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Mr Nutz, de la Game Boy Advance à la GB Classic

Mr Nutz, de la Game Boy Advance à la GB Classic

Si je n’ai jamais pu jouer à Mr Nutz lorsqu’il est sorti en 1994 sur consoles de Salon, j’ai en revanche eu l’occasion à l’époque d’y jouer sur ma Game Boy ! Après avoir testé il y a quelques années l’adaptation sur GBA, je peux ajourd’hui un peu plus apprécier la qualité du travail réaliser sur la version portable monochrome de Nintendo.

Il faut souligner une excellent maniabilité pour un jeu de ce genre, et ce malgré les nombreux grands sprites à l’écran. Le jeu ne ralenti pas, et l’on sent notre écureuil répondre à la noisettes près ! Le titre n’en reste pas difficile, même s’il est possible de s’ajouter des continus, il faudra réussir à atteindre le 2° monde pour en bénéficier… et non le second niveau.

Mr Nutz sur Game Boy
Mr Nutz sur Game Boy

Malgré les 4 tonalités de gris de la Game Boy, tout est parfaitement claire à l’écran, digne des meilleurs Super Mario Land 2 et Wario Land, incroyable ! Côté musique, cela ne marque pas les oreilles !


Il n’est pas trop tard pour découvrir Ocarina of Time

Il n’est pas trop tard pour découvrir Ocarina of Time

Il fallait partir pour l’hôpital. Dans l’idée j’allais juste pour au plus 1 nuit avec Alice aux urgences puis suivrait rapidement l’arrivée de Rose et l’accouchement. J’avais donc emporté dans mon sac ma console 3DS avec un titre bien choisi… Quelque chose succeptible de m’occuper quelques minutes, une heure au plus sans pour autant me distraire trop afin que je reste concentré sur l’accouchement !

Legend of Zelda : Ocarina of Time 3DMon choix c’est donc porté sur Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D acheté quelques mois plus tôt et mes amis Santo & Christel. Oui, cela pourra faire sourire plus d’un connaisseur, puisque de l’avis de beaucoup, Ocarina of Time fait partie si pas des meilleurs jeux-vidéo au moins des meilleurs Zelda. Hors à mes yeux, Ocarina of Time n’a jamais été d’un grand intérêt. Certes, je n’y avais jamais joué, mais dans l’ensemble la période 3D de la Nintendo 64 n’a jamais su me séduire… Les jeux 3D dans leur ensemble me paraissent toujours peu maniable et surtout à cette époque j’étais toujours resté sur les frustrations de la série Tomb Raider. Déjà lors de la lecture de Zelda : Chronique d’une légende, j’avais un peu été agacé par l’encensement fait sur cet épisode monopolisant un trop grand volume de pages…

Bref, si les trois premières nuits à l’hôpital avaient été suffisamment mouvementées que pour ma 3DS reste dans mon sac, la planche qui me servait de lit et les insomnies ont fini par me pousser à démarrer l’aventure. J’ai donc erré un instant dans le village des Kokiri avant de me retrouver devant le vénérable arbre Mojo. Jusque là, je n’étais pas tellement emballé. Le lifting 3D laissait toujours ce sentiment de traverser un décors polygonaux et devoir tournicoter pour savoir où aller. Ah tout de même j’avais apprécié retrouver le gros hibou et ses conseils comme dans Link’s Awakening. Je suis alors entrer dans l’arbre pour mes premiers défis, combat et phases de réflexion. Et j’ai commencé à accrocher à tout cela.

Legend of Zelda : Ocarina of Time 3DLà où je m’attendais à beaucoup de frustration tant dans la progression du « donjon », les combats ou simplement la gestion de la caméra, j’ai pris plaisir à y trouver mon chemin, résoudre les petites énigmes et combattre les ennemis. Oui, clairement Miyamoto l’avait effectivement drôlement réussi son nouveau Zelda et c’est donc en tentant de m’imaginer être en 1998 que j’ai poursuivi l’aventure. Comme si j’attendais depuis 5 ans la suite de Link’s Awakening sorti en 1993 sur la Game Boy,  un si long développement où le gameplay avait été plusieurs fois été repris à zéro.

