Archives de
Author: cyborgjeff

Vinted nous lâche ?

Vinted nous lâche ?

Il y a deux, alors que nous allions tous être confiné, je découvrais Vinted qu’il allait pouvoir m’accompagner dans tous ces longs moments de solitude, en autre pour palier à mon plaisir de faire les brocantes. J’y ai fait quelques ventes et surtout quelques super trouvaille pour l’amoureux des vieux souvenirs de ma jeunesse que je suis ! Mais, voici que depuis hier, pour ne raison que l’entreprise lituanienne n’a pas souhaiter commenter, il n’est plus possible de faire d’achat depuis son compte Paypal !

Quelle galère. Hors de question pour moi de cibler mon compte en banque ou ma carte de crédit !

La situation ne semble pour l’instant n’affecter que les utilisateurs non-français, dont la Beglique mais Vinted aurait visiblement prévu un changement de politique pour le 6 avril, sans plus de détail.

Fini le lèche-vitrine virtuelle… Heureusement, le soleil revient, le gouvernement fait tomber les masques et les brocantes vont pouvoir reprendre !?

Lire la suite Lire la suite

Robomania

Robomania

Et oui, déjà 9 années que j’ai composé par première Bande Son pour un jeu vidéo sur le Commodore 64 ! Il s’agissait de PowerGlove développé par LazyCow (et dispo chez RGCD).

Nous avons travaillé depuis lors sur de nombreux projets sur Commodore 64, Amiga et NES/Famicom. Or, il y a deux semaines, il m’a encore embarqué sur une petite démo technique présentée ce weekend à la #OnlySpritesCompo2022.

Partant du thème d’introduction du jeu, retravaillé pour intégrer quelques idées de la version Amiga et ajoutant ensuite de nombreuses variations entrainantes.

Le timing était très short, mais le résultat de synchronisation avec la démo est vraiment sympa avec cette masse de petits robots à l’écran même si quelques petit effets de transition aurait été encore un plus : )

Un beau défi pour ce micro-ordinateur qui fête ces 40 ans !

Vous pouvez d’ailleurs tester le résultat directement sur votre C64, ou un émulateur !

>> csdb.dk/release/?id=214830

Lire la suite Lire la suite

Un premier effet Waouw avec Kena : Bridge of Spirits

Un premier effet Waouw avec Kena : Bridge of Spirits

En attendant l’arrivée d’Horizon II sur ma nouvelle PlayStation 5, j’avais choisi Kena : Bridge of Spirits comme premier titre à découvrir pour cette nouvelle génération de jeux vidéo et je dois bien admettre que je n’ai pas été déçu. En effet, le premier « grand jeu » d’Ember Lab aura parfaitement réussi sa mission, me donner cette effet « Waouw » tant attendu.

Les environnements oniriques sont impressionnants et l’on a totalement l’impression d’être aux commandes d’un héros de film d’animation à la Disney, c’est vraiment bluffant ! Les musiques composées par Theophany qui accompagnent le jeu sont parfaitement dans le ton et le character design de notre héroïne, des minions petits Rots ou des ennemis est lui aussi très réussi !

Kena : Bridge of Spirits - PS5 (Emberlab, 2021)
Kena : Bridge of Spirits – PS5 (Emberlab, 2021)

Kena fait clairement partie de ces jeux à prendre en main et à découvrir, même s’il laisse pourtant bon nombres de frustration derrière lui. Vu la qualité des éléments cités plus haut, le jeu vidéo avait de quoi être un « must », un titre inoubliable…. Pourtant, tout le côté narration est un peu loupé. L’aventure démarre, nous laissant dans le noir… au propre comme au figuré. La séquence de prise en main dans la nuit aurait clairement été plus impressionnante dans la chatoyante forêt. Mais ce sont les raisons du voyage de Kena, de sa présence dans cette étrange forêt et de ses pouvoir qui intriguent dès le début de l’histoire. Peut-être allons-nous en savoir plus, peut-être, mais la prise en main laisse trop de questions !

Si tout est magnifiquement jolis, on s’en retrouve assez souvent à ne pas savoir où aller et à ne pas trouver certains chemins. Ce n’est pas la carte qui apportera son aide… hors, nous sommes pourtant dans un univers fermés, avec des couloirs à traverser, même si la beauté des lieux nous cache avec réussite les limites de ce choix techniques.

Pour ma part, le mode facile, ne l’est pas tant que cela et je suis bien content qu’il soit présent ! Car bien que je vous livre ici mes quelques frustrations, cela reste l’effet Waouw qui prédomine pour moi ! Si Rayman 4 devait apparaitre un jour, il devrait au moins être aussi réussi…. et à mes yeux, c’est aussi quelques choses d’aussi extraordinaire que j’aimerais avoir entre les mains pour vivre un prochain Legend of Zelda !


Illustrations et captures d’écran à usage personnel et d’archive (Fair Use) tirées de Mobygames

A la découverte de la Lynx d’Atari

A la découverte de la Lynx d’Atari

Depuis la fin de l’année dernière, une nouvelle console a fait son entrée dans mon petit musée, la console portable d’Atari : La Lynx !

