« Sois la lumière au bout du tunnel » est le message à méditer pour ce mois de Mars issus du calendrier dédié aux athlètes des jeux paralympiques dont ma Snorkys a réalisé le shooting. J’ai pris résolution de méditer chaque mois la devise choisie par chacun des athlètes, et celle-ci me parle tout particulièrement. Agir, ne plus simplement attendre, je fais partie de l’équation qui fera avancer les choses…
Tiens, c’est amusant, voilà plusieurs personnes ces dernières semaines qui me font la remarque « Hé bien, je ne t’aurais jamais imaginé Fan de Formule 1 !« . Et pourtant, pour la 26° fois, je me suis acheté mon magazine annuel présentant les nouvelles monoplaces de la saison 2019. néanmoins, je dois vous avouer que cette année, je n’ai surveillé les essais hivernaux que d’un œil, je n’ai que peu suivi l’actualité de l’inter-saison (Tout était par ailleurs plié depuis longtemps) et je ne ressens pas cette excitation qui me rappelle que le premier Grand Prix est tout proche… d’ailleurs, c’est pour quand ? Ah, le 17 mars à Melbourne, on commence tôt cette année.
En effet, les choses ont changé depuis la saison précédente, depuis cette saison où j’ai supporté notre Stoffel Vandoorne dans la tourmente d’une écurie Mc Laren malade… Un Stoffel Vandoorne dont je suis depuis la fin de l’année dernière les ePrix en Formule E, le pendant électrique de la Formule 1, auquel j’ai finalement pris goût en quelques courses.
Ce nouveau championnat parallèle est pourtant loin d’être aussi prestigieux que la sacrosainte F1. J’avais d’ailleurs regardé la course d’ouverture sur le circuit de Pékin en 2014 et j’avais bien eu du mal à accrocher à ces monoplace qui se dépassent sur de la techno bas de gamme avec « bzzzz » et ce malgré une brochette de pilote connus à l’époque tels que Nick Heitfel et Jarno Trulli dont une bonne de dose de « fils de » offrant même un duel Prost – Senna ! Nicolas Prost et Burno Senna.
En cinq ans, il me faut admettre que la Formule E a évolué positivement. La nouvelle génération de monoplace a un style futuriste qui colle bien à l’air électrique, de nombreux constructeurs ont pris le train en route surfant sur l’élargissement des ventes de voitures de marque prestigieuse motorisée de la sorte. Ce sont donc des noms tels que Audi, BMW, Citroen DS, Mercedes, Nissan, Jaguar et bientôt Porsche que l’on retrouve maintenant sur les circuits.
Merci ma Valentine, je viens donc de commencer l’aventure après quelques hésitations. En effet, j’avais acquis Kingdom Hearts premier à sa sortie sur ma PS2. Madame et moi étions assez enthousiasme à ce concept qui mélait nos héros de Final Fantasy et le monde de Disney, mais très vite nous allions déchanter d’un gameplay un peu erratique lors d’un combat contre plein de petites bestioles noires… Las, je n’ai pas été plus inspirés par la sortie du second épisode, il y a déjà près de 15 années, malgré une si belle bande originale signée Yoko Shimomura.
Décus, nous n’avons jamais pas rencontré Anna et Elsa !
Les bandes annonces de ce 3° volet, des années lumières plus tard me donnait vraiment envie de me plonger dans l’univers de Kingdom Hearts aux cotés des enfants. Mais, on m’a tout de suite fait comprendre que l’histoire impliquait d’avoir vu non pas les 2 autres jeux mais toutes la saga… Je dois bien admettre que les vidéos d’archives, proposées pour recontextualiser l’histoire, ne sont guerre jolies à regarder dans un genre de 3D reflitées et bien vide… Elles montrent une histoire très complexes avec des personnages qui se transforment et qui se croisent…. des vidéos qui par ailleurs restent éloignées de l’univers de Disney… voilà qui fait un peu peur lorsque l’on se rend compte que ce Kingdom Hearts III n’est pas simplement le 3° volet de l’histoire, mais le 9° hors d’une sage initiée en 2002 autour d’épisodes sortis sur PlaySation 2, PSP, GameBoy Advance, Nintendo DS et 3DS !
