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Tag: PlayStation

Silence, Saturn !

Silence, Saturn !

Aaah, les vieux jeux-vidéo, les vieilles consoles, j’adore ! Tant retrouver les sensations et souvenirs d’époque que d’élargir mes connaissances en matière de Playhistoire… Mais ce que j’aime également c’est partager cette passion et cette re-découverte. Au bureau, j’ai fini par corrompre mes collègues Thibault et Jeff qui ont fini par se lancer dans les brocantes à la recherche de Gameboy, mais l’autre quel ne fut pas la surprise lorsque ce dernier est revenu avec une SEGA Saturn !

Waouw, si j’ai de nombreuses consoles dans mon petit musée, je n’avais jamais eu l’occasion de voir une Saturn, juste de loin parfois sur l’étal d’un revendeur. C’est que la console 32bits de SEGA s’est assez mal distinguée dans nos contrées. La Saturn fait partie de la 5° génération de console qui démarre en 1993 avec la sortie de la console 3DO, rapidement suivie par l’Amiga CD 32 et la Jaguar d’Atari… et souffrira très vite de la concurrence avec un nouveau venu sur le marché des consoles de jeux : Sony et sa Playstation.

Nintendo se coupe une jambe,… pour mieux rebondir ?

Nintendo se coupe une jambe,… pour mieux rebondir ?

Illustration © Nintendo

Il y a une semaine, un mois, un moment,  Nintendo présentait enfin son projet « NX » maintenant connu sous le nom de Nintendo Switch ! Après plus d’un an d’attente et de secret, l’effet de surprise était plutôt moyen. Personnellement, j’avais déjà entendu tant de chose s’ébruiter qu’il m’en aurait fallut pour beaucoup pour l’être et je me dis par ailleurs qu’avoir fait tant de mystère si longtemps sera peut-être dès le départ un coup dans l’eau pour Nintendo !

Le concept, allier la puissance et l’aisance de la console de salon avec les aspects nomades de la console portable. En gros Nintendo réuni donc la WiiU et la 3DS en un seul appareil. Si pour le joueur l’idée est plutôt intéressante il me semble que le concept risque surtout d’affaiblir Nintendo qui a fortement perdu en présence sur le tableau « console de salon » face aux Playstation et Xbox et qui n’a plus autant de poids sur le marché des consoles portables grignoté par les Smartphones, la Switch risquant immanquablement de réduire les ventes de 3DS.

Personnellement, je ne suis pas vraiment emballé par l’idée pour de multiple raison… Tout d’abord, j’ai clairement le sentiment que la WiiU a été sous-exploitée. Voilà plus d’un an que Nintendo n’a plus rien sorti de fort cette console qu’il a clairement mis au placard en annonçant tellement tôt son projet « NX ». J’avais pourtant pris plaisir à ce mode jeu où je pouvais switcher de TV à portable… Ah ben oui c’est le concept « révolutionnaire » de la Switch ? La 3DS avait elle aussi un nombre intéressant de titres, mais que j’aurais apprécié pouvoir partager sur grand écran… Je ne me sens donc pas l’âme à abandonner ma gameothèque WiiU… La Switch ne disposant pas de lecteur optique !

Comme un vieux raleur, je suis déjà peu emballer à savoir qu’il faudra à nouveau repayer les titres acheter sur le store en ligne de la WiiU et la 3DS pour pouvoir en bénéficier sur la nouvelle génération. Il y a fort à parier que Nintendo aura une politique un peu moins rustre que Sony avec sa PS4, mais en sachant que j’ai déjà dû repasser par la case porte-feuille pour transférer mes quelques Super Mario World et autres Castlevania de la Wii à la WiiU… ça devient un peu énervant !

La pub annonce des parties à plusieurs, fédérant les joueurs autour d’une même Switch ou en les associant… L’idée est géniale mais pas révolutionnaire. Mais à l’heure où les gens jouentà distance, je suis assez positif à ce « retour en arrière »… Mais je ne rêve pas, il faudra bien sur s’assurer que chacun aie acheter son exemplaire.

Rien à faire, les années passent, et le monde du jeu vidéo prend une direction hypercommerciale qui me met en rogne… J’ai toujours le sentiment que les Nouvelles générations ont bien moins « Waouw » que de fonctionnalité en moins… Il faudra probablement un bon moment avant que la Switch ne me fasse envie…. là de toute manière, avec toutes les chouettes sorties débarquées sur PS4, c’est plutôt la console de Sony qui arrive enfin à me faire de l’oeil !

