Les deux semaines de vacances de Noël sont en général toujours bien remplies. Entre les fêtes, le rangement et les préparatifs, cela laisse toujours peu de temps, mais cette année, nous avons le sentiment d’avoir vraiment bien profité de tout cela. Il faut dire que pour la première fois depuis plus de 5 ans, j’ai pu faire la grâce matinée jusque 9H du matin. Un repos plus que bénéfique pour aborder la journée sur le bon pied.
Bricolage, constructions LEGO, balade dans les bois, faire les soldes, visiter les sculptures de glace, voir des amis, parties endiablées à Mario Kart, plasticine, Playmobil,… il y a eu de quoi faire… Voici quelques photos souvenirs de ces deux dernières semaines.
Charly a regardé Chasseur de Dragons, il en a profité pour monter sa propre guilde !
Et voilà, l’année 2014 touche à sa fin. Une année plus que positive pour notre famille et que nous quitterons en en gardant le maximum de souvenirs, même si les derniers mois ont été entachés de mauvaises nouvelles que ce soit dans la gouvernance de notre pays ou les imbécilités décidées par l’Europe.
Cette année 2014 ce sera notamment et dans le désordre de magnifiques moments en famille et avec les enfants, de belles découvertes vidéoludiques (Beyond Earth, Godus, Kirby, Mario Kart 8, Rayman Legends, Thiny Thief, Simcity, Bravely Default,…), de superbes reportages de mariage avec Quenalove, l’arrivée du Nikon D750, l’entrée à l’école d’Alice et Juliette, l’arrivée des musiques de Cyborg Jeff sur Spotify, notre nouvelle Peugeot 5008, de nombreuses heures de jeux avec Charly et les LEGO, Game of Thrones, 14 ans de bonheur avec ma petite dame, ma tête dans Google map, la mise en place du nouveau studio de Petite Snorkys Photography ainsi que celui d’eCampus, Le Hobbit en 48fps, d’excellentes avancées dans Final Cut Pro X, notre déménagement dans la grande maison à Esneux, un nouveau Bilou, la superbe bataille entre Nico Rosberg et Lewis Hamilton, la fin de l’aventure Be-Games et le début de Press Start, Les Belges au Brésil avec les mains en l’air, alé, alé, alé, un superbe Halloween, la découverte de la WiiU, des nouvelles d’Harry Potter, le mariage de Valentin, le début de la Formule E, la sortie cartouche de Power Glove, et bien, bien d’autres choses….
Prêt à remonter le temps, à l’époque de Récré A2 et aux débuts de Dorothée à la télévision… Nous sommes alors au milieu des années ’80 et non, je n’étais pas encore fan de Super Mario que je ne découvrirais que bien plus tard. La Télé à la maison, c’était à petite dose, 1 heure le mercredi… Après Heidi, Vicky le Vicking ou Tom Sawyer, j’ai alors découvert Les Mystérieuses Cités d’Or…
Quelle magie ! Un super grand condor mécanique fonctionnant grâce à l’énergie solaire, 3 jeunes enfants – Esteban , Zia et Tao – traversant de palpitantes aventures à l’époque des conquistadors, rencontrant Mayas, Aztèques, Incas, Olmèques… et les vestiges du peuple de Mu, une civilisation très avancée alors disparue… Il n’en fallait pas plus pour continuer ensuite l’aventure dans les bois, le soir au lieu d’aller au lit, ou reconstruire les salles et passages secrets jusqu’au masque de Jade en LEGO…
À l’image des reportages de fin de séquences, j’ai d’ailleurs commencé à m’intéresser à tout ce qui touchait à l’Amérique Précolombienne, choisissant ce thème pour mes élocutions à l’école, mes choix de cadeaux de Noël, les musées à visiter… Ah ça oui, mon frère et moi, nous en étions tellement fous de ces Cités d’Or ! Il faut dire que de nombreux éléments avaient su faire sortir du lot cet anime mêlant les meilleurs studios japonnais au talent de narration européen. À l’époque présenté comme du Made in France, cet atout lui avait permis de facilement se faire accepter dans les foyers réfractaires à l’invasion de dessins animés japonais. Inspiré du roman The Kings fifth de Scott O’Dell, le projet de raconter l’histoire d’Esteban, le fils du soleil, a pris son temps avant de mélanger l’histoire des conquistadors en quête de cités d’or avec une série d’éléments plus science-fiction. Un point soutenu par l’équipe française coachée par Bernard Deyriès et Jean Chapolin qui venaient alors de terminer avec succès la série Ulysse 31.
