Archives de
Category: Pacman Syndrome

Pacman Syndrome : Octobre 2015

Pacman Syndrome : Octobre 2015

Petit tour d’horizon de l’actu JV qui m’a parlé durant ce mois d’octobre.

Coté Blockbuster

Nous sommes le 28 octobre 2015. Inspiré de l’univers de iRobot et Intelligence Artificiel, Quantic Dream (Heavy Rain, Beyond Two Soul) présente son nouveau titre « Detroit : Become Human » et son nouveau moteur 3D plus qu’époustouflant. En effet, toutes les scènes du trailer sont ont été calculées en temps réel sur la Playstation 4. A coup sur, un titre qui en vaudra la peine !

https://www.youtube.com/watch?v=IEPzofGKSNE

Difficile pour le reste de l’actu de se faire une place aux côtés de cela ! Néanmoins Papa Cube nous présente Un jeu de tir familiale tant pour les filles que les garçons, enfants ou parents… Avec Splatoon, l’air de rien, Nintendo a su faire mouche !

Splatoon est la dernière licence crée par Nintendo exclusivement pour sa merveilleuse console Wii U. Pour la petite histoire, Nintendo a le chic pour calmer un peu tout le monde dans le milieu du jeu vidéo en proposant systématiquement le meilleur titre de chaque grand style de jeu. Bien entendu, le fait que chaque titre soit le meilleur de sa catégorie reste toujours sujet à débat car le monde du jeu vidéo est un monde de passionnés prêts à tout pour défendre sa marque fétiche. Cependant il est indéniable que tous les titres Nintendo sont d’une grande qualité et d’une finition hors normes, que l’on aime ou pas. (Un billet à lire sur le Blog de Papa Cube)

Coté Indé

Je reste toujours très attiré par les « petits » jeux indés aux pixel et ou couleurs chatoyantes. Il y a tout d’abord Zombie Viking de Zoink Games dont nous parle Sitegeek.fr mais également Drift Stage, Shovel Knight et Statis mis en avant par l’équipe de Press-Start.

Shovel Knight : Premiers coups de pelle
Shovel Knight : Premiers coups de pelle

Shovel Knight, enfin dispo sur WiiU et 3DS ! C’est franchement bien foutu, un petit air de gameplay à la Ducktales (lui même inspiré de Megaman d’ailleurs)… par contre, c’est loin d’être fastoche : ) Hier, je suis arrivé dans le eShop avec une musique chiptune et pétillante… je me suis dit « wouw, sympa chez Nintendo l’accueil », puis cela a écrit : vous écouter la musique de Shovel Knight… TILT donc, il est enfin dispo… donc clic, téléchargé : )

En l’espace de trois niveaux, Shovel Knight a déjà montré une réelle volonté de se diversifier. Les stages ont une architecture assez éclatée, et certains effets changent déjà les habitudes. Le joueur prend à peine ses marques qu’on lui met des bâtons dans les roues, comme une lumière qui s’éteint subitement en plein saut. La variété et la difficulté sont présents dès ces premiers instants, qui annoncent un jeu extrêmement amusant et exigeant. (Un test à lire sur Press-Start)

Zombie Vikings – PS4 – Avis sur un hack & slash pas comme les autres
Zombie Vikings – PS4 – Avis sur un hack & slash pas comme les autres

Zombie Viking, le nouveau jeu de Zoink Games, petite boite que je suis depuis un moment et qui avait à l’époque en projet un chouette jeu basé sur une peluche dans laquelle on glissait une Wiimote et qui devenait interactive à l’écran, dans un style « Crash Bandicoot »… Resté longtemps muets, je suis content de voir ce jeu délirant sortir de leur studio… l’esprit graphique étant toujours aussi « cooool ». Pas de chance, je n’ai pas de PS4 et j’imagine qu’aucune version PS3 ne poindra le bout de son nez : (

