18 novembre 2011, deux petites Miss venaient bouleverser notre vie de parents autant que celle de leur grand frère ! 14 années de folie, de complicité, de danse, de jeux… et voilà que ces deux petites Miss sont devenues des jeunes filles ! Chacune avec leur petit monde, mais qui continue à exploser lorsqu’elle sont ensemble.
Je t’aime, moi non plus, cela reste ce grain de folie qui vous uni, même si j’ai tellement souvent l’impression que ma maison va s’effondrer tant vous retourner tout votre étage : ))
Cette année, je m’y (re)colle et Je vous offre et partage un voyage. Celui d’entrer un temps dans ces 14 années en vitesse rapide… Près de 20 minutes, mais 20 minutes qui les valent bien : )
Retournez votre smartphone et Pfiuuuh, attention, ça n’est jamais de tout repos chez nous : ))
Allé mes grandes, je vous souhaite un merveilleux 14° Joyeux Anniversaire !!!
Le mois d’octobre, zoupla c’est déjà derrière nous. Nous l’avons terminé emporté dans la tempête lors d’une petite sortie en famille à Port Zélande qui nous aura fait grand bien. Tant pis si le soleil n’était pas de la partie, tant pis s’il fallait tenir son chapeau pour ne pas s’envoler… Les enfants ont profité, on s’est promené malgré tout et j’ai même englouti un bouquin !
A la maison, je prends plaisir le matin à regarder les couleurs passer de jaune à orange.. rouge… avant de finir au sol. Ces moments sont éphémères, et en ce moment, se rendre compte que le temps est compté ne me semble pas anondin… Au revoir Claude :((
Après la course folle de la rentrée, prendre un peu de temps pour voir Rose retrouver ses jouets, découvrir que Juliette chante avec Charly n’a pas de prix. Un Charly qui est venu passer une semaine à travailler efficacement à mon bureau avec quelques montages vidéo…
Après avoir survécu à l’ambiance stressante de Resident Evil 3: Némésis sur la PlayStation de Madame, nous avions enchaîné à l’époque avec Resident Evil 2, découvrant les épisodes dans le désordre — mais avec la même fascination pour ce nouveau genre que Capcom venait d’imposer : le Survival Horror.
Et voilà qu’un quart de siècle plus tard, à l’approche d’Halloween, l’envie de se défaire de quelques zombies s’est à nouveau fait sentir. Après avoir bouclé avec plaisir le remake de Resident Evil 3 sur notre PS5, j’étais finalement convaincu par la qualité de cette relecture moderne. L’occasion rêvée, donc, de donner une seconde chance au remake de Resident Evil 2, premier de la série à bénéficier du moteur RE Engine.
Quand le jeu est sorti durant l’hiver 2019 sur PS4, je me souviens avoir été bluffé : visuellement superbe, terriblement immersif, et cette impression de retrouver le commissariat de Raccoon City encore frais dans ma mémoire.
Mais très vite, les cinématiques, l’ambiance moite et les zombies dégoulinants m’avaient refroidi. Peut-être aussi parce qu’à l’époque, avec de jeunes enfants à la maison, les soirées “angoisse et sursaut” n’étaient pas vraiment à l’ordre du jour.
Aujourd’hui, les monstres ont grandi. Le plus grand s’intéresse à The Last of Us et The Walking Dead. Les filles voudraient regarder Stranger Things. Alors une fois la petite dernière couchée, on peut enfin se dire : “Allez, on se matte du zombie !”
Automne 2007. Voilà depuis quand j’ai créé mon compte sur Facebook. Ce n’est pas 20 ans, mais cela n’en est pas très loin. Je l’ai utilisé de bien des manières durant toutes ces années, mais il est claire que c’est un endroit où, peut-être avec une certaine dépendance, j’ai l’impression d’exister numériquement autour de toute une série d’autres personnes. Que je les croises régulièrement dans la vraie vie, que nous nous soyons perdus de vue ou simplement dans des discussions 100% à distance. Qu’on tape sur la tête de Facebook et des réseaux sociaux tant que l’on veut. J’y retrouvais un certain plaisir à partager, échanger,… exister.
Alors, quand un petit matin, un message « Votre compte est suspendu » déboule… Voilà que tout d’un coup, cette présentation à faire ne semble plus être cette petite pointe de stress. C’est l’impression de perdre tout un univers qui petit à petit s’installe. J’ai évidemment d’abord essayé de prendre les choses avec calme, mais les heures passants, 24h déjà maintenant, l’hypothèse de ne plus exister sur la plateforme et perdre tout ce que j’y ai construit commence à sérieusement me faire un peu perdre mon sang froid.
