Après de longues soirées de travail, nous sommes fiers de vous partager le tout nouveau site web de ma petite Snorkys d’épouse ! Jessica Thirion Martin
Jessica Thirion, Petite Snorkys Photography, 2022
Car les souvenirs sont précieux pour écrire son histoire. Je cherche à saisir des moments forts, de la spontanéité et de l’amour, c’est là ma façon d’être votre photographe de vie. J’immortalise ces instants uniques que vous conserverez pour toujours. Avec plusieurs formations à mon actif, depuis 2009, je me suis spécialisée dans la photographie d’enfants , de familles , de futures mamans et du nouveau-né . Je vous reçois sur rendez-vous, dans les campagnes d’Esneux à quelques kilomètres de Liège où je dispose d’un studio entièrement équipé et sécurisé pour vos tout petits. Jessica Thirion, Petite Snorkys – Photographe de vie
Depuis l’automne dernier, la réflexion c’est accéléré quant à la mise à jour ou la conception d’un nouveau site web pour présenter le magnifique travail de madame. Après avoir fait migrer la sur-couche ProStudio appliquée à WordPress vers la nouvelle version tout en s’assurant que le design actuel du site reste en place, j’ai pu prendre mes marque dans la toute nouvelle interface graphique de conception de site web, plus ergonomique que la version 6, mais néanmoins entièrement repensée.
Lancé en janvier dernier, plus fluide, plus léger mais restant dans l’esprit coloré de son travail, j’ai ensuite poursuivi à optimiser au maximum les différents éléments de celui-ci, comme je vous en parlais il y a quelques semaines. L’occasion également de me replonger dans les différentes photos des années précédentes ! Bien évidemment, depuis le lancement du site web en 2010, il y a de sacré évolution dans son travail de photographe !
Depuis quelques semaines, je m’énerve lorsque, depuis mon smartphone Androïd, je ne vois s’afficher aucun résultat ciblant mon blog !
Afficher les résultats personnels
Etrangement, le problème n’apparait que depuis mon smartphone et de fil en aiguille, j’ai fini par trouver que le problème était lié à une nouvelle fonctionnalité de Google dans son OS : « L’afficher les résultat personnels ». Cette option assez « floues » fait un filtrage des résultats trouvés par Google lors d’une recherche sur base de « mon comportement ». Voilà qui aurait pu pousser Google à mettre plus en avant les résultats de mon blog que je consulte régulièrement, mais c’est bien tout le contraire qui apparait.
Désactiver l’option sur mon téléphone n’est pas une solution pour moi, car c’est également ce réglage qui permet à « Discover » de me proposer des articles pertinents tous les matins sur mon smartphone… Il m’aura donc fallu fouiller plus en profondeur.
Comme chaque années, les vacances de Noël sont un moment propice pour faire mettre un peu d’ordre sur la blog, d’autant que j’ai déjà la tête dans WordPress en préparant le nouveau site de madame.
Dans un premier temps, j’ai envisagé avoir fait une fausse manipulation à « blacklistant » mon blog ou le nom de domaine, mais j’ai fini par me retrouver sur l’espace « Google Search Console » qui remplace les outils Webmaster. C’est à cette endroit en général que l’on transmets à Google son fichier d’indexation afin d’optimiser le référencement naturel de son site web et que l’on peut vérifier ce qui coince. J’avais oublié qu’il y a quelques années, fier de la compatibilité « mobile » de mon blog, j’avais activé l’analyse pour Mobile afin de donner un coup de boost à mon blog, or depuis un moment, le nombre d’erreur lié à un problème d’ergonomie mobile y sont fréquents.
Tout en poursuivant les recherches, j’ai tout d’abord vérifier qu’un vieux fichiers ROBOT.TXT ne bloquait pas la navigation du GoogleBot. Cela ne semblait pas le cas. En analysant un peu plus en détail les codes d’erreurs et le résultat du test mobile réalisé par Google, j’ai pu constater qu’un nombre très important d’éléments n’était pas chargé lors de l’analyse de la page, dont la CSS et le code Javascript.
J’aurais bien été du genre à imposer à Google ne pas crawler les contenus sans interpréter cela en son temps, mais de quelle manière ?
