Quoi que des tours, on est parti pour en faire quelques uns cette année !
Septembre est traditionnellement un mois chargé et épuisant. Il faut retrouver un rythme, tant pour nous parents que pour eux, enfants. Très vite, les routes vont se garnir de voitures, de vélos, de travaux, de feux rouge et bien sûr de bouchons. Il faudra adapter en permanence les heures de levé, de départ et des activités !
Ah, oui les activités, cette année, cela s’annonce d’un chaud boulette ici ! C’est bien simple, lors de notre dernière sortie resto, on s’est retrouvé à préparer un planning de faisabilité des trajets à faire chaque semaine avec nos 4 monstres (oui, pcq ils ne sont plus petits, c’est fini ça !)
S’il me semblait que tout serait plus simple, maintenant qu’ils sont tous les 4 sur le site du Sartay à Embourg, c’était sans compter que Charly terminerait tous les jours à 16h20. Et pour corser l’affaire, on change toutes les activités parascolaires, qui se retrouvent décomposées sur Tilff, Sprimont, Esneux, Boncelles, Rotheux et Neuville en Condroz. Pfiiiuh
J’aimerais vous partager une aventure un peu particulière que j’ai menée dans mon travail avec ma collègue et techno-pédagogue Véronique Fettweiss, ainsi que le professeur Gautier Pirotte de l’Université de Liège. Ensemble, nous nous sommes lancés dans la conception d’un jeu sérieux pédagogique au sein de Gather Town.
Dès le départ, l’idée était de sortir des sentiers battus, de proposer aux apprenants bien plus qu’un simple module de cours : une véritable expérience immersive, avec un soupçon d’évasion et quelques énigmes à résoudre. Nous leur avons donc confié un rôle fictif – celui d’experts appelés à renforcer les connaissances de « Madame la Ministre » sur différents enjeux liés à l’aide au développement et à l’aide humanitaire. Le décor ? Un ministère virtuel, celui de la République d’Hopeland, que nous avons reconstitué dans Gather Town.
Quand on parle de « jeu sérieux », plusieurs pistes existent : détourner un jeu déjà connu, insérer des mécaniques ludiques dans une activité pédagogique plus classique, ou carrément construire un univers de A à Z. C’est cette troisième voie que nous avons choisie, avec tout ce qu’elle a de stimulant… et de complexe.
De notre côté, à la CARE Outils Numériques de l’Université de Liège, nous travaillons habituellement sur la création de MOOC : des cours en ligne massifs, structurés autour de capsules vidéo, de quiz et de ressources complémentaires dans un LMS. Rien à voir, en apparence, avec un jeu vidéo ! Mais en 2021, j’avais justement cartographié différentes façons d’intégrer une dimension ludique dans un MOOC. Et parmi toutes ces possibilités, l’idée de transposer l’ensemble des éléments d’un cours dans un environnement vidéoludique m’avait paru la plus prometteuse.
C’est ainsi que nous nous sommes lancés, en septembre dernier, dans cette drôle d’aventure, portée par une envie commune : utiliser le Storytelling et le jeu pour plonger les apprenants dans une histoire captivante, où chaque énigme devient un pas de plus vers l’apprentissage.
L’air de rien, le dernier Super Mario est sorti il y a plus de 5 ans déjà avec Super Mario Odyssey, un épisode en 3D loin de m’avoir franchement convaincu. Quant au dernier épisode en 2D, il faut remonter plus de 10 années en arrière avec New Super Mario Bros. U sorti initialement sur la WiiU. Un épisode amusant, certes… mais qui n’apportait qu’assez peu de nouveautés face à l’épisode sorti sur la WII quelques années au par avant.
Avec la Hype engendrée par la sortie au cinéma de l’excellent film Super Mario, on sentait venir un nouvel opus montré le bout de son nez ! Cela se ferait-il avant l’annonce de la console qui remplacera l’actuelle Nintendo Switch, tel était alors la question… et de fait en juin dernier Nintendo présentait tout une série de nouveaux jeux dont le retour de notre plombier favori dans un nouvel épisode signé Super Mario Wonder !
Attendu pour le mois d’octobre de cette année, c’est avec beaucoup d’enthousiasme que je découvre le petit grain de folie et le coté cartoon et coloré de ce nouvel épisode qui sera donc à nouveau jouable jusqu’à 4. Voilà qui promet de bons moments à passer avec les enfants !
