Hier, j’ai commencé le premier épisode du docu “2080 – nos futurs” qui se pose sur la thématique de “se déplacer“. Aujourd’hui, Google me fait un petit rapport sur mes déplacements de l’année 2023 : “Vous avez parcouru 16 559 km au total dont 16.057 en voiture“.
Très vite, le docu nous fait comprendre que le passage à la voiture voiture électrique aura un impact assez faible sur les 18 tonnes de CO² annuelles que produise une famille, soit 0,5 tonnes (En cherchant sur le NET, il semble que la moyenne en Belgique serait plutôt de 10)…
La “problématique” de la voiture électrique n’est pas nouveau, puisque c’est tout la chaine de production qui doit être prise en compte pour réduire l’impact CO². Mais nous en sommes seulement aux débuts, des débuts où les grandes idées se heurtent maintenant à la réalité. Le documentaire pousse plus loin, sur le besoin de se déplacer, comment, pourquoi et aussi ce qui nous pend au nez. Il arrivera bien un moment où il faudra arrêter tous ces vols en avion qui passent pourtant en permanence au dessus de nos têtes…. et je reste à penser que mes enfants connaitront un monde où posséder une voiture sera un luxe réserver aux amateurs de Lamborghini et Ferrari et où nous réserveront des véhicules autonomes adaptés à nos besoins qui viendront nous chercher d’un point A à un point B le tout contrôler par HAL et son infrastructure IA pour Ville Connectée.
Et pourtant, il y a un an, j’ai moi aussi dû me pencher sur le choix de notre prochaine voiture.
Voilà un moment que je réfléchis à transformer une “épave” de Game Boy Advance en Game Boy parfaite !
J’ai dans ma petite collection plusieurs modèles de Game Boy. Des versions classiques qui mangent les piles et qui rappellent immanquablement les souvenirs de l’époque, des Pocket, des Game Boy Color, Advance, Advance SP et même Micro Game Boy. Un point marque lorsque l’on ressort sa Game Boy du placard. “Comment faisait-on pour y voir quelque chose sur un écran si petit et si peu lisible !”
Oui, il faut bien admettre que l’on se tournait dans tous les sens pour avoir le meilleur contraste, pas trop de reflet. Le Game Boy Pocket offrait une image en monochrome un peu meilleur et les joueurs japonais avaient même eu droit à une version “light” avec un écran rétro-éclairé. Une fois la couleur arrivée, il faut bien admettre que le résultat était tout aussi problématique avec la Color et le premier modèle Advance !
Assurément, la GBA SP qui se déplie comme une Game & Watch se montre par défaut la console portable la plus réussie pour rejouer à la ludothèque Game Boy, toutes générations confondues, puisqu’elle propose un écran couleur rétro-éclairé et une batterie. En revanche, on pourrait lui reprocher de ne pas avoir un design Nintendo très marqué. Il y a bien encore la Game Boy Micro qui propose un écran rétro-éclairé de qualité nettement meilleur, comme les Nintendo DS, mais ces des deux derniers modèles ne peuvent eux recevoir que les cartouches GBA.
Je m’étais donc mis en tête l’année dernière de customiser une veille Game Boy Advance récupérée dans un état assez moyen. Néanmoins tout ce que je lui demandais, c’était de s’allumer et de lire les jeux. Au programme, un gros nettoyage, une nouvelle coque et un écran IPS nouvelle génération offrant une contraste d’image bien meilleur que ce qui existait à l’époque. Des composants que l’on trouve sur AliExpress, avec les problèmes que cela comportent d’importer des produits directement de Chine ou encore sur Amazon, taxe de dédouanement comprise.
Après plusieurs commandes annulées pour cause de colis disparu, j’ai fini par recevoir avant les vacances de Noël l’écran IPS longuement attendu, mais très vite, j’ai senti le projet tomber à l’eau.
Reçu à Noël, le Dobble “Disney 100 years of Wonder” est loin d’être notre premier jeu de société Dobble.
Depuis que les enfants sont bien plus jeunes, 7 années déjà, nous avons déjà eu de nombreuses variations de ce classique. Le concept est simple retrouver sur sa carte la seule et unique illustration similaire à la carte au centre de la table, et ce avant les autres joueurs.
Cirque, Animaux, Objets ou plus récemment Harry Potter, les différents Dobbles que nous avons eu n’étaient pas tous égaux. Certains sont mieux adaptés aux plus petits avec de plus grandes images et moins nombreuses (32 cartes plutôt que 55), d’autres ont un peu déçu, à l’image de celui dédié à Harry Potter ou finalement, il n’est pas toujours simple de donner un nom à ce que l’on voit sur la carte !
Avec cette édition, ce sont 90 cartes qui viennent rythmer la partie, soit 3x plus qu’une édition pour les plus jeunes. Les illustrations sont nombreuses et ciblent tant des héros issus de grands classiques que des nouveaux films, ce qui au final équilibre les parties en famille où chacun aura un peu petit avantage en fonction de sa génération : )
8 ans ma Rose, et voilà que le temps de mon petit bébé s’en est allé. C’est maintenant une grande et longue fille qui se promène dans la maison et à l’école, qui sait lire et adore cela. Pas possible de te lire un conte de notre gros livre Raconte moi des histoires seul, tu voudras toujours en lire quelques passages ! Oh que tu m’impressionnes !