Bien évidemment, je suis face à un système automatisé et régulé par Intelligence Artificielle. Une belle manière s’imaginer à quoi ressemblera le monde de demain où devoir prouver son innocence et « faire appel » se fera sans l’once d’un humain. Un monde où une ligne passerait de « 1 » à « 0 » faisant d’un individu un paria numérique, interdit d’accès aux mondes, aux autres, à la parole, à se défendre… Perdant ses biens, son identité presque dans l’indifférence complète de ces 600 amis numériques suffisamment abreuver d’un flux d’information que pour constater la chose.
Ah oui, que ça fait mal pour quelqu’un comme moi plus que certainement plus dépendant qu’un autre de ce lien social, de ce sentiment d’appartenance, de ce regard de l’autre, fut-il numérique.
Dans tout ceci, j’ai presque la chance de constater que les services Meta globaux n’ont pas également mis à l’arrêt mon compte Instagram et What’sapp ! En revanche, tous les sites à l’image de Pinterest ou Sens-Critiques liés à un connexion via mon Compte Facebook me sont inaccessible…
Que faire !? Attendre… broyer du noir… Raler… Me dire que c’est une cure de désintox forcée… Je dois bien admettre qu’après le coup de couteau autour de mon blog l’année dernière, juste accepter m’est difficile… Et si je me confie plus librement ici sur mon ressenti, c’est parce que je sais finalement que mon Blog n’existe plus que pour moi, au bout d’une année, j’ai appris à le vivre de la sorte. Juste un témoin, une trace…
Quelques séances Skills Dev de Basket avec Fred pour être à 200% !
Chaud, chaud le jeudi fin de journée. Courir récupérer les filles au collège Sartay , repasser par Tilff et Méry pour jeter Juliette à la maison pendant que maman va rechercher le grand qui a fini à 17h dans sa nouvelle école. Foncer Dare Dare à Flémalle lâcher Alice Martin à la salle de Basket avant 17h pour arriver à l’entraînement de Rose de l’autre côté à Guy Lang !!
Et dire que la semaine prochaine, il faudra jeter Juliette à Neupré pour son cours de danse dans l’équation…
Parents, c’est un truc de fou !
Pfiuuh, comme chaque année, probablement toujours un peu plus, le mois de septembre s’est montré chargé, intense, comme ne laissant pas de place à autre chose que la course.
L’école a repris, bien évidemment. Les filles sont maintenant en 3° secondaire, et il faut bien l’admettre, les attentes de Collège sont fortes. Les devoirs, les contrôles ont rapidement démarré et occupent un bon moment les Miss. Rose n’est d’ailleurs pas en reste. La voici en 4° primaire, et à l’image de ce weekend, le journal de classe nous annonce des listes de mots de vocabulaire pour la dictée chaque semaine et des tables de multiplications…
Il y a pourtant du changement cette année. Une nouvelle aventure pour Charly qui démarre dans la section Art d’Expression de sa nouvelle école, une formule qui devrait bien convenir à Monsieur l’Artiste !
Il n’empêche que voilà qui vient évidemment redistribuer un peu plus les cartes de la logistique familiale. Il faut maintenant descendre vers la vallée pour qu’il attrape son Bus avant de rejoindre l’autoroute pour rejoindre le Sartay. Un itinéraire nettement moins fluide, mais qui tant qu’à présent tient la route, même si je vous avoue que je serais moins enthousiaste à descendre les routes étroites et escarpées de la vallée en hiver, plutôt que de les grimper.
Evidemment, après l’école. La journée est loin d’être terminée. Les entrainements de Basket ont repris, presque chaque jour. Alice en U16, Rose en U12. Les matchs aussi, avec ce weekend la qualification en Coupe provinciale pour notre grande.
Juliette poursuit la danse, mais à rejoint également Rose et Charly dans la troupe HonyPop. Quand au grand, c’est Théatre le lundi, guitare le mardi, chant le mercredi… Oui, oui… Il me faudrait un contrat ÜBer !
L’autonme s’est installée. Ses couleurs, mais encore un peu de soleil chaud agréable… De quoi terminer septembre par une promenade dans les Fagnes en famille.