A Nintendo de nous sortir du Waouw et du révolutionnaire avec sa palette de héros !

Lectures en cours…

Lectures en cours…

Pile de livre sur ma table de nuit

Je parle de beaucoup de chose sur mon blog, mais il est vrai que les bouquins y trouvent assez peu leur place. Pourtant, ma vie est à l’image de ma table de nuit. Remplie de belles choses, de découvertes, d’envie d’aller plus loin, de choses que je mets de coté et d’autres qui m’oblige à faire du ping pong…

J’ai entamé Le livre perdu des sortilèges durant l’été 2013 sous le soleil d’Italie. J’ai été transporté intensément par l’histoire de Diana Bishop chercheuse dans une prestigieuse université anglaise se découvrant d’une grande lignée de sorcière et tombant amoureuse d’un vampire. Un livre bien différent des histoires à la Twilight qui ne m’ont jamais intéressées et pourtant je suis resté à l’arrêt dans l’histoire… espérant un jour m’y remettre et surtout une adaptation cinématographique !

Un livre, c’est beau ! Oh grand jamais je ne pourrais me résoudre à ne pas avoir l’objet en main et j’apprécie beaucoup être séduit par les couvertures des jolies éditions de romans modernes que je découvre régulièrement sur le compte instagram de Sophie Lvrdr. Il y a tout juste un an j’avais été plus qu’intrigué par le roman La 5° Vague. Entre La Guerre des Mondes et Walking Dead, j’avais bien accroché le rythme effréné du roman entamé en janvier dernier. Mais ce dernier se retrouvait déjà sur le petit écran, ne me laissant pas vraiment le plaisir d’en savourer le dénouement… Puis, il y a la trilogie du Passe Mirroir et son 1° tome Les fianciés de l’hiver que je viens de commencer. J’avais offert ce roman il y a quelques temps déjà à madame qui l’avait adoré, comme toutes les personnes à qui nous l’avions recommandé. Mon boulot devrait me permettre de rencontrer son auteur Christelle Dabos dans les semaines à venir et il me tenait à coeur de me plonger dans cette univers avant cela !

A coté de tous ces romans, il y a mes divers ouvrages sur la culture « Playhistoire » signés Pix’n Love que je continue à enrichir… La biographie d’Eric Chahi par Daniel Ichbiah toujours en standbye. J’alterne pour l’instant les chapitres de l’excellent bouquin « la révolution PlayStation » avec mon livre de l’été « la guerre des mascottes » dont mon frangin vient tout juste de publier une excellente critique !

Enfin, j’ai parfois besoin de moments simples, je (re)découvre depuis un bon moment déjà l’univers de Jojo de Geerts à mesure de mes achats sur brocante. Trop ignoré étant enfant, j’y trouve une magie de simplicité, de nature et de poésie de l’enfance incroyable. La série débutée à la fin des années 80 a vraiment su vivre avec son temps et apporter des petites références à l’évolution de l’enfance dans les années 90 puis 2000. Et pour clôturer, c’est également au coté de Yoko Tsuno, idole de ma jeunesse que j’aime à voyager. L’été dernier, j’avais commencé à relire l’ensemble de la série qui n’a pas perdu une ride pour enfin me plonger dans les aventures électroniques jusqu’ici inédites pour moi avec un excellent le tome 24 : Le 7° code.

Fast Racing Neo, une question de phase 

Fast Racing Neo, une question de phase 

Tiens, dernièrement je lisais sur Press- Start que certains d’entre vous rêvaient d’un nouvel épisode de la série F-Zero. Il est vrai qu’il y a maintenant plus de dix ans qu’est sorti F-Zero GX sur Gamecube et que ce n’est pas vraiment le petit clin d’œil à la série dans Nintendoland qui aura donné du plaisir aux joueurs.

