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Tag: PlayStation 3

Est-ce que l’on retente Final Fantasy XII ?

Est-ce que l’on retente Final Fantasy XII ?

Je suis depuis plusieurs mois la sortie de ce nouveau remaster d’un des épisodes de la série Final Fantasy. Après avoir pris plaisir à revivre l’épisode FFX, mon préféré en remaster HD sur la PS3, c’est autour de FFXII de débarquer sur PS4. A sa sortie en 2007, j’avais acheté une nouvelle Playstation 2 plutôt que la nouvelle PS3… rien que pour ce nouveau Final Fantasy XII.

Il tranchait grandement avec les précédent et j’avais moyennement accroché… Pourtant, avec les années, j’ai gardé des souvenirs très précis de cette aventure et des lieux visités ! Il semble que son relifting HD sur PS4 soit une belle réussite…. Comme on peut le découvrir dans le test de Press-Start.

Se déroulant dans le monde envoûtant d’Ivalice (à l’instar des Final Fantasy Tactics et d’une perle de Squaresoft sur PS1, Vagrant Story), Final Fantasy XII nous narre le conflit opposant les empires de Rozarria et Archadia en nous faisant adopter le point de vue de Vaan, un jeune voleur venant de Dalmasca. Dalmasca, c’est un petit royaume récemment annexé par l’empire d’Archadia lors de la guerre, une bataille au cours de laquelle la princesse héritière perd la vie. De fil en aiguille, alors qu’il ne rêve que de devenir Pirate du Ciel et de partir à l’aventure, Vaan va se retrouver enrôlé dans la rébellion contre l’Empire, un mouvement résistant mené par… Si vous n’avez pas joué à FFXII, je vous en laisse la surprise, mais ce rapide pitch doit sans doute vous rappeler quelque chose non ? Un gamin qui ne rêve que de quitter la dure vie qu’il mène actuellement pour s’envoler, un puissant Empire, une Rébellion ? Final Fantasy a toujours baigné dans l’influence de Star Wars, ne serait-ce que par la présence récurrente de personnages nommés Biggs et Wedge, mais avec ce douzième opus Square Enix nous offre une véritable déclaration d’amour à l’univers de Georges Lucas : il n’y a qu’à voir la scène d’introduction pour s’en rendre compte ! (Un test à lire sur Press-Start)

Ce n’est quoi qu’il en soit pas une aventure dans laquelle je me replongerais seul et pour l’heure, madame est toujours accroc à Horizon Zero Dawn et pour ma part, j’ai encore Uncharted 4 que j’aimerais démarré depuis… 1 an !

Horizon : Zero Dawn, ma révolution PS4

Horizon : Zero Dawn, ma révolution PS4

Joueur depuis le tout début des années 80, j’ai vu le jeu-vidéo grandir avec moi. De Super Mario Bros. sur la NES à Prince of Persia en 256 couleurs VGA en passant par Legend of Zelda sur Gameboy, Devil May Cry sur la PS2 et The Last of Us sur la PS3, chaque génération a eu ses titres si spécifiques qui ont marqué les joueurs,… qui m’ont marqué moi ! En début d’année, nous avions fait le pas de plonger dans la nouvelle génération via la Playstation 4 néanmoins, il faut bien admettre que notre vie est déjà tellement bien remplie, que les occasions de jouer sont évidemment rares et je n’avais jusqu’ici encore pu tester l’un ou l’autre titres modernes : Final Fantasy XV, Resident Evil 7 et The Last Guardian. Hier enfin (Oui, enfin, début septembre quoi !), nous nous lancions à découvrir madame et moi Horizon : Zero Dawn, sorti en mars dernier, un titre exclusif à la console de Sony que je surveille depuis son annonce à la E3 de 2015.

 

Horizon : Zero Dawn - PS4
L’effet ‘Waaouuuuw’

En quelques minutes, on se retrouve immergé dans les prouesses techniques que peuvent réellement offrir les consoles de cette nouvelle ère, bien plus que les décors trop statiques du dernier Resident Evil ou les environnements certes jolis mais un peu trop vides de Final Fantasy XV. Ici, le Waouw est au rendez-vous comme il l’avait été avec le retour de Tomb Raider auquel je jouais début 2015 et The Last of Us à sa sortie durant l’été 2013. Oui, visuellement Horizon : Zero Dawn est un régal avec des environnements lumineux, vastes et colorés. Des jeux d’ombres et de lumières fantastiques. Des détails allant du lierre sur les arbres ou poussières qui virevoltent ou tout simplement les textures des personnages. On en a plein les yeux !

