Prince of Persia – The lost crown, on retrouve l’aspect 2D de la série, mais surtout une dynamique de gameplay assez proche de Dead Cell que j’avais particulièrement apprécié il y a deux ans sur ma Nintendo Switch.

Le titre est attendu pour janvier 2024.

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Bénies soient les versions démos.

Bénies soient les versions démos.

Je me souviens d’un temps qui s’éloignent d’année en année où j’écumais le PlayStation Store pour télécharger un grand nombre de démos de jeux ! S’il me semble que de nos jours, celles-ci sont bien moins fréquentes, c’est plus que probablement surtout le temps qui me manquent…

Pendant que madame poursuit notre aventure dans Hogwarts Legacy, je garde de temps à autre un oeil sur les nouveautés à venir.

Avant de vous laisser une petite liste de tout ce que j’ai vu passer ces derniers temps, je prends un moment pour m’arrêter sur la démo de deux gros morceaux devant sortir prochainement.

Alone in the Dark

Alone in the Dark Spotlight – Hollywood talent and new gameplay
Alone in the Dark Spotlight – Hollywood talent and new gameplay – PlayStation Blog

En effet, il y a quelques semaines, THQ Nordic et Pieces Interactive ont proposé une démo du reboot de la série Alone in The Dark qui devrait sortir d’ici octobre 2023. J’étais pour ma part assez enthousiaste à ce projet devant remettre au gout le premier titre dit de « Surival Horror » sorti initialement il y a un peu plus de 30 ans de l’esprit un dingue de Frédérick Raynals. C’est cet épisode en 3D polygénique qui inspira quelques années plus tard Shinji Mikami lorsqu’il créera le premier Resident Evil.

Lumière sur Alone in the Dark – Talent hollywoodien et nouveau gameplay. Revenir à l’origine du survival horror avec Alone in the Dark signifiait créer une lettre d’amour fidèle pour les fans de longue date, mais aussi un point d’entrée accessible pour les nouveaux joueurs… (PlayStation Blog)

Alone in the Dark : Prologue - PS5
Alone in the Dark : Prologue – PS5

Si les quelques images aperçues lors de l’annonce du projet m’avaient plutôt données envie de me lancer dans l’aventure, avec une approche très « veille Amérique des années 20 », dès la prise en main de cette démo, les déceptions se sont montrées nombreuses, avec un gameplay vieillot, des ambiances tourmentées et des graphismes plutôt rigide… et surtout finalement, un character design pas si accrocheur, malgré la présence David Harbour (Stranger Things). Les quelques minutes allaient me suffire pour faire tomber tout l’enthousiasme que je pouvais porter à ce projet, me rappelant que finalement, nous n’étions plus prêt à nous faire peur depuis un moment déjà. Finalement, seul un doublage en français pourrait redonner un peu d’intérêt au projet à mes yeux, ce qui ne semble pas être au programme actuellement.


En revanche, alors que l’attente pour la seconde partie de Final Fantasy VII me parait interminable, j’avais mis dans la piles des « jeux que je boude », le nouveau titre phare de la franchise Final Fantasy XVI (le 16 donc) qui sort dans quelques jours.

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Les secondes aventures d’Astérix sur la Game Boy

Les secondes aventures d’Astérix sur la Game Boy

C’était il y a déjà 10 ans, alors que je commençais à agrandir ma collection de jeux rétro et tout particulièrement sur Game Boy, je reçois un appel du fin fond du Condroz d’une famille qui a retrouvé une veille Game Boy et quelques jeux. Depuis lors, j’avais un peu boudé la cartouche d’Astérix & Obélix que j’avais ramené ce jour là dans ma petite collection.

Sorti plus tardivement en 1995, le second épisode d’Astérix, cette fois accompagné d’Obélix n’avait donc jamais jusqu’ici eu l’occasion de passer entre mes doigts.

Les premières aventures du héros de bande dessin gaulois s’étaient montrées plutôt réussies sur Game Boy, parvenant à se faire une place entre les dernières nouveautés de l’époque : Super Mario Land 2, Kirby’s Dreamland et Legend of Zelda : Link’s Awakening.

Le gameplay classique du jeu de plateforme était porté par des graphismes dans le ton de la BD à la sauce « Super Mario » et des musiques particulièrement réussies signées José Gonzalez Pedraza. Il faudra rester précis dans ces mouvements, car le baffes à remettre aux romains et autres sangliers demandent d’être bien positionné.

Asterix - GB (Infogrames - New Frontier, 1993)
Les premières aventures d’Astérix sur Game Boy avaient un petit goût de Super Mario !

2 années plus tard, Infogrames ne change en rien la recette. Dès le début de l’aventure le joueur pourra cette fois choisir entre Astérix et Obélix. A l’écran le jeu se montre toujours fluide et visuellement encore plus sympathique avec des graphismes détaillés pour une petite console 8 bits monochrome. Cela n’empêchant de garder une très bonne lisibilité et de l’action !

