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Category: Ma vie

Ma vie de Papa de Charly, Alice et Juliette au coté de ma Petite Snorkys de photographe talentueuse et charmante.

Les Schtroumpfs et le village des filles

Les Schtroumpfs et le village des filles

Auteur : Peyo, Luc Parthoens, Thierry Culliford, Alain Maury
Editions : Le Lombard (2017)
Albums : 3-4 (7)

3. Le corbeau
4. Un nouveau départ


Les Schtroumpfs et le village des filles - tome 3 - Le Corbeau
Les Schtroumpfs et le village des filles – tome 3 – Le Corbeau

Le monde de Schfroumpfs fait clairement partie de ma culture et de mon enfance. Entre les premiers albums de mes parents, les premiers dessins animés à la télévision, les petits lutins bleus de Peyo font partie de ces premiers héros que j’ai connus au tout début des années 80, grandissant au rythme des nouveaux albums Grossbouf, jeux olympiques, Bébé Schtroumpfs, P’tits Schtroumpfs… mais aussi des petites figurines et autocollants à collectionner en mangeant ma bonne maquée Gervais sur mes tartines !

En grandissant, je me suis également rendu compte que les premiers albums étaient particulièrement porteurs de valeur et de caricature de la société. Un œil nouveau se portait alors sur Les Schtroumpfs Noirs, La Schtroumpfette et surtout le Schtroumpfissime !

Depuis lors, de très nombreux albums sont sortis sans vraiment que j’y accorde beaucoup d’importance. Sans être aussi bon que les premiers, je m’étais malgré tout souvent allé à constater que cela fonctionnait encore pas si mal… Le dernier en date que j’aie lu devait être Schtroumpf les Bains.

Puis est arrivée cette série dérivée du « Village des Filles », inspirée de l’un des derniers films d’animation où les Schtroumpfs découvrent un village de « filles schtroumpfs ». Si je me suis dit à l’époque que cela mettait peut-être trop les pieds dans une vision égalitaire de me petits schtroumpfs, je me suis laissé surprendre par ce 3° album « Le Corbeau » que j’ai raconté à ma petite dernière il y a quelques jours.

Un mélange entre le Schtroumpfissime et le Cracoucass, mais surtout à nouveau une manière de caricaturer certains phénomènes de société autour des influenceurs, mais de manière à mon gout assez subtil. Je me suis parfaitement laissé prendre au jeu et je suis curieux de découvrir les autres albums de cette série

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Qui je suis !

Qui je suis !

Les années passent, se suivent et pour l’heure jamais ne se ressemblent. Alors que je souffle cet hiver les bougies de mon 47° anniversaire, bien des pensées se bousculent dans ma tête et de mois en mois, il me semble de plus en plus nécessaire d’en faire le tri, de les entendre, de les écouter, de les accepter et de les ranger.

J’ai déjà posé le constat en terminant l’année 2024 qu’une étape avait été franchie. Peut-être cette sensation d’avoir atteint le sommet et qu’inexorablement je vais dorénavant descendre de la montagne. Cette année a été épuisante, je sens ne plus être « jeune », je sens être moins patient, moins enthousiaste en recherche de simplicité et de calme.

Je sens aussi que le rôle de « Super Papa » dans lequel je m’étais investi crops et âme depuis une quinzaine d’année n’est plus tout à fait ce qu’il était. Plongé désormais dans l’adolescence de 3 de mes 4 morlocs, les moments magiques de jeux et de découverte sont en retrait, je fais le taxi, le gendarme, le surveillant,… le banquier dirait même madame.

Je pourrais encore accrocher à tout ceci cette histoire de Blog et de Droit d’Auteur qui aujourd’hui encore me fait ruminer ou encore ma fonction professionnelle qui n’est plus la même que par le passé.

Sur ce début d’introspection personnelle, je me laisse quelques notes privées afin de définir « Qui je suis ! »

On a joué à Trio

On a joué à Trio

Ce weekend, j’ai testé Trio avec les enfants, un nouveau jeu de société reçu de mes amis Vincent & Carole pour mon anniversaire, et l’on s’est bien amusé !

Le timing était pourtant serré pour découvrir un nouveau jeu, mais Trio s’annonçait comme un jeu très facile à prendre en main avec des règles simples… Et pourtant, en les parcourant, je me suis souvent posé la question « Et dans ce cas de figure, je peux faire cela ou pas ?? ». Après avoir sondé quelques joueurs, il semble donc que les réponses soient tout simplement : Non !

Une série de cartes de valeur allant de 1 à 12, 3 cartes existantes par valeur. Chaque joueur reçoit un nombre équitable de cartes… par exemple 9 lorsque l’on joue à 3. Les autres cartes sont posées sur la table face cachée.

A son tour, un joueur peut au moins deux fois :

  • soit mettre devant lui sa carte la plus élevée, soit la plus basse.
  • soit demander à l’un des joueurs de montrer sa carte la plus élevée, soit la plus basse.
  • soit retourner une carte du centre de la table.

S’il a deux cartes les mêmes alors posées sur la table, il peut à nouveau choisir l’une de ses options et tenter d’obtenir un Trio. Il pourrait donc avoir demandé 3x au même joueur sa carte la plus élevée et lui chiper un trio potentiel de début de partie.

Chacun range ensuite ses cartes, les cartes du centre sont remises face cachée. (Mais reste dans leur position), et c’est au joueur suivant.

