Et oui, je dois bien vous admettre que j’éprouve une certaine fierté de voir aujourd’hui l’arrivée de mon nouvel album « Super CJ Land » sur l’iTunes Store, Spotify, Amazon ou encore Juno Download, bref la plupart des sites de vente de musique dématérialisée. Certes, je m’écarte du circuit de la distribution libre et gratuite que je proposais par le passé et ce, afin de pouvoir bénéficier de ces réseaux pour faire découvrir mes BliipBliips à un plus large panel !
Très prochainement je vous ferais découvrir les versions collectors de l’album, qui seront proposées via BandCamp… CD dédicassés, cartouches GameBoy à l’effigie de l’album et peut-être bien des GameBoy custo… tout cela se met à l’étude.
J’espère que vous appréciez ce long travail musical !
Encore merci à tout ceux qui m’ont aidé récemment dans ce projet : Vadu, Pete Corvus, Shortcut, Tohad, Pype, Pierrick, Matt, LLB, Zavie,…
Bonne année mes amis ! Enfin, enfin le voilà ce nouvel album de Cyborg Jeff ! Je sais, cela fait très très longtemps qu’il est dans les cartons et que je vous en parle… Il est loin d’être l’album que j’avais imaginé au départ et j’ai parfois pris plus de temps à penser à ce qu’il serait qu’à le faire avancer… c’est que mener de front la vie de Papa, de boulotS et de Cyborg Jeff est loin d’être facile ! C’est vous dire à l’origine, il devait s’agir d’un ChipDisk programmé par Steve ‘K93’ Kossouho et animé par Sylvain ‘Pype’ Martin. Ce qui remonte à 2004 !
Ce nouvel album de Cyborg Jeff se veut un retour aux sources. Sans être réellement un album de « Chiptunes », chaque musiques à ce petit goût de TinyDéfi de travailler avec des sons minimalistes tels que l’on pouvait les entendre dans les musiques de jeux des premiers micro-ordinateurs et consoles, mais également dans tous le courant Chiptunes Oldskool Demoscene Sound Tracker qui en a suivi. Ce style de musique m’a fortement inspiré dans ma jeunesse et tout au long de mes créations musicales avec des artistes tels que Rob Hubbard, Chris Huelsbeck, Jeroen Tel à l’époque où je jouais sur mon Commodore 64 puis Jake Kauffman (Virt), Allister Brimble ou Frédéric Motte (Moby/Elmobo).
Super CJ Land : Welcome to my TinyWorld n’est pas donc pas qu’un simple album de Chitpunes ni même un album uniquement composé avec un GameBoy par exemple, c’est un voyage plus large au pays de Cyborg Jeff autour de toutes ces sonorités simples et de défi de miniaturisation. Les moyens ont variés au cours des projets ! Vous retrouverez par exemple des musiques composées avec l’outil Farbrausch de son FM bien connu dans le monde de la Demoscène, vous retrouverez des sons rappelant bien entendu l’univers du mythique C64, mais également des sons plus « Jeux Vidéo » à la sauce Amiga et Nintendo… J’espère que cette variété saura donner une petite touche personnelle à ce nouvel album !
The Legend of Zelda : Link’s Awakening – GameBoy (Nintendo, 1993)
Il y a bientôt vingt ans, je découvrais pour la première fois les aventures de Link avec Legend of Zelda sur la Nintendo GameBoy de mon ami Alain. Ce n’était certes pas le premier épisode de la série, mais c’était pour moi une première rencontre, et même le premier jeu d’aventure que j’allais découvrir. L’épisode GameBoy était magnifique, probablement l’un des plus beaux jeux sur cette console, avec une ambiance toute particulière que je n’ai d’ailleurs jamais plus retrouvée dans les autres aventures de la série… Pour moi qui avait alors 16 ans, toutes ces mécaniques de jeux étaient nouvelles. Se promener dans les villages, la forêt, discuter avec les personnages comme j’avais à le faire dans un Monkey Island pour résoudre des énigmes… tout en devant trouver une épée pour combattre les ennemis, une plume pour sauter au dessus des trous, un gant pour porter des cailloux bloquant le chemin, un coquillage pour une petite sirène,… Legend of Zelda arrivait à mélanger tous les styles de jeux que je connaissais jusque là, de l’action, de la réflexion (avec des énigmes dignes du pousseur de caisse de Sokoban), de la recherche d’objet, de l’amélioration de pouvoir, une histoire enivrante et des personnages attachants.