Aaah ces Cités d’Or, avec ce générique absolument inoubliable, comme chacun de ces épisodes, hormis bien sur celui que je n’ai jamais vu… par cause d’orage la première année et de Grand Prix de Formule Un l’année d’après (Raaah foutues F1). Alors vous étonnerais-je si je vous disais que pendant toutes ces années, j’ai rêvé qu’une bande de fous n’inventent un jeu vidéo d’aventure fidèle à la série pour la revivre de manière plus interactive ! Oui, les années passant, Les Cités d’Or sont restées pour moi le symbole le plus important de mon enfance, je n’ai cessé d’espéré leur retour d’une manière ou d’une autre… Puis ce jour arriva !
Durant l’année 2011, quelques bruits commencent à apparaitre sur la toile concernant une suite aux Cités D’or, près de 20 ans plus tard. S’ensuivront au milieu de l’année 2012 un petit teaser et oh comble de bonheur, grâce au soutien de la RTBF dans le projet, la diffusion du premier épisode de la nouvelle saison sur La Trois le 17 novembre 2012, en primeur mondiale ! En grand fan, je suis conquis. Bien entendu, le style a évolué, car le monde du dessin animé a évolué et qu’il faut que le produit colle aux attentes des enfants de maintenant. Mais les personnages restent fidèles, l’histoire continue à mélanger fait historique et science-fiction, le tout accompagné d’un petit sujet en fin d’épisode ; même le générique, certes un poil modernisé, est de la partie. Bref, pour moi qui suis devenu entre-temps papa, tous les ingrédients sont là pour vivre à nouveau les folles aventures des Cités d’Or !
Je ne m’en lasserais jamais ! Je crois qu’en fait je connais encore toute les répliques… Le plus croustillant, c’est que pendant des années, je croyais que l’Italie et les italiens, c’était ce que j’avais vu du Corniaud ;)
Dans l’ombre de Mary (9/10)
Dans l’ombre de Mary ou Sauvons Mr Banks, à vous de choisir entre le titre français ou anglais !
Quoi qu’il en soit, si vous avez un temps soit peu apprécié le film Mary Poppins, vous ne pouvez passer à coté de celui-ci. J’ignorais totalement s’il s’agirait d’une biographie, d’un reportage romancé, ou d’un film à part entier en commençant l’aventure, mais c’est bien d’un film qu’il s’agit. Un film plein d’humour et de sentiment, une histoire qui se découvre petit à petit, qui nous fait de plus voyager dans le monde de Walt Disney, à sa grande époque dans les années 60.
Clairement je ne peux que vous recommander chaudement ce film !
Le Labyrinthe (9/10)
Très vite, j’ai senti que le film allait totalement dans la direction de ce que j’espérais ! Une ambiance très réussie et des effets spéciaux dans le labyrinthe tout à fait à mon goût ! Bien sur avec Hunger Games dans le dos, le film issus du roman The Maze Runner manque un peu d’originalité peut-être,… quoi que ?
Je reste un peu déçu sur la fin, mais je m’y attendais. J’aurais voulu qqch de plus tranché, mais qui aurait inévitablement impliqué une fin d’histoire sans possible continuité.
Si vous avez aimé, pourquoi ne pas vous tenter la trilogie « Cube » ?
Insaisissable (9/10)
Extraordinaire film d’action mêlant magie et enquête. Dès le début, le rythme est excellent, et l’histoire nous emmène de tours de magie en démonstration le tout guidé par d’excellents acteurs qui nous donnent presque l’impression d’être dans un film de Super Héros. Je reste juste un soupçon décus par le final que j’aurais aimé plus grandiose !
Baby baloon (7/10)
Film sympathique d’une jeune fille ronde dans un groupe de jeunes musiciens… je n’avais par contre pas du tout à l’origine suivi que cela se passait dans nos régions ! Liège, Ougrée, Euromusic,… ce qui donne un petit coté attachant supplémentaire au film ;)
Hunger Games : La révolte partie 1 (5/10)
Le dernier roman d’Hunger Games m’avait plutôt déçu, s’éloignant trop à mon goût des deux premiers. Bien évidemment le film partait donc avec un scénario bien moins intéressant se concentrant sur la révolte, perdant tout élément de surprise de la découverte de l’univers de Panem.
