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Month: mars 2014

Seraing, quand j’étais petit…

Seraing, quand j’étais petit…

Notre petite famille est arrivée en 1983 à Seraing, dans l’une des dernières maisons à vendre du quartier du Bois de l’Abbaye près du tout nouvel Hôpital venu s’implanter sur les hauteurs de la ville. Mes parents me racontaient qu’à l’époque, annoncer que l’on allait emménager à Seraing inquiétait un peu la famille ! Car Seraing, c’était La Mine et les Usines ! Il est vrai que mon arrière grand-père avait quitté le nord de l’Italie durant l’entre-deux-guerres pour venir travailler à Seraing, dans les mines de Charbon. Ma grand-mère allait d’ailleurs assez rapidement le rejoindre avec le reste de la famille et restera toute sa jeunesse du coté de la rue de Fort.

J’ai quelques vagues souvenirs d’avoir été visiter quelques maisons dans les campagnes, mais je n’ai découvert notre nouvelle maison que pour y passer notre première nuit dans mon lit, quand tout était déjà emménagé ! Moi, du haut de mes 6 ans, j’avais dit à mes parents : « J’aimerais bien une maison avec un balcon ! » Parce qu’en fait, lorsque j’allais chez Henri et José, le long des quais de la Meuse, j’étais impressionné par le balcon de l’appartement qui donnait sur la ville. Mes parents avaient donc pu faire mon bonheur, la nouvelle maison avait son balcon, certes interdit aux enfants et pas très utile, mais il était bien là !

Nous habitions avant cela dans une maison que mes parents louaient à Rotheux, pas très loin de la route du Condroz. Il parait que la cheminée tombait en ruine, qu’il y avait plein d’araignées dans le garage dans lequel mon papa ne rangeait jamais notre Polo orange, on n’utilisait pas la moitié des pièces qui se chauffaient difficilement, il fallait bien attention de plus s’ouvrir le doigt dans les vieux carreaux de la serre et ne pas boire l’eau toute verte dans les tonneaux du voisin. J’y avais vécu un peu moins de 3 ans. J’en garde surtout de bons souvenirs du très grand jardin dans lequel mon frère d’un an plus jeune et moi allions jouer à tondre la pelouse et à la bonne saison regarder les moissonneuses batteuses couper le blé. Nous allions à l’école à pied, jusqu’au centre du village, ce qui maintenant que je suis grand me permet de constater qu’il y avait tout de même de quoi faire une sacrée balade.

Les Gillons et les Martins
Les Copains de la Rue Edison

Avec mon regard de Papa, je comprends maintenant le choix de mes parents d’avoir choisi cet endroit. Au printemps de mes 7 ans, j’avais l’autorisation de pédaler sur le trottoir du 41 jusqu’au 57 de notre rue, et après une petite négociation, j’allais même pouvoir rouler jusqu’au 59 où habitaient Alain et Annick nos premiers amis du quartier !

C’est que d’autres enfants de notre âge, le quartier ou même juste la rue en était rempli : Pierre, Sylvain, Marie, Alain, Annick, Gregory, Geoffrey, Laurent, Nathalie, Laetitia, Barbarra, Emilie, Florence, Christophe, Jessica, Natacha, Xavier, Vivien, Astrid,… Sur même pas 100m. A l’époque ni l’Hopital ni le cabinet du docteur ne transformaient le quartier en extension de parking et nous avions même « Le Petit Bois » à quelques mètres pour aller construire des cabanes !

Le jardin était plus petit qu’à Rotheux, mais le quartier était à nous ! Le mot d’ordre : « On ne traverse pas la route ». Assez rapidement, j’allais me rendre compte que je pouvais aller très loin sans traverser la route, jusque derrière la Piscine Olympique. Les petites places en cul-de-sac devenaient propices aux courses de vélo, les trous d’obus dans les bois pour faire du ramping, les petits piétonniers en pente parfaite pour du Skate Board,… et les nouvelles maisons qui poussent terrain de guerre entre nous et les Insoumis !