Je suis fier de toi, de ton application à l’école, de ton sérieux au cours de Karaté, de tes jolis dessins. Tu t’intéresse à tout, des histoires de Jésus à comment fonctionne un thermomètre. Tu suis évidemment ton frére et tes soeurs dans leurs histoires, cela te tire à être encore plus grande, trop vite pour nous, même si parfois nous nous impatientons de petites choses,… on en oublie trop souvent que tu ne viens tout juste que d’avoir 8 ans.
Tu t’intéresses beaucoup aux autres. Tu t’es fais de nombreux amis et amies dans ta nouvelle école, et j’ai parfois du mal à suivre !
Tu restes notre tourbillon. Avec toi, tout vole, tout tourne. Les doudous, les pyjamas, les chaussures, les livres, les crayons… Quand Rose passe, l’ordre trépasse.
Merci de cette énergie que tu emportes avec toi, même si parfois, tu nous fais un peu peur quand tu reviens avec bosses, pantalons déchirés et griffures… On ne te changera !
En promo à moins de 5€, difficile de se dire que l’on en aura pas pour son argent avec ce retour de la franchise Arkanoïd, d’autant que si le jeu reste sous licence Taïto, permettant de conserver tout l’héritage de la série, mélodie comprise il est en effet réalisé par le petit mais talentueux studio indé français Pastagames qui nous avait déjà pondu de belles réussites par le passé tels que Maestro Jump in Music (DS, 2009), Pixel’n Love Rush (PS3, 2010), Rayman Jungle Run (iPad, 2012) ou encore Pang Adventure (iPad, 2016)
Voilà déjà bien 2 ans que j’avais vu parmi les annonces de l’éditeur Microïds, le retour prochain d’Arkanoïd. Je vous propose un petit retour en arrière à son sujet ? J’avais déjà eu l’occasion d’en parler l’année dernière lorsque que glissait la cartouche deAlleyway dans ma Game Boy ou celle de Crackout dans ma NES. Oui, Arkanoïd est un jeu de casse-brique, je dirais même LE jeu de casse-brique de la fin des années 80, réalisé par le studio japonais Taïto en 1986 sur borne d’arcade avant d’être porté sur tout ce qui était possible à cette époque !
Oh Arkanoïd n’était pas le premier, il tire la base très classique de son gameplay de Break Out de Atari, sorti en 1976, lui-même une évolution de Pong. Vous avez une balle qui rebondit sur les bords de l’écran, un palet pour l’empêcher de sortir par le bas et des briques à casser. Une fois celles-ci toutes supprimées, vous passez au niveau suivant !
10 années séparent le premier Arkanoïd de Break Out et il apporte avec lui toute une série de nouveautés. Entre autre, quelques ennemis qui se promènent dans les niveaux, qui auront un impact sur les rebonds et surtout des pilules de bonus qui viendront changer la taille de notre palet, lui octroyer des lasers, déployer un multi-ball ou encore appliquer de la colle à notre balle. Si le gameplay s’est donc étoffé, on peut également souligné que l’ambiance visuelle transformant notre simple palet en engin spatial, transposant les simples briques dans un univers futuristes et très colorés aura un impact certain sur la réussite d’Arkanoïd, un titre auquel j’ai donc beaucoup joué sur l’écran VGA 256 couleurs de mes amis, avant d’en découvrir la version à la bande son incroyable en fin de vie de mon Commodore 64.
Une fois installé le nouveau Arkanoïd : Eternal Battle sur ma Nintendo Swtich, je me suis attaqué au mode “Battle” qui propose de se mesurer à plusieurs adversaires en ligne, un peu dans l’esprit de Tetris’99 ! Difficile de bien comprendre comment fonctionne le concept et si, par exemple, j’interagis sur mes adversaires, mais évidemment chaque fois que je perds une balle, je me mets alors en difficulté et je peux alors être éliminé si je suis dans les derniers. Le concept est en soi amusant, mais je me suis rendu compte finalement que la plupart de mes adversaires étaient simplement des IA… La hype n’est visiblement pas aussi forte que pour un Tetris, Mario ou F-Zero’99 ! Pastagames n’en était cependant pas à son premier coup d’essai en la matière puisqu’il avait déjà réalisé un Pac Man Party Royal en 2019 sur iOS.
Côté gameplay, on retrouve donc ce qui plait dans Arkanoïd, le tout dans une ambiance néo-oldschool dans le ton ! Les bonus et malus sont bien présents et le stick moderne de la Nintendo Switch est bien adapté pour contrôler notre palet galactique ! En revanche, les éléments à l’arrière plan qui nous montrent nos adversaires et plusieurs effets spéciaux affectent beaucoup sur la lisibilité de l’écran, ce qui m’a régulièrement distrait et fait perdre de vue le principal, la trajectoire de ma balle.
En conclusion, ce nouvel Arkanoïd n’a peut-être pas le petit soupçon qu’il aura fallu pour se hisser au niveau de Shatter qui avait clairement réussi à renouveler le genre du casse-brique en 2009, mais il offre malgré tout un bon refresh aux amateurs de casse briques ! Et pour le prix, ce serait bien dommage de ne pas en profiter, d’autant qu’il propose également de retrouver la version originale du jeu !