Je me souviens que dans son test sur Press-Start, l’ami Johnny Ofthedead avait fait le constat que Horizon Zero Dawn piochait dans toutes les bonnes idées des jeux récents sans pour autant parvenir à offrir quelque chose de nouveau et original. Pour ma part, avec comme seule expérience d’environnements aussi ouverts Skyrim sur Playstation 3 et la récente aventure de Final Fantasy XV, j’ai grandement apprécié les vastes mondes et décors variés de l’aventure tant en intérieur qu’en extérieur. Si le début de l’aventure est assez bien cadré par une trame narrative digne d’un bon film de sciences fiction, il faut pourtant admettre que petit à petit à force de s’égarer dans quelques quêtes annexes la force de l’histoire se perd un peu, d’autant que j’apprécie en général suivre ce genre d’épopée en tant que « 2° joueurs » laissant ma dame aux commandes principales… Si cette approche fonctionne toujours à merveille dans un Final Fantasy, les longs voyages à travers les terres d’Horizon Zero Dawn on par moment raison de mon immersion…

Et de fait, voilà probablement bien plus d’un mois que nous n’avons plus replongé dans l’aventure… mais il faut bien admettre que nos journées sont tellement épuisantes qu’il est bien difficile de se laisser un peu de temps à se distraire de la sorte… Quoi qu’il en soit, Horizon Zero Dawn sera est restera à mes yeux le jeu de l’année 2017, mais également le titre phare de cette nouvelle génération de console ! (Décembre, 2017)

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Le monolithe noir et moi

Le monolithe noir et moi

Débarquée en Europe au printemps 2007, la Playstation 3 de Sony aura bientôt 10 ans. A l’époque, je me décidais à racheter une Playstation 2 avec la sortie tardive de la version européenne de Final Fantasy XII. Les choses auraient peut-être été différentes si le dernier né des studios Square Enix avait été disponible sur la nouvelle génération de console, mais à son lancement, le monolithe noir n’avait que peu de titres pour nous convaincre ! Certes, la petite versions rose de la Playstation 2 ne restera pas très longtemps à la maison cédant sa place à la Nintendo DS puis la Nintendo Wii.

Uncharted 1 - PS3
Uncharted, une jungle réussie !

Tout commencera donc un weekend d’octobre 2008, alors que madame, enceinte, m’interpelle d’un « Et si tu allais acheté une Playstation 3 ! » Diable, nous sommes samedi, il est presque 18h, et il est évidemment hors de question de contrarier une femme enceinte ! Ni une, ni deux j’avais couru chez Broze lui ramener cet énorme bloc noir de 80go. Le choix des premiers jeux fut plus difficile, je n’avais guère eu le temps de préparer mon achat. Si Ratchet & Clang était assez chouette pour se faire une idée de l’éblouissante qualité d’image de la bête, Assassin Creed se montra comme une grosse déception, complexe à prendre en main et trop saccadé. Ceux-ci furent rapidement rejoint par Bioshock, Dead Space, Little Big Planet et Motorstorm Pacific Rift avant a fin de l’année.

29. Little Big Planet
Little Big Planet, un concept de gameplay novateur !

Nous voici en 2017, et ma Playstation 3 s’apprête à tirer sa révérence pour terminer sa vie dans mon petit musée, alors que mon filleul Rémi, lui va pouvoir en découvrir les plaisir sur une édition plus compacte… Les années PS3 resteront figeront donc une longue période de fidélité au catalogue de Sony. En huit an plus de 100 titres sont passés sur ma console, qu’il s’agisse de jeux originaux, des nombreux échanges faits sur Gamerz et JeuContreJeu, de titres téléchargés sur le Playstation Store ou de rétrogaming issu du catalogue de la PS1. En effet, si rapidement Sony avait supprimé la possibilité de lire des jeux PS2 sur sa nouvelle console cette dernière était capable de lire les jeux de la toute première génération. La PS3 a également initié mes achats de jeux dématérialisée. Bien sur, je n’ai jamais cédé à acheter un gros titres disponibles en boite, mais c’était enfin la possibilité de gouté à de nombreux titres dit « Indies » vendu à des prix très démocratiques !

Cerise sur le gâteau, si la PS2 nous avait fait basculer à l’air du DVD, la PS3 allait nous offrir l’accès à de nombreux films en Haute Définition grâce à son lecteur BluRay…

Bref il est tant de rendre hommage à cette console portée par de tellement bons jeux que la plupart de ceux-ci se sont rapidement retrouvés portés en ré-éditions « HD » sur la nouvelle génération. J’ai donc profité de l’occasion pour réaliser un shooting « rétro » en studio avant de vous en raconter un peu plus…

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Raspberry, 5 minutes chrono

Raspberry, 5 minutes chrono

Il était prévu d’attendre le début des vacances, mais voilà. J’avais le 9° épisode de Outlander qui se refusait obstinément à être lu au départ de ma Playstation 3, j’ai donc copié les quelques mega de l’image Recalbox sur ma carte MicroSD, glissé celle-ci dans la carte mère du Raspberry Pi³, connecté le tout sur ma télévision et en 5 minutes chrono, j’avais un installation prête à l’emploie et la possibiltié de lire mon film depuis la partie « Kodi« .

