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Category: Ma vie

Ma vie de Papa de Charly, Alice et Juliette au coté de ma Petite Snorkys de photographe talentueuse et charmante.

Premières neiges

Premières neiges

Janvier se termine. Un mois qui bien que festif par le passé pour fêter mon anniversaire se montre souvent tellement long, froid, humide. Cette année pourtant, les journées m’ont semblé passer à toute vitesse, rythmées par entrainements et matchs de Basket réguliers (J’en compte 7 sur ce mois de janvier). Si parfois Charly nous dit que l’on passe beaucoup de temps avec le Basket, il oublie certainement pourtant que l’on court pour chacun d’eux pour toutes leurs autres activités.

D’ailleurs, après de longs mois à nous en parler, il s’est rendu à son premier casting à Gand pour un prochain film de Lukas D’hont. Tu vois, que l’on se coupe en 4 pour chacun de vous.

Les premières neiges du début de janvier nous ont offert quelques jolis paysages que j’ai réussi à conserver en photo. L’occasion justement d’aller à la découverte de ses petits coins secrets de notre belle forêt proche de La Roche aux Faucons. Mais la neige, c’était aussi l’occasion pour lui de s’essayer au BadminSnow ; )

 

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Un bel hommage à Little Big Adventure.

Un bel hommage à Little Big Adventure.

Il y a déjà 25 ans, lorsque j’ai rencontré ma Snorkys, je dois bien admettre que son intérêt pour les jeux vidéo était pour moi un indéniable plus. Très vite, cela nous a offert de longues et grandes aventures ensemble, coincés dans notre canapé, manettes en main autant qu’à simplement attendre avec une envie commune la sortie de nouveaux titres et consoles.

Assez rapidement, nous avons mis en place une manière de jouer ensemble, qui, en fonction des jeux mettaient la manette entre les mains de l’un ou de l’autre. Si c’est souvent elle qui contrôle notre personnage, j’aime assez bien mon rôle me permettant de plonger dans l’histoire, dans les détails, chercher des soluces en ligne, des astuces, puis raconter ces moments, ici sur mon Blog.

Si durant toutes ces années, nous avons donc joué à bon nombre de titres, il y a quelques jeux d’avant notre histoire commune qui semblent avoir marqué sa vie de joueuse et auxquels je n’ai jamais vraiment joué, c’était le cas de Little Big Adventure ! –– D’ailleurs, j’ai beau chercher dans ma bibliothèque, je ne trouve aucun ouvrage s’arrêtant vraiment sur ce dernier !

"Absolument Extraordinaire !" Voilà ce que l'on pouvait lire sur la boite de Little Big Adventure
« Absolument Extraordinaire ! » Voilà ce que l’on pouvait lire sur la boite de Little Big Adventure

Sorti en 1994 sur PC, Little Big Adventure est un jeu singulier signé Frederick Raynals, réalisé par le nouveau studio Adeline Software. Son auteur s’était distingué quelques années plus tôt avec son jeu Alone in The Dark, un jeu d’aventure horrifique en 3D polygonique particulièrement bluffant pour le début des années 90. En conflit avec son éditeur Infogrames, il se lance dans ce nouveau projet prenant le contre pied des jeux où la peur est au centre du gameplay qui ont depuis pris plus d’importance dans le marché du jeu vidéo.

Porté autour d’un nouveau moteur 3D, l’univers de Twinsen va prendre vie assez rapidement dans un jeu d’aventure qui se démarque clairement de ce que l’on peut alors trouver à l’époque. Ce coté « French Touch » comme aime à le souligner certains spécialistes.