Ajoutons à cela, des environnements de guerre et de bunker, des personnages enrôlés qui donnent l’impression de plonger dans Star Ship Troopers… les Aliens en moins.
Enfin, le gros point noir de ce 3° « Hunger Games », c’est l’absence de sentiment. A aucun moment, je ne me suis senti boulversé par la situation, par ce qui se passe… j’ai juste subi…
Je conclurais pas la seule note positive, j’ai préféré le film au livre.
Hier, je me suis retrouvé au cinéma voir un film dont je ne savais pas grand chose. En réalité j’avais juste furtivement vu passé le matin un gros titre ciblant ce film de « Anti Frère Daerdenne », ce qui allait m’obliger à essayer d’en comprendre la raison !
Assez rapidement, on sent l’ambiance chaleureuse des excellentes comédies françaises avec un Paris qui donne envie d’y flâner et des personnages, des filles ou plutôt femmes d’ailleurs avec chacune leur histoire qui s’entremêle subtilement. Le tout se fait en douceur, alors que le style est maintenant devenu un « classique », on ne sent pas trop le mouvement venir, on découvrir petit à petit ces chemins croisés.
Le thème est loin d’être cantonné à du Ragnagna et surfout ne tombe pas la caricature… On reste dans la légerté et dans l’humour et dans des situations loin d’être Frères Daerdenniennes. C’est du MADE IN FRANCE et cela se sent ! Je ne peux pas parler au nom des femmes, mais j’ai trouvé que le message que m’a fait passé le film était positif, chacune est unique et surtout incompréhensible à nos yeux d’hommes avec tous les efforts que nous puissions faire, il restera la magie noir, blanche ou rouge qui fera que ce qui se passe dans leur tête est si souvent loin de ce qui se passe dans la nôtre…
Bref, j’ai passé un très bon moment avec ce film… j’ai explosé de rire et de surprise régulièrement, de manière tout à fait inattendue !
Bref, Anti Frère Daerdenne dans un sens oui, il est claire qu’il y a peu à comparer avec les productions vantant la misère sociale ici… Certains cinéphile auront peut-être repéré des structures, des détails ou juste des influences similaires ou expressément inverses… Oui, il y a certes une volonté dans certains plans d’Audrey Dana une volonté de rentrer dans l’intimité, que ce soit visuelle avec le début du film… ou sonore avec la scène de la biscotte… mais à mon goût, ce n’était qu’un slogan sans intérêt qui aurait pu me faire louper cet excellent film !
Les Croods (7/10)
Bon, je me souviens que la bande annonce ne m’avait franchement pas inspirée ! En ressorti un film bebête à souhait ! Pourtant certains de mes amis avaient été le voir au ciné avec leur enfants et l’avaient trouvé chouettes… ce qui me laissait un peu perplexe !
Une fois de plus, c’est la bande annonce qui est en tord. Au final, le film est certes dans un humour très très décalé à la sauce Shrek plus que l’âge de glace, mais j’ai ri de bon cœur ! Le message simpliste de la trame de l’histoire fonctionne, et tout le monde passe un bon moment devant la TV !
Les stagiaires (5/10)
Mmmmwouaip. Le fond de l’histoire est évidemment sympa et avec cette paire d’acteur, on peut s’attendre à être dans un film à l’humour un peu gras… Le sujet se plaçant assez geek dans un univers à la limite du schoolteenage, cela aurait pu être sympa, mais assez vite, on s’ennuie ! Il n’y pas vraiment d’élément accrochant à l’histoire, et j’ai fini par zapper en cours de route…
Le grand méchant loup (3/10)
La pochette et le titre semblaient sympa, mais je n’avais pas lu le synopsis. Pas de chance, c’est un sujet que je ne supporte pas… de ce fait, ce qui est sensé être comique m’ennuie et m’énerve. Par ailleurs, on ne peut pas dire que Kad et Benoit Poelvoord soit franchement à leur top dans ce film… Pour moi, c’était donc franchement dispensable !