Au printemps dernier, Nintendo annonçait un tout nouvel épisode des aventures de Link développé sur la console portable 3DS. Abandonnant le concept graphique des épisodes précédent Phantom Hourglass que je ne trouvais pas vraiment sympathique, le style ce veut être en hommage aux épisodes du début des années 90, plus spécialement l’épisode sur Super Nintendo : A Link to the past qui fut développé en parallèle de la version GameBoy.
The Legend of Zelda : Link between worlds – 3DS (Nintendo, 2013)
Bref, en début de semaine, j’allais pouvoir trouver un petit 1/4 d’heure pour enfin déballer Legend of Zelda – A link beetween worlds, la suite spirituelle de l’épisode Super Nintendo de 1992. Comme à mon habitude, j’avais essayé de ne pas trop suivre les actus sur le jeu, histoire de me réserver le plaisir de découvrir, d’ailleurs c’était même un peu surpris que j’avais vu qu’il sortait le 22 novembre, à un prix très compétitif de 32€ sur Amazon ! En quelques secondes, j’étais déjà sous le charme.
« Aufait Pitu, c’est quoi une sauvegarde ? Je suis petit, alors je ne sais pas ce que c’est… »
Rien que par cette petite phrase, je faisais un bon de vingt en arrière… pour me retrouver sur Cocolint, l’île où se déroule les aventures de Links sur GameBoy, où les petits enfants que je pouvais y rencontrer me donnaient des brides d’infos sur les commandes de base avec des expressions bien similaires. Le style graphiques des épisodes SNES et Gameboy étant très similaire, avec ou sans couleur, je replonge vraiment dans les moments magiques où je me calais dans mon lit à jouer à jouer tout l’après-midi à Zelda, jusqu’à ce que mes piles commencent à fléchir…. Mais bon, un petit coup de « girouette » pour sauvegarder, car j’ai des montages vidéos à finir !
Oui, difficile de coupler jeux-vidéo, enfants et boulots, boulots… quoi qu’il en soit, j’ai tout même pu me trouver d’autres petits moments détentes pendant la semaine… le temps de visiter le cimetière et constater que pour un début, les énigmes impliques déjà un peu de réflexion pour une personne ne connaissant pas du tout les mécaniques de Zelda… et de la logique sans s’encombrer d’un tutoriel pour les habitués… Je dois avoir grosso modo 40 minutes de jeux pour l’instant, et j’ai visité la carte d’est en ouest. J’ai déjà dû jongler entre épée, arc à flèche, soulever des cailloux, allumer des torches et me protéger avec mon bouclier. Difficile de comparer avec A Link to the past sur Super Nintendo, je n’ai jamais été très bon à cet épisode, mais comparativement à l’aventure GameBoy, il faut déjà pas mal jongler entre le A,B,Y et R.
Alors à vous dire également, je trouve la 3D vraiment bien utilisée. Elle donne vraiment un effet de profondeur réussi, lorsque l’on soulève des objets, lorsque les ennemis sautent par dessus notre petit héros. En contrepartie, Link n’a pas encore eu recours au fameux pouvoir de se transformer en peinture… ce qui est pour l’instant ma plus grande crainte quand aux modifications du gameplay que cela pourrait apporter.
Bon, vivement la prochaine session ! … et j’espère que j’arriverais à y donner goût à madame.
Cela fait quelques mois que j’en parle… j’avais envie d’une Nintendo 3DS, dernière console portable de la marque sortie il y a déjà plus de 2 ans. Sans être vraiment convaincu par le concept 3D de cette dernière, ce sont plutôt les jeux liés l’univers Nintendo qui ont fini par me donner envie… Les Mario, le prochain Zelda,… Je nous avais choisi le joli modèle collector XL dédié à la sortie du jeu Animal Crossing au mois de juin. Après plusieurs semaines de recherche, j’ai finalement pu en trouver une avant notre départ en Italie. Premières impressions !
Souvenez-vous, j’avais déjà eu l’occasion à quelques reprises de tester la 3DS de Mattéo, le filleul de madame, mais cela ne permettait pas vraiment d’en faire un tour complet. Juste de découvrir le soin apporté à des titres tels que Super Mario Land 3D, Mario Kart 7 ou encore le récent Luigi’s Mansion 2. Tout d’abord, je trouve que comparativement à la DS, cette nouvelle console est très accessible pour sa mise en place, et notamment le paramétrage WiFi qui reste une étape parfois compliquée pour certaines personnes ! On sent clairement l’influence Wii dans les menus, ainsi que la création de son Mii. J’aurais tout de même apprécié retrouvé un petit outil de dessin/chat comme proposé dans la Nintendo DS.