L'Atari Lynx 2 entre dans ma collection
L’Atari Lynx 2 entre dans ma collection

C’est pour ma part la première fois que j’ai pu prendre en main cette console portable en couleur lancée aux Etats-Unis en 1989 et qui arrivera chez nous l’année suivante. A cette époque, la Game Boy de Nintendo vient également de faire son entrée dans les magasins de jouets et éclipsera très vite la console d’Atari. Dès 1991, c’est SEGA qui viendra se faire une petite place avec sa Game Gear qui pour beaucoup sera considérée comme la première portable en couleur, remisant un peu plus la Lynx dans les machines oubliées !

Et pourtant, cette console avait de bons arguments technologiques ! Développée par Epyx, connus à l’époque pour les licences vidéoludiques Summer Games Challenge, California Games, Impossible Mission ou encore Super Cycle, le projet « Handy » de console portable couleur cherche dès 1988 le soutien financier d’investisseur dans son projet. Comme Florent Gorges nous le raconte dans son ouvrage dédié à l’histoire de Nintendo, une rencontre sera organisée entre les deux équipes. Rencontre qui viendra jeter un peu de doute dans les équipes de Gunpei Yokoi alors entrain de finaliser son projet Game Boy, une console portable monochrome aux performances déjà bien en retrait face à la future Lynx.

Atari investira donc dans le projet alors que sa position sur le marché des consoles 8bits ne lui a jamais permis de redresser la situation depuis le Crash du début des années 80. La console a de beaux arguments. Un écran permettant l’affichage de 4096 couleurs, une console imaginée ambidextre, la possibilité d’affichage en 3D, d’organiser des parties jusqu’à 8 joueurs. Face à la Game Boy, la Lynx avait tout pour réussir… sauf peut-être les bons jeux !

Publicité pour l'Atari Lynx - 1991
Publicité pour l’Atari Lynx – 1991 – Console+ novembre 1991 – archivée par Abandonware-magazines.org

En effet, alors que Nintendo et SEGA enchainent les succès avec Mario, Sonic, Mickey, Donald, Picsou, Megaman, Zelda, Alex Kidd,… la ludothèque de l’Atari Lynx est loin d’être excitante ! On y retrouve les portages des grands classiques de l’arcade comme Mrs Pacman, Rampage ou Paper Boy. Epyx y développera évidemment plusieurs titres en exclusivité, mais peu de grandes licences viendront soutenir le lancement de la Lynx !

S’il n’est pas facile de se trouver une console Lynx aujourd’hui, il est en revanche peu couteux de se procurer des jeux pour celle-ci. La console a souvent mal vieilli. Le processeur sonore et surtout l’écran sont souvent le point faible de fragilité et bien souvent, les jeux sont revendus pour moins de 10€, parfois toujours avec leur boite. Une console avec de nombreuses lignes blanche à l’écran impliquera des réparations compliquées, en revanche, si le témoin lumineux ne s’allume pas, alors que vous avez insérer les 6 piles dans la console ! Ne perdez pas trop vite espoir ! En effet, la Lynx a besoin d’un jeu pour faire contact, et si ce dernier est un peu oxydé, vous pourriez un peu trop vite diagnostiquer votre console en panne !

Je vous invite donc à la découverte de quelques jeux rassemblés ces derniers mois.


Test en vrac

Lire la suite Lire la suite

On a joué à Living Forest

On a joué à Living Forest

Ce WE on découvrait Living Forest, que mes amis Vincent et Carole m’avaient offert pour mon anniversaire.

Dans Living Forest, vous incarnez l’un des 4 gardiens de la forêt qui doit sauver celle-ci des flammes d’Onibi, le mauvais esprit.

Vous aurez en main l’aide d’une série d’animaux, très joliment illustrés par ailleurs, qui possèdent différents pouvoir afin de vous aider à planter de nouveaux arbres, éteindre les flammes, vous protéger, appeler d’autres animaux en renfort ou vous déplacer.

Si les actions possibles sont plutôt nombreuses et pourraient un peu perdre le premier joueur, elles reposent sur le concept de deck. On place devant soi à chaque tour, ses cartes animaux et en fonction de leur pouvoir vous pourrez envisager faire 1 ou 2 actions parmi celles citées plus haut. Il faudra néanmoins avoir devant suffisamment d’éléments additionnés en fonction de chacune de vos cartes, comme par exemple 6 éléments « eau » pour pouvoir éteindre 2 feu de valeur 3, ou 8 éléments « terre » pour acheter un arbre de valeur 8. Petit à petit certaines subtilités viennent s’ajouter en fonction de l’endroit où vous plantez vos arbres, si vous rattraper un autre esprit de la forêt ou encore renforcer votre équipes d’animaux magiques.

12 feux éteints, c’est gagné.
Mais 12 arbres différents plantés, c’est gagné aussi…
12 Lotus, c’est également gagné…

Les approches et stratégies seront donc différentes d’un joueur à l’autre… d’une partie à l’autre. Et comme vous le voyez sur la photo, cette première partie nous a demandé de cogité un peu.

Lire la suite Lire la suite