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Tag: années 80

Boule et Bill

Boule et Bill

Auteur : Roba
Editions : Dupuis (1959)
Albums : 1-12,14-17,19, 22/25, 30-31

-1. 60 gags de Boule et Bill
-2. 60 gags de Boule et Bill
-3. 60 gags de Boule et Bill
-5. 60 gags de Boule et Bill
-6. 60 gags de Boule et Bill
-7. Des gags de Boule et Bill
-8. Papa, maman, Boule et moi… et nous !
-9. Une vie de chien
-10. Attention chien marrant
-11. Jeux de Bill
-12. Ce coquin de cocker
-14. Ral le Bill
-15. Bill non d’un chien
-16. Souvenirs de famille
-17. Tu te rappelles Bill
-19. Boule et Bill globe trooter
-22/25. Les v’là (ré-édition n°25)
-30. La bande à Bill
-31. Graine de Cocker

– ?? Boule et Bill déboulent


60 gags de Boule et Bill - n°1
60 gags de Boule et Bill – n°1

Depuis tout petit, il y avait chez moi des albums de Boule & Bill de mes parents, qui ont donc fait partie de ma culture BD de petit garçon au coté des Schtroumpfs et Yakari dès le début des années 80.

Aujourd’hui, j’apprécie toujours cet humour tout simple, qui bien que l’on ne joue plus de nos jours à la corde à sauté et au jokari n’a pas pris de ride à mes yeux…

Si la série en justement tenté de se moderniser, cela restent les 20 premiers albumsl que j’apprécie. Bizarrement j’ai un peu de mal à voir ce rouquin de Boule avec des jeux électroniques…

Les albums de Boule et Bill, ont pouvait le retrouver un peu partout. Quand on s’ennuyait au magasin, quand il fallait patienter chez un ami, quand j’allais dormir chez Barballo… ou en néerlandais à la bibliothèque de Sparrenduin en vacances !

Ah, il me faut bien admettre que les nombreuses bêtises de Bill m’ont toujours fait plus peur d’avoir un chien que donner l’envie. Même si le cocker était pour moi le seul chien sympa à mes yeux !

Enfin, je ne pourrais pas clore le sujet « Boule et Bill » sans ressortir la mémorable histoire qui m’aura fait rêver de nombreuses années… Celle du Papa de Boule qui entre dans un magasin, et en ressort en gagnant un super prix, une 2CV flambant neuve !

Pas si facile cependant de poursuivre la collection des albums. Les éditions Dupuis et compagnie n’ont eu de cesse de ré-éditer et surtout changer l’orde des gags et des albums… avec parfois des albums portant le même nom mais aux contenus différents…

— Depuis 2020, ce sont Charly puis les filles qui ont commencé à lire les albums de la série !

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Trine, deuxième essai !

Trine, deuxième essai !

En réalité, l’histoire commence fin 2008. Je découvre alors le jeu Super Stardust HD sur le Store Playstation. Je tombe alors sous le charme dans la bande son éléctro de ce shoot’m up signée par un ancien de la démoscène Ari « DJ Artz » Pulkinnen. En suivant la trace de ce dernier, je commence à suivre la réalisation du premier Trine dont il réalisera la bande son. Dans un style radicalement différent, Trine se plaçait dans un univers médiéval fantastique et là encore Ari Pulkinnen allait sublimer le résultat déjà époustouflant du nouveau titre de studio Frozen Bytes.

Le concept de Trine est le suivant : Trois héros aux pouvoirs et compétences bien différentes. Un magicien pouvant faire léviter des objets, un guerrier habile à l’épée et pouvant se protéger de son bouclier et une voleuse, svelte et souple maniant l’arc à flèche et le grappin. Les niveaux mélange de plate-forme et de réflexion demanderont aux joueurs d’alterner avec ingéniosité le choix de son personnage.

Évidemment, le concept n’est pas sans rappeler un grand hit de mon enfance : The Lost Vicking (Silicon & Synapse, 1992) développé pour la Super Nintendo auquel j’ai joué essentiellement en version PC MS-DOS. On y dirigeait 3 vaillants vickings aux compétences complémentaires. Erik pouvant sauter et foncer dans des murs, Baleog combattre à l’épée et sauter, quant au dernier, Olaf, il pouvait protéger ses camarades de son bouclier ou s’en servir pour les porter. Certains plus anciens se souviendront peut-être même de Metal Mutant, un jeu sorti à la fin des années 80 où il était nécessaire d’utiliser les capacités différentes de trois robots pour progresser dans l’aventure.


Trine puise donc indéniablement dans le concept, même si ici, il ne faudra pas songer à prendre soin de ses camarades laisser dans un coin de niveau. Fin 2009, Trine voit le jour et reçoit les éloges de la presse. Attendant le titre depuis longtemps, je fonce alors sur la version Démo. De très beaux graphisme, une jolie bande son et même un doublage en français apportant un élément narratif indéniable… Pourtant, je n’accroche pas.