Bien entendu, c’était une autre époque… Il est probable que l’on laisse moins maintenant ses enfants jouer dehors avec quelques consignes d’horaire et de trottoir… Mais il est certain que j’aurais eu une enfance riche et heureuse d’avoir vécu là-bas.

 

Le temps passe si vite…

Le temps passe si vite…

Mon Charly from Pierre (Cyborg Jeff) Martin on Vimeo.

Le temps file à une vitesse…. d’ici quelques semaines mon tout petit champignon aura déjà 5 ans ! Lui qui tenait dans le creux de mon bras, ‘Ahi a grandi, il construit des LEGO, argumente, râle, et ne cesse de m’étonner… Maman lui a réalisé un joli diapo des plus belles photos que nous avons prises durant les 5 premières années de sa vie.

Et pour les filles aussi… 2 ans ! J’ai déjà du mal à les reconnaitre sur certaines anciennes photos… Je suis vraiment heureux d’avoir tous ces souvenirs pour me souvenir maintenant et plus tard de tous ces heureux moments !

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HTMLizer un site en WordPress

HTMLizer un site en WordPress

Le Blog de Cyborg Jeff en 2007, première mouture WordPress.Il m’arrive souvent de réaliser des sites web « OneShot » dont le contenu va rapidement se retrouver figé dans le temps. J’utilise WordPress également pour cela, car ce dernier est vraiment très rapide à mettre en place. Cependant, WP étant devenu l’une des plateformes CMS les plus rependues, conserver de vieilles instances présente des risques pour son serveur. Afin de pouvoir conserver le patrimoine web de ce que j’ai créé, j’avais trouvé un plug-in qui semblait intéressant : Static HTML Output. Malheureusement, ce dernier implique d’avoir un WordPress d’une version 3.3 minimale, ce qui était loin d’être le cas de bons nombres de sites web que j’ai créés depuis bientôt… 7 ans.

Je me suis donc tourné vers HTTrack un outil permettant d’aspirer un site complet et d’en faire des fichiers .HTML. Le résultat n’est pas parfait, mais donne de bons résultats pour des sites en WordPress. Ce qui n’est malheureusement pas le cas sur des sites plus anciens en XOOPS.

Mon Nexus devenu fou ?

Mon Nexus devenu fou ?

Bon, dans la foulée d’une attaque sérieuse sur le serveur lié à cyborgjeff.com (depuis lors remis en état), voilà que je retrouve le lendemain matin mon Google Nexus 5 avec un comportement plus que douteux. Une sonnerie de notification genre « tulum tulum » qui s’active parfois à répétition chronique et essentiellement lorsque je manipule le smartphone. Vu la situation, il m’en faut peu pour envisager la possibilité que le téléphone ai été piraté, puisque j’avais testé le jour avant mon site web avec ce dernier ! Difficile sur le net de trouver des informations permettant de recouper le diagnostique, jusque là encore trop vague.

Après avoir passé divers anti-espion et anti-virus sur le téléphone, désinstaller les récentes applications, je n’arrivais toujours pas à cibler le problème, mais je pouvais également constater une anormale consommation de la batterie du téléphone. Le lendemain, j’ai constaté que j’avais activé le NFC sur le téléphone. Ce que je fais te temps en temps, puisque cette technologie me permet par contact d’activer le Bluetooth du téléphone et de ma chaine-hifi et de lancer une playlist Spotify, le tout automatiquement. Après avoir désactiver le NFC, la sonnerie à répétition a disparu pendant quelques jours. J’ai donc fait un test et pu confirmer que la sonnerie en question correspondait bien à l’activation du NFC, j’avais alors de quoi investiguer plus en profondeur mon problème sur Google et trouver la réponse.

Depuis 1 mois, j’ai acheté une pochette qui me permet de ranger mon téléphone et quelques cartes de banque ou publicitaire en fonction des besoins. J’avais laissé depuis une semaine la carte « Ticket Repas » dans ma pochette. La puce électronique de cette dernière à chaque contact avec le téléphone, donc à chaque fois que je le manipulais, activait une connection avec mon Nexus ! Mystère résolu ! ouf !

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