Oui, en m’imaginant à cette époque, plein de petites choses me paraissaient vraiment amusantes. La grande plaine à parcourir et cette impression d’immensité, la gestion du temps jour/nuit, les jolis petits villages et leurs ruelles à découvrir, le ciblage des ennemis, les idées d’énigmes… et même les phases d’approche que j’ai tendance à détester.

Ocarina of Time - Nintendo 64J’ai donc continué l’aventure durant ce long séjour à l’hôpital pendant qu’Alice dormait, rencontrant la princesse bien au chaud dans son château, apprenant mes petites mélodies à l’ocarina dans la crypte du cimetière et au fin fond de la forêt, rencontrant même pour a première les fameux Gorons dont m’avait déjà tant parlé le frangin !

Bref, à posteriori, cet épisode refilté sur la Nintendo 3DS aura été mon coup de coeur de l’année 2015 mais par contre quand je regarde les graphismes de l’épisode d’origine… rien à faire, je ne suis toujours pas plus emballé !

La version Nintendo 64 propose bien sur des graphismes bien plus grossiers même si la 3D pour l’époque est quand même réussie pour les bâtiments. Les personnages par contre sont loin d’être aussi sympathique, mais je pense que les des éléments les plus agréables de la version 3DS ce sont les couleurs chatoyantes qui remplacent l’univers gris et fade d’origine…

Hyrule N64 VS 3DS

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Mon petit musée

Mon petit musée

Rangement de la collection - 2015

Lorsque j’ai découvert le monde du jeu-vidéo, je n’avais pas plus de 5 ans, c’était un genre d’Astéroïds programmé sur une grosse calculatrice noire arborée d’un arc en ciel, un ZX Spectrum. Je trouvais cela impressionnant, mais rien de plus. Ce n’est qu’avec l’arrivée d’un Commodore 64 à la maison en 1984 que cet univers m’a fasciné et surtout a ponctué ma vie. Depuis quelques années j’ai petit à petit réalisé un petit musée dédié aux jeux-vidéo. Il ne s’agit pas d’une collection de pièces rares mais bien une série d’objets précieux car ils sont chacun des petits morceaux de ma vie.

Le début de cette collection a commencé en 2002 avec l’achat d’une Game Boy pour quelques euro afin de partir en vacances. Ce n’est pourtant que bien plus tard autour de 2010 que j’ai commencé à recherché d’autres cartouches. Je me suis alors penché sur la Game Boy Color puis sur la Game Boy Advance SP offrant une image rétroéclairée, élargissant ensuite à l’Atari, la Super Nintendo ou encore la Megadrive.

La liste du muséeQuoi qu’il en soit,  ce sont surtout les cadeaux fait par bon nombre d’entre-vous qui ont rendu possible ce petit musée. Lorsque je sors ma Megadrive, je me souviens que c’est Stéphane qui m’a donné mes premières cartouches, que mon Super Mario Land est signé Christopher, que mon Commodore C64 vient de la famille de Sandra, que ma magnifique Vectrex vient de chez Vega ou que plus récemment sont entrées deux frangines Playstation que m’a gentiment ramené mon collègue Jean-Philippe ainsi qu’une jolie GameBoy Micro venant de la famille de Pascal,… et bien d’autres à qui j’ai maintenant laissé une place dans chaque rubrique.

Tel un aventurier, j’aime à partir en quête de nouvelles trouvailles. Les brocantes sont longtemps restées de merveilleux endroits pour faire de nouvelles découvertes, mais depuis quelques années, le Retrogaming semblent avoir attirés nombreux revendeur entrainant parfois des rencontres aberrantes avec des prix totalement déraisonnables !

Depuis plusieurs années, je tente bien entendu de tenir une liste à jour de cette collection et j’ai commencé à la mettre en forme depuis le début 2015. Elle me semble aujourd’hui suffisamment avancée que vous la partager : https://lesmondesdecyborgjeff.be/ma-collection-de-jeux-video/

Mon prochain objectif… trouver une Sega Master System !