J’ai donc ensuite poursuivi les premiers tests de Recalbox. Ma manette NES30 8bitdo a été de suite reconnue par l’OS en mode USB et j’ai donc pu faire un petit essai sur l’une des ROMS libres proposées à l’installation. Cependant, impossible de pouvoir sortir d’un jeu. J’ai donc compris l’importance de l’attribution de la « HOTKEY » à l’un des boutons de la manette afin de pouvoir faire des combinaisons de touche pour sortir d’un jeu, sauvegarder ou recharger une partie…

Pour l’heure par contre, je n’ai pas encore réussi à appareiller la manette en mode Bluetooth, mais peut-être ai-je pour cela besoin d’un autre périphérique connecté en USB… J’ai de toute manière dû utiliser un clavier pour pouvoir configurer le WiFi et encoder le SSID et mot de passe.

Enfin, je pensais que la méthode d’ajouts de nouveaux jeux seraient peut-être le plus complexe mais « Que Nenni », il suffit simplement de faire un Drag&Drop depuis une interface web au départ d’un PC.

Reste une petite grande déception, la version 4.0.x BETA actuellement dispo de Recalbox ne gère pas le Commodore 64 : (
Il existe des solutions pour l’ajouter en recompilant le code source, mais dans l’absolu il faudrait attendre la version 4.1

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Playing 2015

Playing 2015

Hé bien je vous avouerais que cette année 2015 coté jeux-vidéo ne m’a pas vraiment enthousiasmée ! Certes, il y a bien eu en tout début d’année la découverte du fabuleux Tomb Raider (2013) sur la PS3 ou les excellents moments passés sur Rayman Legends (2013) et New Super Mario Bros. U (2012) mais bien loin des nouveautés. Pourtant comme chaque année je me suis penché sur le Top/Flop de l’année afin de participer au grand article de fin d’année de Press Start. Pour ma part, entre l’impasse sur la PS4 et un manque flagrant de jeux géniaux sur la WiiU qui s’encroutent déjà, mon gros coup de cœur de cette fin d’année sera… Monument Valley sur iPad que j’envoie se frotter à Fallout 4 et autre Rise of Tomb Raider.

Monument Valley (iPad)Oh, vous savez, des petits jeux à se gratter les méninges sur devices tactiles, ce n’est pas ça qui manque ! C’est d’ailleurs parfois bien difficile de se trouver quelque chose de sympa tant il y a de trucs sur les stores d’Apple et Google. Or, il y a quelques semaines, je suis tombé sur Monument Valley, passé « FREE » en ce mois de décembre. Le concept est très simple, diriger un petit personnage, la princesse Ida dans un décor labyrinthique jusqu’à la sortie.

Soutenu d’une ambiance visuelle grandiose, le jeu repose sur les concepts d’objets géométriques impossibles de Maurits Cornelis Escher, de ce fait en modifiant la position de certains objets, de nouveaux chemins s’offrent à vous. L’un des points importants de Monument Valley qui lui permet de se démarquer des tas d’autres jeux auxquels j’ai joué cette année, c’est toute l’atmosphère, l’ambiance et la narration qui tournent autour des 10 niveaux à traverser. Dès le départ, le joueur est questionné. Que fait-il là ? Pourquoi poursuit-il son chemin, qui sont ces êtres étranges qu’ils rencontrent… Cela semble anodin, mais cela transporte le joueur dans une œuvre artistique qui semble être plus profonde qu’un simple jeu vidéo, probablement l’une des forces du courant « Indie ». Reste un regret. 10 niveaux, cela se parcourt vite lorsque l’on est accroc. Pourtant, l’histoire se termine et de ce fait, j’ai le sentiment que les add-ons payants offrants de nouveaux niveaux n’auront peut-être pas l’âme narrative de ce premier épisode.

Gageons que l’année 2016 redore le blason de Sony écorché dans mon coeur. Pour l’heure, la PS4 ne dispose d’aucun jeu grandiose qui me donne envie et s’aguiche de remake HD et d’un catalogue en ligne qui m’impose de tout racheter une 2° fois, ce qui a le don de me mettre en rogne à chaque fois que j’y pense !

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