Comme je le disais, Zombie Vikings ne serait rien sans son humour et certains passages sont vraiment hilarants. Les dialogues sont jouissifs, certaines scènes bien cocasses et les anachronismes présents tout au long de l’aventure. A titre d’exemple, lorsque vous aurez l’occasion d’acheter des items et que vous repartirez sans rien, le vendeur vous dira : « Merci d’avoir tout regardé et touché sans rien acheté » (Un test à lire sur Sitegeek.fr)

Lorsque j’ai vu les images du jeu Drift Stage, j’ai tout de suite été accroc. Un bon mélange entre Test Drive et Lotus Turbo Challenge le tout mélanger avec une bonne dose d’Indianapolis 500… Que de bons souvenirs ! J’ai hâte de mettre à l’épreuve les sensations de conduite. La conduite me rappelle beaucoup Ridge Racer Type 4 sur PSX. Dommage par contre que les collisions entre voitures ne semblent pas prévues, quand je regarde les vidéo sur le site.

La version complète du jeu proposera un mode carrière en solo, des courses classiques, du time attack et un mode drift. Il sera également jouable en multi local et en ligne, et proposera plusieurs véhicules inspirés de voitures mythiques des années 80 et début 90. A l’heure où nous écrivons ces lignes, le jeu est financé à 55% et il reste 24 jours de campagne. Prévu sur PC et Mac, les développeurs envisagent l’éventualité d’une version console. (Un article à lire sur Press-Start)

Stasis: une expérience à lire
Stasis: une expérience à lire

Le pitch de Statis… Il partait en vacances dans l’espace avec sa femme et sa fille, lorsque…. voilà un point clic qui donne envie !

Le huis clos fonctionne évidemment dans cet univers de science-fiction. On se retrouve dans le vaisseau d’Alien ou d’Event Horizon avec toutes les joyeusetés fournies de base et un supplément de relations humaines en option. La vie de l’équipage pourra même devenir la principale source de votre curiosité. Des problèmes de gens normaux ou pas, que vous lirez dans leurs journaux intimes éparpillés dans le Groomlake. OK, l’astuce de scénario a été vue et revue et le jeu s’en amuse lui-même. Mais quand le contenu est aussi intéressant, il serait sot de s’en plaindre. Vous apprenez les événements antérieurs en lisant les carnets de bord officiels ou personnels comme dans Bioshock, par exemple, et vous suivez les indications d’une personne extérieure par radio… comme dans Bioshock. (Un article à lire sur Press-Start)

 

Coté Rétro

Coté Rétro, le site IndieRetroNews nous annonce une version pour l’Atari 7800 du classique du Beat’m All : Double Dragon. Pour avoir acquis la version Atari 2600 dans ma collection, il faut admettre que cette version 7800 est bien plus proche de l’original ! On nous annonce également la sortie d’une console rétro dédiée au ZX Spectrum Sinclair qui embarquerait prêt de 1000 jeux pour un budget avoisinant les 80€.

Pacman Syndrome : du jeu-vidéo made in Belgium

Pacman Syndrome : du jeu-vidéo made in Belgium

Art & Magic
Art & Magic

Tiens, hasard du calendrier, je lisais justement la semaine dernière (mai 2015) un article au sujet d’Art & Magic dans le Pix n Love 16. Ils nous raconte l’histoire de Spellsinger, grand projet de cette entreprise qui n’est malheureusement pas sorti des sous-sols. Une épopée magique de notre bassin liégeois. Press-Start vient de publier un bel article dédié aux différents projets d’Art & Magic que je vous invite à découvrir… Et moi je demande, dans la mesure à la société était située à Embourg, s’ils avaient commandés leurs machines chez Automindus !

