La crise énergétique dans laquelle la situation Post-Covid, puis la guerre en Ukraine nous a plongée nous a fait longuement réfléchir à comment être moins dépendant du marché énergétique.
En effet l’explosion du prix du Gaz s’est envolé fin 2021, ce dernier étant particulièrement dépendant de la Russie. Mais je n’imaginais pas à l’époque que cela aurait un impact tant sur les produits pétroliers que l’électricité…. mais également sur le prix du sac de pellets !
Nous ne sommes pas raccordés au Gaz. Ici c’est une chaudière au Mazout qui fourni l’eau chaude sanitaire et de chauffage laquelle est soulagée en hiver par un poêle à Pellets.
S’il fallait 1020€ pour remplir ma cuve de mazout fin 2021 (0,68€/L), un tarif loin d’être le plus intéressant, les prix se sont envolés ! Je suivais déjà régulièrement les prix du mazout de chauffage sur Mazout-On-line.be, cela m’a permis de passer entre les pics, grimpant jusqu’à 1,6€/L, et remplir cette dernière entre 0,88€/L et 1,1€/L durant l’année 2022, soit +/- 500€ de plus pour la même quantité.
De fait, jusqu’ici, j’étais toujours au courant des nouveautés à venir du constructeur d’appareils photo japonnais grâce à mes divers outils de veille, mais je souffre depuis l’année dernière d’une part d’un manque de temps, mais surtout de la disparition d’outils efficaces. Bref, je n’ai donc pas été avertis des informations qui auraient pu émaner du site Nikon Rumours ou Site Geek.
Or, la sortie de ce nouveau boitier full-frame profesionnel m’intéresse tout particulièrement ! En effet, j’attends depuis près de 7 ans un boitier digne du Nikon D700. Si aujourd’hui, le D700 ne peut plus rivaliser avec ces successeurs que furent les D600, D610, D750, D800, D810 ou le plus récent D850, aucun d’eux n’ont pu se positionner comme l’arme parfaite ! D6xx et D750 m’ont toujours donné l’impression d’être bridés, devant faire trop de concessions. En contre partie les D800 et D810 étaient moins performant en basse lumière et équipé d’un capteur imposant rendant la taille des fichiers énormes. En 2014, j’avais analysé le marché qui accueillait alors le D800, le D4 et le DF. Seul le D4 faisait mieux sur les critères qui m’importaient, mais à un tarif de près du double du prix du Nikon D700.
Au printemps dernier, je m’étais arrêté sur le Nikon D850. Ce dernier était annoncé avoir amélioré sa gestion des basses lumières (comparativement au D810), mais avec un capteur de 45MP et un tarif à plus de 3500€, on ne peut pas parler de véritable remplaçant du D700.
La semaine dernière, mon équipe s’envolait pour Naples afin de participer à un colloque majeur lié aux MOOCs. J’avais profité de cette occasion pour emporter avec nous le nouveau boitier hybride signé Sony, l’Alpha 7rIII équipé d’un objectif Sony monture E full frame 50mm F 1.8.
Déjà testé pour ses performances en tant que boitier vidéo, avec notamment un follow focus impressionnant lors de prise vidéo en mouvement, c’était ici l’occasion de mettre au défi ce petit boitier compact à la finition impeccable d’un part des environnement mi-ombre, mi-soleil lors de la journée du dimanche, puis en mode nuit par la suite.
Dans une gamme Sony Alpha 7 trop vaste, il n’est simple de savoir ce que chacun des boitiers à comme caractéristiques et différences. Même en magasin, je n’ai pour l’heure pas réussi à pouvoir obtenir des renseignements précis, je me suis donc fait un petit mémo puisque l’on retrouve encore aujourd’hui sur le marché l’Alpha 7, l’Alpha 7II, l’Alpha 7III, l’Alpha 7r, l’Alpha 7rII, l’Alpha 7rIII, l’Alpha 7s et l’Alpha 7sII avec des prix allant de 850 à près de 3000€.
42 megapixels – ISO 6400 – 50mm F 1.8 – L’équipe à Naples
Si l’on tâchait de faire simple, à l’origine la différence significative entre le modèle de base et la déclinaison « r » est sur base d’un boitier identique l’utilisation de deux capteurs full frame différents. un 24 megapixels et un 42 megapixels pour la déclinaison « r » (36 dans sa première version). Le nombre de megapixels offre des images avec énormément de détails et la possibilité de faire de large agrandissement (ou de forte coupe), mais il réduit l’efficacité du capteur en faible lumière, sa plage de sensibilité est donc plus courte. Enfin, la série « s » est initialement dédiée à la vidéo, avec des modèles équipé d’un capteur de seulement 12 megapixels afin d’élargir encore la plage de sensibilité mais pouvant également filmer en 4K et en slow motion.