Du fond de mon canapé, je distingue mal mes personnages se promenant dans la nuit, je ne viens même pas au bout de la démo et il faut bien l’avouer, le prix de 19€ pour un jeu dématérialisé me rebute fortement !

Je suivrais donc à peine la sortie de Trine 2… Un screenshot très coloré me confortera dans l’idée que « Ouaip, c’est beau, mais on ne voit pas son perso ! »… Pourtant, je télécharge quand même la démo il y a quelques semaines… Juste parce que mon frangin Pype, il l’avait bien aimé ce premier Trine.


Hier donc, pendant que madame faisait la sieste dans le fauteuil, la PS3 restée allumée,… je lance la démo. Ah ben dit, c’est drôlement plus coloré et chatoyant que le premier Trine… Moins loin de ma télévision, je peux même profiter agréablement des subtilités du décors… En avant pour une démo incroyable. Romancée, pimentée,… ouf je vois à peine le temps passé que j’en arrive à l’énigme de l’escargot géant… et là voilà que la petite voix m’interpelle… Et oui, c’est déjà fini, vous ne pourrez même pas combattre la grenouille géante !!


Quoi, comment ça, mais si, moi je veux la combattre… Alors, venez vite acheter la version complète de Trine 2… Mais que oui, à 7,99€ pour un bijou pareil, je ne vais pas me faire prier… et quand bien même je vais devoir rejouer tout ce que je viens de faire… c’est tellement beau que je pourrais regarder jouer madame et le frangin sans soucis !

Alors, c’est vrai que Trine 2, du fond de mon canapé sur mon modeste écran de 72cm… cela manque un peu de visibilité, mais bien moins que dans la première aventure. Mais vraiment, là j’ai eu un énorme coup de cœur et j’espère vraiment que madame accrochera autant que moi !

Le jeu peu d’ailleurs prendre une dimension bien différente en coopération puisqu’il est possible de jouer en simultané jusqu’à 3. Il faut évider alors se donner des coups de mains pour progresser demandant parfois de re-réfléchir leurs résolutions. De plus les personnages pourront améliorer leur compétences en cours de jeux… un petit aspect RPG en plus !

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Le vieux charpentier qui saute.

Le vieux charpentier qui saute.

Avec deux puces d’à peine deux mois, mes jeux-vidéo restent un peu au placard. Ma pile de bouquins à lire par contre diminue à bonne vitesse. Compagnon de mes « mises au lit », la biographie de mon plombier favoris « L’histoire de Mario » (édition Pix n Love) vient de trouver sa place dans l’armoire des livres terminés ! Nouvel ouvrage plus littéraire que visuel, à l’instar de La Saga des Jeux Vidéo que j’avais lue l’année dernière, on s’y sent vite porté dans la soif d’en savoir plus !

Là où cet été j’avais été plus que frustré que le troisième tome de l’Histoire de Nintendo, dédié à la console NES, ne s’intéresse que si peu à la Super Mario, je retrouve ici toutes les petites histoires que j’avais envie de connaitre. Certes, je savais déjà que Mario faisait ses débuts en 1981 à l’attaque du méchant singe dans Donkey Kong et même qu’à l’origine le projet devait mettre en scène Popeye tentant de délivrer Olive du vilain Brutus. Loin de moi d’imaginer qu’en réalité, à l’époque… il ne s’agissait que « Du Vieux Types qui saute », charpentier de son état, parfois appelé Jumpman par ses pères… Ce n’est qu’une fois débarqué chez Nintendo US que l’équipe, alors face à de gros soucis financier, donnera au petit personnage le nom de Mario, la ressemblance avec le responsable du hangar de Nintendo US, Mr Mario étant assez flagrante.

Donkey Kong
Donkey Kong

La casquette, la salopette, le rouge, le bleu… tout cela n’était en réalité que des subterfuges techniques afin de rendre un personnage aux traits suffisamment lisibles sur le fond noir du premier grand climbing game de l’histoire ! Ceci dit durant toute cette époque ce seront Donkey et Pacman qui resteront les idoles d’un époque que je n’ai pas connue !

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Apprendre le français en jouant.

Apprendre le français en jouant.

Apprendre en jouant, c’était l’une des approches que mon paternel tentait régulièrement de me proposer ! Faire des maths avec un hélicoptère, de l’anglais avec une méthode par le Rap ou encore l’orthographe dans un livre dont vous êtes le héros. Ouaip, papa, je te tire mon chapeau pour ces bonnes idées : )

Les Éonautes, un Serious Game pour apprendre le français à travers le temps et l’histoire
Les Éonautes, un Serious Game pour apprendre le français à travers le temps et l’histoire

Aujourd’hui, on appelle cela des Sérious Games et sur son site internet Yasmine Kasbi en explore régulièrement. Je me suis arrêté aujourd’hui sur son article présentant les Eonautes, un sérious games qui vise à apprendre le français (et français langue étrangère) tout en voyageant dans le temps.