Présentation à Psygnosis sur un salon. La chouette (le logo de Psygnosis) était un hasard, « mais ça leur a bien plu chez Psygnosis ». La technique des scrollings parallaxes impressionne aussi l’éditeur, à tel point qu’il appelle les développeurs de Shadow of the Beast à la rescousse. Et il leur demande comment ces Belges ont fait ça. Les stars de Shadow of the Beast observent… réfléchissent… assènent « We don’t know ». Yves Grolet et Frank Sauer en retirent de l’assurance et quittent l’Angleterre plus forts, non sans avoir dévalisé les librairies locales pour leurs manuels de programmation. « On ne trouvait rien chez nous à l’époque. » (Un très bon dossier à lire sur Press-Start)

Détail amusant, je n’avais jamais fait attention à l’époque que le jeu Agony n’était pas un jeu de Psygnosis,… pour ma part j’ai fouillé sur Youtube pour tenter de savoir à quoi ressemblait de manière plus concrète le projet de jeu d’arcade Spellsinger.

Press-Start, le site du jeu-vidéo en Belgique, a d’ailleurs pris parti de mettre en avant les productions belges et c’était rendu à la GameCom, le salon du JV en Allemagne afin d’y rencontrer quelques uns de nos jeunes talents dont l’équipe de Pyralis Studio tenue par l’un de mes amis d’enfance Simon Boigelot, qui y présentait son projet de jeu « TheCorp ».

L’économie dirige le monde, sad but true. Depuis sa base à Ans, le petit studio Pyralis l’a bien compris et vous propose une simulation pour vous former à devenir le maître de l’univers. TheCorp vous confiera le destin de l’humanité, à partir de ses balbutiements dans un lointain passé jusqu’à son apogée dans un futur rayonnant. Vers l’infini et au-delà, telle devra être votre devise lorsque vous gérerez les denrées, la chaîne de production, les ressources humaines et l’industrie. Un vrai cours d’économie ludique, il faut le faire ! Avec son jeu de stratégie en temps réel, Pyralis Studio fera de vous un winner. Une création d’utilité publique pour les futurs leaders du monde (libre ?). (Un article à lire sur Press-Start)

Et puis, il y a Epistory, ce projet du studio montois Fishing Cactus dont on parle de plus en plus et dont les graphismes sont vraiment, vraiment attirant ! Press-Start avait également été à leur rencontre il y a quelques mois avant le lancement officiel du jeu relayer aujourd’hui par la presse belge. Au coté d’un style visuel vraiment original, le jeu se démarque également par un gameplay novateur dit de « typing novel », un style épistolaire et une bande son réussie…

L’équipe de Fishing Cactus était fébrile à la veille du lancement de « Epistory, typing chronicles ». Ce jeu pour PC est la première grande production que la société montoise lance sur le marché sous son propre nom. « Après avoir lancé quelques petits jeux pour mobiles, nous avons beaucoup travaillé pour les autres et conçu des jeux qui sont sortis sous le label de grosses sociétés, explique Laurent Grumiaux, directeur commercial. Ça a permis à l’entreprise de grandir, d’engager du personnel, d’aller chercher du capital ». La société a ainsi pu se lancer dans le développement de ses propres produits. « Epistory » est le premier. Sa conception a été entièrement financée grâce aux revenus des productions de Fishing Cactus pour d’autres studios. (A lire sur le site de la RTBF)

Pacman Syndrome : Curieux de jeux

Pacman Syndrome : Curieux de jeux

Tiens, tiens, je suis tombé sur quelques curieux projets de jeux-vidéo ces derniers temps.

Il y a tout d’abord, Please don’t touch anything, un jeu étrange dispo sur Steam dans un style rétro qui vous propose. Un bouton, et une information. N’appuyez pas sur ce bouton… y résisterez-vous ? Voilà en tout cas un jeu qui vient bouleverser les habitudes !