Nos héros vont devoir sillonner l’Europe afin de rejoindre César, s’inspirant de donc de quelques albums emblématiques, l’histoire commencera d’ailleurs en Grande Bretagne.

Aujourd’hui, malgré les qualités indéniables de cette épisode, j’ai bien du mal à le trouver plus intéressant que celui auquel j’ai joué tant de fois étant jeune. Les musiques me semblent bien moins inspirées et ne me restent pas en tête. On sent pourtant que José Gonzalez, toujours aux commandes à chercher à offrir un coté musicale d’époque.

Les niveaux, pourtant plus jolis, sont parfois frustrant à parcourir. Avec des pièges vaches et énervants et des baffes qui se perdent… On sent pourtant que les décors sont beaucoup plus ambitieux que le premier épisode sans pour autant perdre en lisibilité, un peu particulièrement important sur la Game Boy.

 

Si j’aurais eu tendance à lui donner un 6/10 pour le plaisir de jeu, je me dois de redresser ma note, pour ses nombreuses bonnes intentions et soin apporté à Astérix & Obélix qui ont dû ravir un bon nombre de jeunes joueurs à sa sortie.

Alleyway, le casse brique qui ne casse pas la baraque.

Alleyway, le casse brique qui ne casse pas la baraque.

Je ressorts de temps à autre les cartouches de ma collection Game Boy, et cette semaine, c’était l’occasion de revenir sur Alleyway, un casse brique développé par Intelligent System et Nintendo qui sortira en 1989 au Japon et l’année suivante dans le reste du monde.

Je ne reviendrais pas sur le genre, je m’étais déjà étalé sur le sujet en vous partageant ma découverte de Crackout sur la NES l’hiver dernier.

Alleyway - GB (Nintendo - Intelligent Systems, 1989)
Alleyway – GB (Nintendo – Intelligent Systems, 1989)

Découvert sur une cartouche multi-game en 2003, le casse brique de Nintendo est loin de… casser la baraque. Certes, il est bien amusant de voir notre Mario sauter dans sa saucisse de l’espace pour ce faire un Break Out grandeur nature,… enfin, pour lui. Pour moi joueur, lorsque l’on a gouté à Arkanoïd et Krypton Egg, on en attend clairement bien plus d’un casse brique !

Bé oui, casser des briques, c’est has been, c’est long,… Pas de bonus, pas de surprises… Alleyway ne fait qu’apporter le genre sur la console, ce qui explique plus que probablement pourquoi je n’ai jamais eu l’occasion d’y jouer à l’époque où j’ai eu des Game Boys !

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Taz-Mania, le Sonic de la Game Boy ?

Taz-Mania, le Sonic de la Game Boy ?

La toile s’emmêle un peu les pinceaux lorsque l’on parle de Taz-Mania sur Game Boy. En effet, nous autres petits européens avons eu droit à un premier épisode sorti sur la portable de Nintendo en 1993 et développé par Beam Software pour THQ, un peu avant la version de Sunsoft de 1994. Ce premier épisode déboulera tardivement outre-atlantique en 1997 sous le titre de Taz-Mania 2, il y a donc deux jeux estampillés Taz-Mania dans nos contrés !

Taz-Mania de Beam Software sur Game Boy

Le titre de Beam Software tend indéniablement à envisager un clone de Sonic the Hedgehog sur la console portable monochrome de Nintendo. A peine le temps de comprendre pourquoi notre Diable de Tasmanie doit parcourir les niveaux, c’est un peu comme dans le dessin animé d’ailleurs que le voilà à tourner dans les sens dans des niveaux au scrolling assez rapide pour l’époque. Il faudra ramasser quelques petits bonus, éliminer des ennemis lors de nos tornades et anticiper les précipices… Car, à l’image de Sonic, il est parfois difficile de savoir où l’on va arriver… A une nuance près, Taz ne perd aucun bonus qui pourrait nous permettre de récupérer de l’énergie… Probablement impossible à afficher sur la Game Boy.

Afin de tenir la route, ce Taz-Mania fait l’impasse de jolis graphismes. Les niveaux ont peu d’éléments de décors, les ennemis et bonus sont très petits. Enfin, les animations se montrent assez basiques. Comparativement au jeu qui arrivera un an plus tard, proposé par Sunsoft, l’aspect esthétique y est particulièrement tranché.

Tout comme la version 8 bits de Sonic, plusieurs phases des niveaux impliquent un arrêt brutal dans l’action. Demandant alors de négocier des sauts de jumpers en jumpers ou de plateformes mobiles à une autre. Des phases de jeu délicates, alors que notre Taz voudrait reprendre sa course folle.

Si l’idée était sympathique et la réalisation pas si mauvaise, ce Taz-Mania n’a pourtant pas su se démarquer parmi les bons jeux de la console !