Si j’ai bien évidemment eu l’occasion de voir des images de Little Big Adventure dans mes magasines Joystick, ce n’est qu’un an plus tard que j’aurais l’occasion de m’y essayer. Je dois cependant bien avouer qu’à cette époque, je n’ai pas réussi à être conquis par celui-ci ! C’est qu’au milieu des nineties, je ne manque pas de choix. Sur PC, les compilations de jeux s’échangent sous la veste, les jeux sharewares d’ID Software s’achètent en librairie pour le prix d’un paquet de chiques, et j’ai surtout les yeux tournés les vers les consoles des copains. Oui, j’ai eu depuis peu entre les mains Legend of Zelda : Link’s Awakening, et depuis, c’est armé d’une épée que j’aime à partir à l’aventure dans de jolies contrées chatoyantes (Si si, Même en noir et blanc, c’est chatoyant !) Enchainant sur l’épisode Super Nintendo puis Mystic Quest ou encore Secret of Mana.

Dès lors, ce Little Big Adventure, dans ma version pirate sans voix, et peut-être bien même sans les cinématique, avec sa petite musique Adlib FM, un peu grisounet et avec un personnage aux traits ronds, n’a d’intérêt que parce que l’on en a beaucoup entendu parlé. Je me retrouve de suite dans une prison, à devoir m’en échapper, à jongler entre le mode discret, agressif, normal, sportif… à sauter juste, se cacher… Il ne m’en faudra pas plus pour laisser tomber et m’en retourner sur « mes Zelda »… Même au début des années 2000, lorsque madame me fait découvrir la version PlayStation, je n’en garde pas un souvenir fort si ce n’est celui d’un jeu qui a une histoire pour elle !

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Jusqu’à la dernière minute

Jusqu’à la dernière minute

On ne réécrira pas l’histoire, mais certaines défaites sont douloureuses. Après des semaines à s’entraîner à 200% pour la reprise du championnat U14 provincial de Basket Ball féminin, j’ai pris plaisir à voir Alice et son équipe Alliance Flémalle prendre confiance dans ce premier match de l’année. Sourire aux lèvres, les paniers rentraient et déjà se voyaient elles toutes enfin gagner !?

À 2 min de la fin après une dernier 1/4 un peu moins bon, les rouges menaient encore de 6 points. 30-36 Puis en quelques secondes, tout s’est écroulé. Des paniers qui ne rentrent plus, des balles perdues, peut-être bien des coups de sifflet discutables et une équipe adverse qui a su retourner tout cela à.son avantage. Égalité, non une étrange erreur d’affichage donne 37-36, il reste une minute, les larmes sont sur les visages, elles ont senti la victoire s’échapper, l’incompréhension, 40-36.. Il y a tout juste deux minutes, vous gagniez encore….

Pfff.

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Refermons, sans regret, l’année 2024.

Refermons, sans regret, l’année 2024.

2024 est derrière nous, déjà les pieds au froid dans l’année 2025 qui, je l’espère ne pourra être que meilleur que les souvenirs, encore frais, que me laisse l’année 2024.

Voir passer le tram, c'est bienAvoir bien chaud, c'est mieux !
Voir passer le tram, c’est bien
Avoir bien chaud, c’est mieux !

Cette dernière se devait être une année de changement, avec entre autre un changement de taille, celui de mon lieu de travail, puisqu’après 22 années passées sur le site du Sart Tilman, mon équipe des MOOCs de l’Université de Liège prenait place, durant l’été dans un Nouveau Centre névralgique rassemblant différents acteurs du numérique et de la formation en périphérie de la ville de Liège, au Val Benoît.

Si ce changement était en sursis depuis de longues années, j’étais en revanche loin d’imaginer me retrouver un nouveau club de Basket pour notre Alice, prenant tout juste ses marques chez les verts… Si la transition s’est montré humainement difficile dans un premier temps, nous voici maintenant bien installé en rouge, avec même la petite soeur qui joue, soit près de 5 entrainements par semaine dans le nouveau club Alliance Flémalle, de quoi même se proposer comme sponsor de l’équipe U14 ;)

Enfin du changement en voiture, avec l’arrivée de notre carrosse au printemps dernier qui nous emmène de la maison à l’école. De l’école au boulot, du boulot à l’école, de l’école au Basket, à la danse, au chant, au match, avant de rentrer à la maison.