Votre collègue vient de partir en pause en vous priant de ne toucher à rien. Devant vous, un vieil écran de contrôle, une mystérieuse machine et une note d’instruction a priori indéchiffrable. Rien à faire, le gros bouton rouge posté pile au centre de votre champ de vision vous fait de l’œil. Et au terme d’une interminable lutte intérieure, vous ne résistez plus et appuyez. Aussitôt, la console libère un second interrupteur, que vous vous empressez d’actionner – juste pour voir. Une petite lumière rouge s’allume. Et maintenant, quoi ? (A lire sur Games Magazine.fr)

Début du mois de mai, des anciens du studio anglais Rare ont fait leur retour. Leur nouveau projet Yooka Laylee a atteint son objectif en 40 minutes sur Kickstarter (175.000 livres) et pointe déjà à plus d’un million de livres ! Il n’y a pas à dire, le financement des artistes et projets par le public, cela a dû succès ! Voici un nouveau jeu dans la veine de Banjoo Kazoie, titre phare du studio à l’époque de la Nintendo 64 qui devrait offrir un beau comeback aux jeux de plateforme en 3D.

Yooka-Laylee
Yooka-Laylee

Lire la suite Lire la suite

Pacman Syndrome : Et si Pokemon avait été français ?

Pacman Syndrome : Et si Pokemon avait été français ?

Captuire d’écran de Crazy Creatures par le mag MO5

Voilà le genre d’histoire du jeu-vidéo que j’apprécie tout particulièrement et que je retrouve en général lorsque je me plonge dans mes Pix’N Love. C’est ici dans le mag en ligne MO5 que l’histoire de Jean-Claude Cruchet nous est contée. Développeur de jeux pour le studio français Titus à la fin des années 80 et passionné de Héroïc Fantasy, il imagine un jeu où le héros doit capturer des monstres qu’il gardera dans son animalerie et qu’il pourra invoquer plus tard pour progresser dans son aventure et gagner des niveaux. Ces monstres reposent sur des compétences liées aux éléments Eau, Terre, Feu, Vent. Cela ressemble déjà un peu au concept de Pokemon, mais si je vous explique qu’à l’époque, 7 ans avant l’arrivée des Pockets Monsters au Japon, notre concepteur français avait déjà mis en place l’évolution de ces monstres au fur et à mesure du jeu et même la possibilité de pouvoir se les échanger via des codes uniques, je suis certains que vous aurez envie d’en apprendre un peu plus sur Crazy Creatures !

Oui, j’avais prévu un système d’échange de monstres. On pouvait se les passer des uns aux autres grâce un système de génération de code unique. Mais finalement, ce donc j’étais le plus fier, c’était les transformations. En fait, quand on avait un monstre et que au fur et à mesure du jeu, il montait en niveau, il devenait de plus en plus fort et il se transformait en un monstre de niveau supérieur. Il y avait pas exemple une créature des marais qui s’appelait Plocploc au début du jeu. Et puis au fur et à mesure que les niveaux montaient, elle se transformait et puis elle devenait… Flacflac. (Une interview à lire dans le MO5 Mag)

Lire la suite Lire la suite

Tourmente à Silent Hills

Tourmente à Silent Hills

Diable, voilà une mauvaise nouvelle, il semblerait bien que le projet « Silent Hills » soit dans la tourmente. Présenté en 2014 le teaser jouable réalisé par Hideo Kojima, Guillermo De Toro pour le compte de Konami était plus que prometteur et faisait partie des motivations à passer à la nouvelle génération de Playstation. Norman Reedus, Darryl dans Walking Dead se prêtait à merveille dans l’univers dérangé de la série Silent Hill qui avait pris sa naissance en 1999 sur la première Playstation.

Si l’information est à prendre avec de grosses pincettes, elle trouve sa source au coeur de la bataille opposant Kojima à Konami et plus particulièrement concernant les droits d’utilisation du moteur Fox Engine. Ce dernier est en effet utilisé pour le prochain Metal Gear Solid V : The Phantom Pain, mais aussi pour le futur reboot de Sillent Hills. Or, selon les informations relayées par le site Crossmap, Kojima refuserait catégoriquement l’exploitation de son moteur graphique pour ce reboot. (Un news à lire sur JeuxVideo.com)