Votre incarnation en Éonaute vous entraînera au temps des Gaulois, à l’époque médiévale, au 17è siècle à la découverte des jardins de Versailles, au 19è siècle lors de l’Exposition Universelle ou encore, dans les années 60. Toutes les destinations vous permettront de découvrir différentes époques de nos cultures antécédentes tout en apprenant le français. 30 missions pour un total d’une quarantaine d’heures sont accessibles en ligne, lesquelles seront choisies par le professeur selon le niveau de l’élève. Chaque époque fait l’objet de 3 voyages et chaque voyage 2 missions indépendantes l’une de l’autre, selon le niveau de l’apprenant. (Un article à lire sur le blog de Yasmine Kasbi)

Le Labyrinthe d'Errare
Le Labyrinthe d’Errare

Cela a vraiment l’air assez sympa,… cela me rappelle vraiment le concept du Labyrinthe d’Errare, à l’origine ce Livre dont vous êtes le héros (très en vogue fin des années 80) remplis de quêtes pour améliorer son orthographe et sa grammaire. Le livre fut rapidement accompagné de compagnons ciblant les maths, l’histoire, la géo…

http://www.amazon.fr/Labyrinthe-dErrare-Dominique-Grandpierre/dp/272561158X

Le Labyrinthe d’Errare était particulièrement bien réussi et même efficace, ce qui était loin d’être le cas des autres livres, fort souvent frustrant car les numéros de chapitres étaient souvent erronés…

Le Labyrinthe d'Errare - PC MS-DOS
Le Labyrinthe d’Errare – PC MS-DOS

Bref, quel est le rapport avec le Sérious Games… et bien peu de temps après, débarquait dans les rayons une version informatique du Labyrinthe d’Errare. En soit l’idée était excellente, il y avait clairement moyen d’en faire un jeu d’aventure à la Eye of the Beolder ou quelque chose du genre… Malheureusement le résultat était loin d’être à la hauteur. Graphisme et son très minimaliste c’est surtout l’absence de support souris qui allait rendre l’aventure absolument pénible ! On peut trouver ici quelques imagines du jeu, rebaptiser le Labyrinthe d’Orthophus.

Je peux jouer a la Ninteno?

Je peux jouer a la Ninteno?

— Et un jour Super Mario débarqua au rayon Maxitec de chez GB —

L’histoire de Nintendo – Tome 3 – Florent Gorges – © Editions Pix’n Love

Compagnon de mes siestes sous le soleil d’Espagne, le troisième tome de l’histoire de Nintendo m’a un peu deçu… Si j’ai vraiment apprécie le début de l’ouvrage narrant la genèse de la console Famicom (la version Jap de la NES) au début des années 80 au Japon, si j’ai découvert avec beaucoup d’étonnement l’incroyable folie qu’elle y avait engendrée, si j’ai été les étonné des paris de Nintendo, lançant au milieu des années 80 les jeux dématérialisés grâce au Disk system, qui permettait aux jeunes joueurs de venir charger sur une disquettes un nouveau jeu depuis une borne… J’aurais vraiment aimé que cette ouvrage s’attarde également sur la genèses des titres phares de l’époque NES… Ce n’est guère les petits encarts sur les quelques titres présentés qui vont me suffire, d’autant que leur sélection me semble assez discutable dans une optique non-collectionneur.

Rendez vous compte, la NES, appelée donc Famicom au Japon débarque en 1983, elle est alors extrêmement puissante pour l’époque et proposée pour un prix plus qu’attractif… Elle ne débarquera chez nous qu’a la Noël 1987 sans rougir de la concurrence. C’est que chez nous en Belgique, comme dans d’autres pays européens, le marché console de jeux n’existe pas encore vraiment… On retrouve essentiellement des micro ordinateur depuis plusieurs années tels que bien sur le Commodore 64 ou l’amstrad CPC. Les jeux y sont nombreux et se copient entre amis et aux fils des années le prix de ces ordinateurs s’est democratisés… Puis Super Mario débarqua dans le rayon Maxitec de chez GB.

Petit a petit les ordinateurs en demo ont fait place aux consoles Nintendo et Sega… Rêve de gosses, je ne manquais pour rien au monde les courses du samedi pour aller moi aussi taquiner la manette. Mais il me faut bien admettre que la politique Nintendo chez nous etait loin d être parfaite. Très vite Super Mario Bros allait laisser pour de nombreux mois sa place a des titres nettement moins attirant tels que les Tortues Ninja, Dragon Ball, Super Baloo… ou Tic et Tac Ranger du risque restant ceci dit assez sympa a jouer a deux… Tout cela jusqu’a l’arrivée de Super Mario Bros 3, a mes yeux LE JEU sur NES…

Oui, en peu de temps, les Pharaoh’s curse et Summer Games challenge de mon C64 allaient difficilement me donner envie, et même les Game&Watch dans la cours de récré n’avait plus trop la quote,… hormis peut-être le Super Mario Bros de Stéphane D’Argent…

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