Pour gagner la partie, il faut soit être le premier à avoir 3 Trio, soit obtenir le Trio d’or des cartes 7. Il est également possible d’épicer le jeu avec une petite règle supplémentaire que nous n’avons pas encore essayée, mais nous avions déjà fait une erreur. En effet, si nos adversaires ont répondu chacun avec leur carte la plus haute avec des 11, que nous disposons dans notre jeu de la dernière carte 11, mais également d’une carte 12 et 8… Nous ne pouvons pas jouer notre carte 11 pour faire un Trio, puisqu’elle n’est ni la plus haute, ni la plus basse de notre main.

Un élément qui ne sera probablement pas si facile à bien faire respecter par Rose, notre petite dernière de 9 ans !

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Premières neiges

Premières neiges

Janvier se termine. Un mois qui bien que festif par le passé pour fêter mon anniversaire se montre souvent tellement long, froid, humide. Cette année pourtant, les journées m’ont semblé passer à toute vitesse, rythmées par entrainements et matchs de Basket réguliers (J’en compte 7 sur ce mois de janvier). Si parfois Charly nous dit que l’on passe beaucoup de temps avec le Basket, il oublie certainement pourtant que l’on court pour chacun d’eux pour toutes leurs autres activités.

D’ailleurs, après de longs mois à nous en parler, il s’est rendu à son premier casting à Gand pour un prochain film de Lukas D’hont. Tu vois, que l’on se coupe en 4 pour chacun de vous.

Les premières neiges du début de janvier nous ont offert quelques jolis paysages que j’ai réussi à conserver en photo. L’occasion justement d’aller à la découverte de ses petits coins secrets de notre belle forêt proche de La Roche aux Faucons. Mais la neige, c’était aussi l’occasion pour lui de s’essayer au BadminSnow ; )

 

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Un bel hommage à Little Big Adventure.

Un bel hommage à Little Big Adventure.

Il y a déjà 25 ans, lorsque j’ai rencontré ma Snorkys, je dois bien admettre que son intérêt pour les jeux vidéo était pour moi un indéniable plus. Très vite, cela nous a offert de longues et grandes aventures ensemble, coincés dans notre canapé, manettes en main autant qu’à simplement attendre avec une envie commune la sortie de nouveaux titres et consoles.

Assez rapidement, nous avons mis en place une manière de jouer ensemble, qui, en fonction des jeux mettaient la manette entre les mains de l’un ou de l’autre. Si c’est souvent elle qui contrôle notre personnage, j’aime assez bien mon rôle me permettant de plonger dans l’histoire, dans les détails, chercher des soluces en ligne, des astuces, puis raconter ces moments, ici sur mon Blog.

Si durant toutes ces années, nous avons donc joué à bon nombre de titres, il y a quelques jeux d’avant notre histoire commune qui semblent avoir marqué sa vie de joueuse et auxquels je n’ai jamais vraiment joué, c’était le cas de Little Big Adventure ! –– D’ailleurs, j’ai beau chercher dans ma bibliothèque, je ne trouve aucun ouvrage s’arrêtant vraiment sur ce dernier !

"Absolument Extraordinaire !" Voilà ce que l'on pouvait lire sur la boite de Little Big Adventure
« Absolument Extraordinaire ! » Voilà ce que l’on pouvait lire sur la boite de Little Big Adventure

Sorti en 1994 sur PC, Little Big Adventure est un jeu singulier signé Frederick Raynals, réalisé par le nouveau studio Adeline Software. Son auteur s’était distingué quelques années plus tôt avec son jeu Alone in The Dark, un jeu d’aventure horrifique en 3D polygonique particulièrement bluffant pour le début des années 90. En conflit avec son éditeur Infogrames, il se lance dans ce nouveau projet prenant le contre pied des jeux où la peur est au centre du gameplay qui ont depuis pris plus d’importance dans le marché du jeu vidéo.

Porté autour d’un nouveau moteur 3D, l’univers de Twinsen va prendre vie assez rapidement dans un jeu d’aventure qui se démarque clairement de ce que l’on peut alors trouver à l’époque. Ce coté « French Touch » comme aime à le souligner certains spécialistes.

Si j’ai bien évidemment eu l’occasion de voir des images de Little Big Adventure dans mes magasines Joystick, ce n’est qu’un an plus tard que j’aurais l’occasion de m’y essayer. Je dois cependant bien avouer qu’à cette époque, je n’ai pas réussi à être conquis par celui-ci ! C’est qu’au milieu des nineties, je ne manque pas de choix. Sur PC, les compilations de jeux s’échangent sous la veste, les jeux sharewares d’ID Software s’achètent en librairie pour le prix d’un paquet de chiques, et j’ai surtout les yeux tournés les vers les consoles des copains. Oui, j’ai eu depuis peu entre les mains Legend of Zelda : Link’s Awakening, et depuis, c’est armé d’une épée que j’aime à partir à l’aventure dans de jolies contrées chatoyantes (Si si, Même en noir et blanc, c’est chatoyant !) Enchainant sur l’épisode Super Nintendo puis Mystic Quest ou encore Secret of Mana.

Dès lors, ce Little Big Adventure, dans ma version pirate sans voix, et peut-être bien même sans les cinématique, avec sa petite musique Adlib FM, un peu grisounet et avec un personnage aux traits ronds, n’a d’intérêt que parce que l’on en a beaucoup entendu parlé. Je me retrouve de suite dans une prison, à devoir m’en échapper, à jongler entre le mode discret, agressif, normal, sportif… à sauter juste, se cacher… Il ne m’en faudra pas plus pour laisser tomber et m’en retourner sur « mes Zelda »… Même au début des années 2000, lorsque madame me fait découvrir la version PlayStation, je n’en garde pas un souvenir fort si ce n’est celui d’un jeu qui a une histoire pour elle !

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