Concernant l’écran 3D. Je reste perplexe. D’autant que bizarrement, j’ai l’impression que la tolérance de position de l’écran devant les yeux afin de bénéficier de l’effet 3D me semble moindre que sur la version classique de la 3DS. Trop régulièrement l’image se dédouble. Le concept restait novateur, c’est bien certain, mais on ne peut pas dire qu’il soit un argument commercial de choc. Quoi qu’il en soit, cela apporte dans les jeux un peu de profondeur sympathique.
Animal Crossing : New Leaf
C’est donc Animal Crossing, jeu de gestion/social d’une petite ville qui est embarqué sur une carte SD de la console. Le jeu se charge visiblement aussi rapidement qu’un jeu sur cartouche. Dans un style toujours aussi mignon et coloré, Animal Crossing a vraiment un petit style bien à lui qui me plait… et qui plait également beaucoup à madame. Quoi qu’il en soit, Il faut bien admettre que dans l’ensemble cette nouvelle version se distingue faiblement du premier épisode que nous avions acheté à sa sortie en septembre 2004 sur Nintendo GameCube que ce soit coté graphisme ou coté gameplay. Le coté social a été tout de même amélioré, puisqu’il est maintenant possible d’aller se promener dans la ville d’un ami et de le rencontrer, il faudra évidemment pour se faire utiliser la connexion internet et avoir un ou des amis disposant du jeu.
Et de ce coté, Nintendo reste toujours une bonne guerre en retard avec son système de Code Ami un peu complexe à gérer pour jouer ensemble… Une manière de protéger les enfants de l’univers des jeux en réseau.
Animal Crossing a tout suite sur reconquérir ma petite Snorkys et je l’ai retrouvé à de nombreuses occasion entrain de chasser les insectes et embellir sa maison. Mission réussie ! Il semble que quelques concours et autres activités de type mini-jeux sont venues se greffer aux jeux afin de donner plus de profondeur à l’aventure… Mais le concept reste le même, des mini-sessions de jeux une ou deux fois par jour. Cela pourrait donc être un bon compromis pour des adultes comme nous qui avons une vraie vie… Cependant, moi qui n’avait que des fins de soirées pour y jouer… je me retrouvais toujours après les heures de fermeture des échoppes de la ville, ne pouvant donc pas trop avancer dans mon histoire…
Depuis un long, très long moment, j’ai envie de vous parler d’une de mes « nouvelles » passions. Depuis bientôt un an je ne sais jamais trop par quel coté entamer le sujet et mon frère m’a dégoté hier un BD-Strip de Maliki tout à fait de circonstance. Je vous en livre quelques extraits, mais je vous invite vraiment à le lire entièrement sur le site de Maliki !
Depuis un peu plus d’un an maintenant, nous visitons les petits villages de Belgique le dimanche matin, avec la Kangoo, la poussette et les enfants… On s’en va à la Brocante ! 1€, 2€, 4€ me raconte Charly ! Ce sont de chouettes moments en famille, de chouettes balades qui s’accompagnent le plus souvent d’un bon pain saucisse… Je fouille, je scrute, je chine… et je reviens bien souvent avec de chouettes trouvailles !
BDs, Playmobil, Lego, livres pour enfants… et bien sur de vieux jeux vidéo. Oui, comme Maliki j’ai pris cette passion de retrouver ces jeux souvenirs de moments incroyables de ma jeunesse, passés avec les copains, CHEZ les copains… Puisque bien souvent, mes parents avaient fait le blocus des Nintendo et autres MegaDrives !
Oh, bien sur, on en trouve aussi sur les sites de vente, dans les Cash Converter… Mais à des prix « exorbitants ». Que ce soit pour les jeux vidéo anciens ou pour tout ce qui touchent au vintage des années 80, M.A.S.K., MicroMachine et compagnie… Cela reste sur les brocantes que l’on peut faire de belles découvertes… je préfère ce terme à « de bonnes affaires ».
D’ailleurs, même en vacances je me note quelques brocante à faire. L’année dernière, lors de nos vacances en Normandie, j’avais trouvé une belle édition de Tomb Raider et Heart of Darkness pour quelques cents.
Nous avons repris la saison cette année avec la grande brocante de Crisnée. Et après une dur hiver où je voyais grimper la cotte des GameBoy à bien plus de 25€, je suis content d’un retour à la norme entre 5 et 7€…
Je commence à avoir une jolie collection de souvenir, il faudra d’ailleurs que j’en fasse une belle liste entre les jeux PC, Playstation, Megadrive, Super Nintendo, Gameboy, NES, GBA, GBC, Atari, C64,…