Petit astuce à retenir lorsque l’on développe un site web ou que l’on cherche tout du moins à ce faire un aperçu de son résultat en mode « Mobile », que ce soit sur une tablette ou un Smartphone. Si j’ai l’habitude de prendre mon device pour faire le test, il existe, au moins dans Firefox, un raccourci clavier tout simple >> CTRL+SHIFT+M
C’est une question que je me pose régulièrement ! Comment diable rester informer du monde qui m’entoure de manière éclairée. Pendant de nombreuses années, je n’ai fait confiance qu’à ce que racontait le JT de la RTBF et le journal Le Soir. Puis un jour la RTBF a annoncé la fin de la Belgique… Un live fiction qui m’a montré qu’il n’y avait pas plus à faire confiance à ce canal plus qu’un autre, d’autant qu’au jour d’aujourd’hui, si l’ensemble des média s’est mis à la page avec un site web, de la VOD, une présence dans les réseaux sociaux,… ils se sont aussi soumis aux codes du gros titres racoleurs , aux paywall et à l’information diffusée sans avoir été vérifiée. Non, je ne crois plus en la presse depuis un bon moment !
Est-ce qu’un bon agregatteur de contenus (genre Feedly) n’est pas déjà un Spotify de la presse ? Pcq au fond, Spotify a certes permis de faire émerger un business model qui permet aux très grosses maisons de productions de gagner un peu d’argent par des abonnements, les artistes indépendants pour y être présents doivent payer … ce qui ne leur assure aucune visibilité sur la plateforme… et encore moins rétribution.
Que serait un « Spotify » de a presse, un abonnement qui permettrait de consulter n’importe quel media intégré à la plateforme… Cela impliquera un énorme travail pour que les média du monde entier entrent dans la danse pour être vraiment intéressant… et surtout on resterait limité à ne pas pouvoir partager ces articles hors du cadre de la plateforme… l’engouement étant pour la masse bien moindre que pour de la musique ou des séries.
Le danger actuel de la désinformation me semble surtout se situer autour de ces nombreux « faux sites d’informations » qui à l’inverse des bons sites d’information jouent sur du gros titres, du clic et de la démagogie alors que les articles intéressants, profonds, ne sont accessibles qu’après être passé par un pay-wall… Ces derniers sont dès lors peu partagés, échangés… et seule la presse poubelle vient polluer nos Facebook.
Hors, il est parfois même inutile de cliquer sur un article que pour désinformer. Une image qui accroche, un gros titre qui désinforme… et notre cerveau a déjà fait un amalgame d’information à notre insu.
Bref… à l’heure actuel il n’existe aucune bonne manière de rester informer correctement… Mais n’est-ce pas aussi la volonté de ceux qui tirent les ficelles (et je ne parle pas des des partis politiques, mais bien des lobbistes du dernier étage) de s’assurer que le peuple ne pense pas !
Pas de démocratie sans presse écrite pluraliste! « Quand on aura plus accès à l’information que via Facebook ou Twitter, les mandataires politiques auront encore plus de difficultés à faire comprendre leur action et les populismes et extrémismes gagneront encore du terrain! » Pour éviter cela, je propose notamment la création d’un Spotify de la presse (à l’instar de l’accès offert par l’application Spotify à la musique, ou Netflix aux films et séries) pour développer l’accès numérique à la presse écrite et la rétribution raisonnable des éditeurs. (Fabian Culot)
Capture d’écran du site web de La Meuse — février 2019 utilisée à titre personnel, de critique et d’archive
C’était tout de même un truc magique « Internet ». J’ai découvert le plaisir de créer des sites web durant l’année 2000, une porte ouverte sur le monde pour partager ma musique et j’ai par ailleurs rapidement suivi une formation en CD & Web Developper qui m’a ensuite permis de trouver mon premier job à l’Université de Liège… ou j’y ai entre autre réalisé une série de site web.
Avant de suivre cette formation et de toucher à une série d’outil de la suite Adobe, j’avais pris mes marques avec le logiciel Namo Web Editor qui permettait notamment de prendre en compte pas mal de possibilité du CSS, de belle mise en forme de la balise et des effets de survols sur les objets… Et oui, c’était une autre époque les sites web de cette époque.
Le site était bien sur en français et en anglais, Internet m’avait clairement motivé à m’améliorer à ce sujet. On y retrouvait une grande partie des musiques de Cyborg Jeff et des autres membres de Creadream Sound Studio : Pierrick, Parmy, Tbob, Codasm,… quelques photos,… mais aussi des listes ! Mes softs drink préférées, mes jeux SNES préférés, mes pilotes de F1 préférés, ainsi que les musiques de mes musiciens tracker préférés…
Ce petit site et son nom de domaine sont resté plusieurs années gentiment hébergé avec le soutient de la SPRL Wan Informatique jusqu’à ce que je me lance dans la conception d’un site web en PHP/MySQL avec Xoops !