Pourtant de tous changements finalement positifs, me reste le sentiment que 2024 était une « sale année », une année usante, une année pesante,… 2024, l’année où j’ai pris un coup de vieux !

Un sentiment d’avoir plus de responsabilité, un sentiment d’entrer dans un nouveau monde numérique où l’argent a pris le pas sur la magie de l’innovation, d’un rythme de vie où lire une BD, sortir des Micro Machines, jouer à un jeux vidéo… avec ou sans les enfants, toutes ces petites choses qui me donnaient l’impression d’être un « grand enfant » se retrouvent mises au grenier,… à l’image des grands bacs de LEGO et de Playmobil que j’ai remisé lors des précédentes vacances.

Oui, le Papa joueur se retrouve contraint à prendre une autre identité. Les enfants ont grandi. Charly chante, compose, crée, débat, s’affirme. Mes filles se transforment en petite jeunes filles. Encore pleine de contradictions, avec parfois encore l’envie de passer du temps avec moi, mais déjà bien le nez dans un nouveau monde d’ado.

Reste ma petite Rose… Petite ? Elle se joue tellement à faire la grande par moment, que j’ai du mal à me souvenir qu’elle vient seulement d’avoir 9 ans, prise dans le monde de ses soeurs.

Alors que mes 47 ans se rapproche, je ressens, peut-être vraiment pour la première fois, une sensation d’avoir passé le sommet de la courbe. Que les soucis ne seront plus des petits méhins, des petites babioles,… Qu’il va falloir apprendre à avancer dans une nouvelle ère, à un autre rythme,… et que peut-être ce changement était déjà entrain de s’amorcer depuis quelques temps.

Puis je pense à tous ceux qui autour de moi ont traversé une année 2024 bien plus sombre… Barballo, Papy, Claude, Geo,… et ainsi que leurs conjoints, enfants, famille. Courage.

Voilà cher blog ce que j’ai envie de conserver dans mon souvenir, même si pour vous, lecteur perdu ici, tout ceci ne pourrait sembler qu’une complainte d’hiver…

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Planifications bloquées sur l’aspirateur Dreame D10 Plus

Planifications bloquées sur l’aspirateur Dreame D10 Plus

C’était en juin dernier, pour la Fête des Pères,… j’avais répondu : « Hé bien, je ne suis pas contre un aspirateur robot ! ». En effet, j’avais repéré un modèle qui s’intégrait plutôt bien dans la maison et que les amis de Sitegeek avait mis dans le TOP 5 de recommandation : Le Dreame D10 Plus.

Marque qui m’était jusque là inconnue, comme en réalité bon nombre de modèles de robots fabriqués en Chine venant concurrencer via Amazon les marques que l’on retrouve en magasin. Si je ne suis guère enthousiaste, en général, à l’idée d’acheter des appareils chinois, je dois bien admettre qu’en la matière, côté rapport qualité/prix/technologie, je n’ai pas été déçu par mon Dreame D10 Plus !

Notons quand même qu’après de deux bons mois d’utilisation, l’interface m’annonçait qu’il fallait remplacer les balais latéraux. On peut effectivement voir une « durée de vie » pour tout une série de composant de l’appareil. Cela semble un peu énervant, mais finalement, je préfère être informé du besoin de changer des pièces qui s’usent que de constater un mauvais fonctionnement de l’appareil, comme c’était le cas il y a déjà 10 ans avec mon Samsung Navibot.

J’aurais également pu apprendre comment nettoyer les filtres et comment y avoir accès. Tout se trouve bien expliquer dans l’application.

Mais un point est resté à m’ennuyer durant ces derniers mois. Par moment, lorsque le robot a été trop déplacé manuellement, ou si sa base de recharge a bougé (ce qui arrive parfois quand madame fait le ménage), la cartographie des lieux se retrouve légèrement décentrée, le robot ne respectant plus alors correctement sa tournée.

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