Les vacances d’été sont arrivées tellement vite, que je n’ai pas eu le temps de préparer de Roadbook en bonne et due forme de nos vacances dans le sud de l’Ardèche de cette année ! Mais qu’importe, l’envie était surtout à profiter et se déconnecter plutôt que de courir les kilomètres pour optimiser chaque journées. Et pour se faire notre Camping du Ranc Davaine était plus qu’une invitation à passer de super vacances !
Fraichement agrandi, avec en autre un grand parc aquatique au sein du camping, les enfants y étaient au paradis, d’autant qu’ils y retrouvaient nos amis et leurs enfants qui avaient eux aussi eu la bonne idée de réserver ce camping de la chaine Sunélia .
On découvre les nouvelles piscines du camping Sunélia Ranc Davaine en Ardèche
Habitués maintenant à ce genre de camping depuis quelques années, notre « cottage » pour 6 ne différait que de peu de ceux des autres campings. Bien qu’un peu éloignés du centre névralgique, j’étais plutôt enthousiaste de la très grande terrasse et de l’espace permettant de garer notre grande voiture 7 places. Il n’existe pas d’emplacement parfait dans ce genre de camping, mais pour ma part, notre position stratégique nous permettait de pouvoir entrer et sortir du camping facilement pour nos escapades en Ardèche, et nous donnait un accès rapide au Pool Bar et sa piscine plus calme, ce qui était quelques fois bien pratique !
Autour du bar et du restaurant, ce dernier se montrant d’ailleurs un excellent rapport qualité/prix, le nouvel espace aquatique impressionne. De nombreux toboggans sur 3 étages, des jeux d’eau et divers bassins. C’est du jamais vu et cela fait clairement partie des atouts de notre camping ! De quoi donner envie d’y revenir lors d’une prochaine aventure dans la région.
Parmi les différentes activités sur place, nous disposions d’un accès direct à la rivière, chaude de surcroît et remplie de gros cailloux pour construire des barrages ! Les filles ont pris plaisir à participer aux nombreux Sunny Club avec les animatrices. Et que dire des extraordinaires soirées proposées chaque fin de journée sur la scène ! Quelle scène pardis… les photos en témoignent, cette dernière est digne d’un vrai festival entre Soirée Mousse, spectacle de magie et Grand Show de chant et danse !
Oui, clairement, le Camping du Ranc Davaine nous en aura mis plein la vue ! De quoi oublier les petits désagréments que furent la chasse aux transats libres, les voisins hollandais souvent plus bruyants que nous et la machine à café récalcitrante.
Camping agréable, météo ensoleillée, des températures agréables… L’envie était plus d’ordinaire au Farniente, mais j’ai néanmoins de quoi vous proposer bien des visites et activités à faire dans le Sud de l’Ardèche !
Héhé, si vous êtes allés voir, comme nous, le nouveau film Lady Bug et Chat Noir au cinéma, aurez-vous retrouvé toutes les Volkswagen qui s’y cachent ?
Cela n’a pas échappé à mon oeil averti. Si certaines sont immanquables, plusieurs autres déclinaisons colorées des modèles électriques ID se cachent dans le film… dont un concept car qui rappelle la Bettle. Le film, si vous aimez la série télévisée, vous ne serez probablement pas déçu, même si l’histoire est parfois un peu décousue entre la première transformation et le premier ba… (ah shuuuut, ok)
Je suis bien content de retrouver la chanteuse Lou dans les très nombreuses chansons qui accompagnent le film… même si son grain de voix a pris une certaine distance avec la voix énergique de Marinette. On sent une envie de coller à l’esprit Disney tout en cherchant à replacer les notes du génériques… mais trop…. Ce n’est plus Noam à l’écriture des chansons. Les connaisseurs, savaient peut-être que l’interprète de Goldorak avait poursuivi sa carrière en composant différentes musiques et génériques TV avec un retour réussi avec le générique de Miraculous Lady Bug.
Les bandes sons et toute la production du film restant sous le contrôle de Jéremy Zag, producteur de la série.
Quoi qu’il en soit, Lady Bug reste l’héroïne de la génération de mes enfants, dont la série de dessin animé est l’une des seuls à avoir su surfer sur la réussite et l’ambiance de la génération dorée Dorothée, et cet adaptation sur grand écran est fut un moment familial que chacun aura apprécié, et cette réussite est suffisante pour masquer le creux de scénario entre les chansons, et offrir un petit point bonus supplémentaire à ma note !