Commencer l’aventure donne il est vrai l’impression de tomber dans la soupe sans savoir ce que l’on va manger. Les mécaniques de jeux sont très simple à comprendre, la difficulté semble trop simple et je il faut bien l’admettre, j’ai l’impression d’être dans un film interactif plus que dans un jeu pour l’instant. J’aurais également préféré commencer ailleurs que dans l’univers du film Hercules, probablement le seul Disney que je n’ai pas vu. Cependant graphiquement, c’est beau ! Nous verrons pour la suite !
Mais la suite reste bien tarabiscotée. On continue à rencontrer des personnages propre à la série, que l’on est en principe censé reconnaitre, construire et customiser son vaisseau, lire ses messages sur son smartphone,… Mais quand diable arriverons-nous dans le monde de La Reine des Neige ou de Raiponce, histoire que les enfants accrochent… Au bout de longues errances dans la ville afin de trouver les ingrédients demandé par l’Oncle Picsou… Nous avons fini par abandonner l’aventure…
Le plein de jeux sur le C64mini : L’ordinateur personnel le plus vendu au monde
Les meilleurs d’entre-vous le savent, pour moi, l’histoire a commencé par un Commodore 64. C’était les vacances de l’année 1983 et mon paternel ramenait à la maison un micro-ordinateur équipé de toutes les options, dont le lecteur de disquette, sous les conseils avisés de notre Barballo, notre oncle spécialisé en informatique.
Yes, j’ai mon C64 Mini
Mon frère et moi avions 6 et 5 ans et le C64 allait être notre compagnon pendant de très longues années, ressortant régulièrement de son armoire jusqu’en 1996.
Or donc, à l’occasion de mon 41 anniversaire, tout se petit monde se retrouvait autour du C64-Mini, version miniature du célèbre micro-ordinateur des années 80 afin retrouver les sensations d’un Pitstop, H.E.R.B.Y, Burger Time, Space Pilot ou encore Flying Ace !
Pitstop - C64 (Epyx, 1983)
Flying Ace - C64 (Avallon Hill, 1983)
H.E.R.B.Y. - C64 (Radarsoft, 1984)
Voilà plusieurs mois que je garde le garde à l’oeil et que je suis la communauté qui s’est crée sur Facebook autour de celui-ci. Aujourd’hui, moi aussi je peux fièrement m’afficher à coté de ce dernier !
Alors, que vaut cette « mini » console aux cotés d’un vrai Commodore 64, d’un autre mini console ou d’une solution reposant sur un Raspberry Pi ?
Le monde du web d’aujourd’hui laisse bien peu de place à la vie de blog indépendant. Voilà maintenant 15 ans que je fais vivre ce lieu de plus en plus déserté de visiteurs quotidiens, je sais que vous êtes quelques uns à venir y passer tous les mois et il reste néanmoins une référence pour beaucoup d’internautes recherchant des informations sur les voitures 7 places, les poussettes doubles et les bons plans vacances, raison pour laquelle je m’applique à continuer à écrire ce genre d’articles aux cotés de ce qui m’intéresse personnellement dans la tenue de ce blog, conserver un héritage d’une vision d’une époque numérique en pleine transition.
S’il y a bien sur les articles que j’écris chronologiquement, il y aussi tout ceux que j’antidate autour des mes nombreuses notes prises aux fils des années dans Scoop.it et maintenant GetPocket une fois qu’avec le temps, je peux me dire que ces informations ont de l’intérêt à être archivées dans ce projet.
Bien évidemment, la vie fait que j’ai probablement de moins en moins de temps à consacrer à mon blog mais les évolutions font que je dois me poser en général tous les 6 mois afin de régler quelques petits soucis ça et là pour que ce dernier ressemble à ce que je souhaite.
Je me concentre depuis plus d’un an par exemple à le rendre moins lent au chargement ! Bien qu’hébergé sur un excellent serveur suisse, Les Mondes de Cyborg Jeff souffraient fortement du plugin multi-usage « JetPack ». J’en avais désactivé une série d’options il y a 6 mois, mais il faut bien admettre que dans le cas de mon blog disposant d’un grand nombre d’images et plus de 2000 posts, supprimer complètement le plugin JetPack lui permet de maintenant offrir un temps de chargement honorable !
Me passer de Jetpack m’imposait dès lors de trouver une solution pour afficher mes galeries photos de manière originale (Tiled Gallery) avec un autre plugin alors que j’avais dû chercher des solutions à des conflits d’affichage des images plein écran avec mes anciens plugins « lightbox ». D’autres parts, ma gestion de statistiques de lectures et affichage du nombre de vues sur un article reposait également sur les données qui transitait vers WordPress.com au départ du plugin Jetpack.