Néanmoins, les 2 premières génération de Sony Alpha 7 souffrait d’une trop faible autonomie. La 2° génération apportait un capteur stabilisé, la possibilité de filmer en 4K sans utiliser de périphérique externe ainsi qu’une amélioration du follow focus, mais indéniablement, la 3° génération se présente comme parfaite avec une nouvelle série de batterie 2x plus performante. En effet tant en reportage vidéo que sur quelques jours de reportage photo, cette dernière ne nous a pas fait défaut, alors que, rapelons-le, il s’agit ici d’appareil photo hybride. A savoir, qu’il ne dispose pas d’un viseur optique, mais bien d’un viseur LCD qui doit donc être alimenté.
C’est fait, j’ai de quoi disjoncter ! J’ai reçu ce lundi un courrier de Zéno, mon fournisseur d’électricité qui m’annonce qu’il se retire du marché de la distribution d’énergie. Oh joie, c’est que cette année, ce sera donc pour une deuxième fois que je vais devoir à la hâte changer de fournisseur ! Une situation inadmissible.
En mai dernier, après de longues années de collaboration avec la société Belpower, j’apprenais que RESA leur coupait le courant, me laissant 3 semaines pour changer de fournisseurs. A défaut, je serais automatiquement branché au tarif le plus élevé alors que je disposais d’un contrat sur 3 ans à un tarif avantageux au vu de la conjoncture actuelle. Après de longues recherches comparatives, j’avais été séduit par la société liégeoise Zéno, rebranding zen du petit acteur Klinkenberg. Avec un tarif raisonnable et surtout un service humain, j’oubliais l’amertume de la situation… jusqu’aujourd’hui !
Le courrier du jour, est peu clair et invite à se presser à accepter l’offre de transfert de son contrat pour MEGA que j’avais déjà refusé il y a 6 mois. En effet, mon premier contrat chez Belpower m’offrait un coût kw/h à 4,94c€, signé en 2017. Au mois de mai, je devais monter à du 5,95c€ mais avec des frais fixes administratifs un peu moins élevé… A ce jour, vu la situation énergétique belge en plein mois de décembre catastrophique… on fleurte les 8,40c€ le Kw/h ! Fantastique ! Merci Zéno !
Source : L’Echo
« Le cadre régulatoire change sans cesse, de nouvelles obligations de service public vont nous être imposées au 1er avril, les impayés sont en nette progression, surtout en Wallonie, et la rentabilité n’est là que si on a une masse très importante, poursuit Sébastien Otten. Nous perdons 80% de notre temps à servir 20% des volumes. C’est la raison pour laquelle nous avons pris cette décision stratégique. » (Un article à lire dans l’Echo)
Mais en réalité, Zéno se débarrasse juste de ses 15.000 clients particuliers pour se concentrer sur les entreprises et clients privés. Un clientèle bien plus facile à gérer et chez qui il faut un peu courir après les paiements d’autant que le marché belge de la régulation énergétique aux particuliers changent encore la donne pour les opérateurs… raison principale pour laquelle Zéno s’éclipse à cette date et se doit d’en informer ses clients maintenant !
Il y a quelques semaines, nous fêtions ns 10 années de mariage ainsi que nos 18 années à deux. Durant toutes ces années, nous avons eu l’occasion de nous trouver passion commune à découvrir villes et villages et organiser de nombreux trips en famille. Pour nos 10 ans, nous rêvions d’Ecosse, mais un tel voyage sans les enfants étaient encore un peu utopiste, nous nous sommes alors dit que Versailles nous plairait également, comme je vous en parlais en préparant le City Trip.
Paris Montmartre en amoureux
J’avais en tête que Versailles était grand de mon étape éclaire lors d’un voyage découverte de Paris gagné à l’école en 1990 et que nous n’en aurions donc pas pour 2h pas plus, néanmoins envisager de passer un moment à Paris dans le même Weekend, pourquoi pas ! Il allait pourtant falloir un peu improviser avec une grève « surprise » des Trains et RER. Nous tentions donc avec efficacité l’installation de Uber sur notre smartphone pour nous rendre sur la bute de Montmartre, flâner dans les magasins à touristes, découvrir le Sacré Coeur, boire un verre en terrasse avant de découvrir les métros de Paris à l’aide de l’app RATP afin de sauter d’un endroit à l’autre de la ville faire un tour en bateau sur la Seine, faire une photo de la tour Eiffel, manger un morceau dans le vieux Paris et terminer la promenade dans le quartier des artistes avant de reprendre un train jusque Versailles… Oui, on en a eu un !
Cela change évidemment de notre visite avec les enfants de Paris il y a quelques années…