Press Start - Article - Fast Racing NeoAlors, je me suis dit qu’il était temps que termine mon article pour le site dédié aux jeux-vidéo en Belgique. Pour ma part, je me souviens que je n’avais pas vraiment été époustouflé par l’épisode Super Nintendo découvert bien après Super Mario Kart, qui en reprenait le concept technique de jeu de courses en mode 7. En revanche, j’avais fantasmé un long moment sur l’achat d’une GameCube afin de flirter avec les limites sur des circuits futuristes, le tout sur une bande son magistrale de Hidenori Shoji. J’écoutais d’ailleurs la bande son en boucle et regardais de médiocres vidéos sur Youtube compensant le besoin de frissons avec un excellent substitut sur ma Playstation 2 :  Xtrem G Racing Association proposé par Acclaim.Quelques mois plus tard, après avoir buzzé la toile avec mon super remix du thème de Dr Stuard, j’allais finir par pouvoir me tester à F-Zero GX et, étonnamment, assez vite lâcher la manette. Flashy, peu lisible, difficile à prendre en main, c’est sans plaisir que je m’échinais à parcourir les circuits.Puis, il y eut cette belle surprise sous le sapin de Noël : Fast Racing Neo, une exclusivité WiiU que je me dois de vous faire découvrir !

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Les Chevaliers de Baphomet étaient en solde sur GOG

Les Chevaliers de Baphomet étaient en solde sur GOG

Voilà un sacré moment que je voulais découvrir le 5° épisode des Chevaliers de Baphomet. Après avoir attendu en vain une version « en boite », je me suis rabattu sur un promo -70% de la série sur GOG.com dont je vous parlais il y a quelques mois sur Press-Start.

Les Chevaliers de Baphomet en solde sur GOG
Les Chevaliers de Baphomet en solde sur GOG

Hors, voilà déjà deux ans que le dernier volet de la série est sorti après une campagne levée sur KickStarter. Il y a quelques semaines encore, les versions en boite étaient plutôt rares étaient toujours à des prix astronomiques. Je me suis donc laissé séduire par une promo diffusée sur le site GOG.com qui propose l’achat de jeux dématérialisée en « DRM Free » ! Avec une réduction de -75% vous pouviez obtenir l’ensemble des 5 titres de la série de Revolution Software au prix de 15$. Voilà l’occasion de (re)découvrir les aventures de Georges et Nicole !

Pour ma part, ce n’est qu’en l’an 2000 que j’ai découvert le premier épisode de la série sur Playstation. J’étais pourtant un grand amateur de jeux d’aventures Point & Click à la sauce Lucas Arts dans les années 90, mais les deux premiers épisodes déjà sortis à l’époque avaient su passer à travers les mailles de mes compilations de jeux. C’est qu’avec des dessins d’une telle qualité, des animations nombreuses, des cinématiques et des dialogues en français, on trouvait probablement cela difficilement en version pirate ?

Malgré des énigmes plus complexes qu’un Day of the Tentacle ou Monkey Island, j’ai plutôt bien accroché à ces deux épisodes notamment grâce à leur humour un peu british et leurs graphismes dignes d’un dessin animé et j’ai par ailleurs vraiment apprécié le 3° volet, le manuscrit de Voynich sur Playstation 2 qui a su à mes yeux réussir le passage à la 3D tant dans les environnements que dans les énigmes.

Il y a aujourd’hui 9 ans, je me lançais dans le 4° volet. Et depuis lors, seul Pendulo Software avait su me faire vivre de bons moments « Point & Click ». C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que je m’apprêtais à me plonger dans ce 5° volet : La malédiction du serpent, alors que la série fête son 25° anniversaire.

Dès le départ, on retrouve avec plaisir l’ambiance des premiers épisodes de la série. Les décors sont réussis et chatoyant, l’ambiance sonore adéquate et l’histoire colle parfaitement à la série. De ce coté c’est donc une réussite mais… Coté énigme, cela m’a paru un peu léger. Je n’ai buter qu’une seule fois, sur un parchemin à traduire. Il est vrai que le jeu propose une forme d’aide bien faite pour ne pas rester coincer dans l’aventure, mais je n’en ai pas eu tellement besoin. Assez souvent, les choses me paraissaient évidentes.. et parfois même redondantes. Chipoter dans les câbles électriques, 1x, 2x… mais 4x… cela fait beaucoup ! Bref, au final… à force de discussion, il était assez facile de progresser. Cela n’a rien enlever à mon plaisir de jeu, mais j’aurais apprécier me gratter un peu plus les méninges et me garder quelques soirées de plus sur le jeu avec madame.