Le jeu-vidéo en bouquin

Le jeu-vidéo en bouquin

Pix n Love 16Voilà donc déjà 7 ans que j’ai découvert les ouvrages de Pix n Love éditions. Il s’agissait d’ailleurs à l’époque de mon premier achat « en ligne », une série de 3 mooks dédiés au rétrogaming. Pendant plusieurs années, j’ai lu et acheté de nombreux ouvrage sur le sujet jusqu’en 2011 où j’ai fait le pas de commencer à avoir ma propre collection de jeux et consoles rétro.

Compagnons de mes vacances, je lisais le Pix n Love #5 lors de mon voyage de noces au Canada ou encore le volume 3 de l’histoire de Nintendo durant l’été 2011 à Majorque. Pourtant j’avais depuis un moment un peu levé le pied, lisant quelques romans (Hunger Games, Le livre perdu des sortilèges). Ce ne sont pourtant pas les beaux ouvrages qui manquaient ! Je me suis lancé à découvrir les jeux Atari sur une vraie console et j’ai même adopté une Vectrex !

Depuis fin 2014, je me suis remis la tête dans mes bouquins de Playhistoire avec Zelda : Chronique d’une saga légendaire, L’histoire de Rayman, Pix n Love #16
et La Bible Game Boy.

4 livres dans une même vague, tous issus des éditions Pix n Love, même si celui lié à Zelda est maintenant édité par Third, éditeur concurrent, mais quatre livres bien différents que j’ai adorés pour certains et terminé péniblement pour d’autres, mais qui au final m’ont tous apporté le même sentiment d’évasion que j’avais presque oublié. Car oui, quelle belle manière de se replonger dans ces vieilleries que de revivre cette époque entre anecdotes et témoignages (illustrés ou non) pris avec le recul de notre génération ! Je me suis encore fait surprendre à déguster avec tant d’intérêt l’histoire de Macadam Bumper ou Spellsinger ou iRobot, titres dont je n’avais jamais entendu parler !

Je vous laisse découvrir mon avis sur les 3 ouvrages au contenu plus ciblé !

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Mon album Let The Sun Shine, 10 ans déjà !

Mon album Let The Sun Shine, 10 ans déjà !

Et oui, fin de cette année, il y a aura 10 ans que je vous partageais mon album d’EuroDance « Let The Sun Shine » ! Que le temps passe vite ! Alors que se dessine en ce moment un peu mieux la finalisation prochaine du nouvel album de Cyborg Jeff, je me suis dit que le moment était bien choisi pour revenir sur cet album emblématique de ma « carrière » de musicien.

Envie de mettre la musique avant que je vous raconte toute cette aventure ? Alors rendez-vous sur l’édition BandCamp de Cyborg Jeff – Let The Sun Shine que vous pourrez télécharger gratuitement (et également faire un petit geste de sympathie qui permettra de financer la réalisation de projets futurs)

Sachez tout d’abord que j’ai beaucoup de fierté encore dix années plus tard à écouter et vous parler de ce projet ! Ce fut mon premier grand projet entièrement dédié à la Dance Music, il m’a permis de rencontrer de travailler avec des personnes remarquables et de construire des amitiés virtuelles fortes : Steve Kossouho (K93), GDream, Sylvain Sarrailh (Toad), Olmo Lipani (Crazy Man),…

Let The Sun Shine fut également une vraie réussite en terme d’écoute. En 2003, à une époque où ICQ et les Forums étaient nos outils de communications, je pouvais me féliciter d’avoir plus de 1000 téléchargements direct de l’album sur son site officiel alors hébergé chez Free.fr (Voici à quoi ressemblait le site de l’album Let the Sun Shine), un album qui était présenté par T-Tracker, Sound Tracker croate talentueux. L’album avait également été bien reçu auprès des sceners de Nectarine et lors de sa publication sur Jamendo quatre ans plus tard, il recevait également de belles éloges avec près de 150.000 écoutes en streaming et plus de 20.000 téléchargement à ce jour !

Voilà pour vous planter le décors, et vous donnez envie d’aller écouter ou ré-écouter cet album made in Cyborg Jeff, je vous invite maintenant à venir découvrir toute l’histoire de fabrication des hits qu’il contient : I Want, L’amour est un soleil, Playin’ Gamez, Perfection, Need 2 see u back et bien sur Let the Sun Shine.

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