Le syndrome de Pacman et ses petites dérives m’amènent souvent à me replonger dans les jouets d’autre fois. Au milieu des années 80, alors que je n’avais pas encore 10 ans, la folie des robots avait envahi les rayons de jouets, comme j’avais déjà pu vous en faire part l’année dernière. Si l’histoire aura retenu les Transformers, ce sont essentiellement des Gobots qui auront réussi à se glisser jusque dans notre chambre. Moins imposants, moins chers et finalement mieux mis en avant avec son dessin animé diffusé en Europe sur le Club Dorothée.
Quand nous étions gamin, nous étions finalement assez peu attentifs à savoir si nous avions entre les mains un Transformers, un Gobots, un Motorized Robots, un clone… ou ce l’on appellerait ajourd’hui, un bootleg.
L’épisode dédié au Transformers de la série Toys that Made Us nous le rappelle d’ailleurs, la folie des robots transformables nous vient tout droit du Japon où plusieurs entreprises fabriques des jouets de ce genre de taille différentes. Au sein d’une même gamme certains se retrouveront vendus aux US sous le nom Transformers et d’autre non…
Gobots – Les Archives de Joe
On peut retrouver une série d’informations historiques intéressantes sur les Gobots sur Les Archives de Joe. Fabriqué au Japon par Popy en 1982, ils se dénomment là-bas les Machine Robo. Ils seront importé par Tonka aux Etats-Unis et par Bandaï chez nous en Europe.
Voici donc 10 années de folie dans cette famille. 10 années que Charly, Papa et Maman avaient tant attendu votre arrivée Alice et Juliette. On se sentait prêt, prêt à ce grand chambardement que deux petits bébés allaient mettre dans notre vie. Mais double poussette, banquette arrière avec 3 sièges auto, ré-optimisation des chambres… Oui, nous étions prêts !
Et de l’ambiance, de l’énergie, de la magie vous en avez apporté ! Que de beaux moments passés à vous voir grandir, souvent complices, parfois canailles. Chamailles aussi.
Aujourd’hui, du haut de vos 10 ans, vous n’êtes plus les petits filles d’hier. Vous avez grandi. Juliette me fait ses yeux qui roulent quand je lui demande de ranger son cartable. Alice, s’emporte souvent un peu trop souvent. Mais je suis heureux de pouvoir encore profiter de vos moments calins, les Ratatouilles d’Alice et les étreintes fofolles de ma Juliette.
Chaque jour je vois grandir un peu plus. Vous vous cherchez souvent des poux et pourtant le soir venus, vous vous retrouvez en douce pour papoter et papoter ! Il y a ce petit vent de compétition entre vous, mais quand vous l’oublier, regardez donc comme vous êtes heureuses toutes les deux ! Les souvenirs que je capture chaque années ne mentent pas…
Plus les années passent, plus votre caractère, l’un et l’autre se construit et se précise. Vous êtes jumelles et pourtant bien différentes ! Juliette est rose, Alice est bleue (et plus verte). Alice est cheval, Juliette est Gym.
Vous m’avez fait découvrir Angèle, Lou, Vitaa & Slimane. J’ai aimé jouer avec vous à Mini Ville, Les Mystères de Pékin, Mario Party et découvrir toutes vos Youtuberies : )
Merci pour votre folie débordante, même si elle m’épuise chaque jour. Je vous aime mes chéries.
Toute première version du « scénario » écrite en 1988
Tiens, il y a quelques mois, je suis retombé sur un tweet de frangin Pype qui avait scanné quelques planches d’une Bande Dessinée qu’il avait réalisée il y a 30 ans : Les Jeunes Mécanos – Le Rallye en Folie ! Ce projet commence en réalité en 1988. A cette époque, du haut de mes 10 ans, j’ai commencé à écrire des petites histoires dans un grand cahier d’écriture. Ceux qui me connaissent bien ne s’en étonneront pas, le personnage principale de ces histoires, c’est Pierre Martin, moi quand je serais plus grand. Entre les tentatives de kidnapping de ma petite amie Nathalie et les courses poursuites en BMX, très vite, les histoires vont se focaliser sur des courses de voitures, influence notable des aventures de Michel Vaillant, la coccinelle Choupette et le Rallye Olympique des 4 As.
Si des idées, des histoires, des scénarios, des projets de jeu vidéo, j’en ai vite fait bien fait à revendre, je n’ai pas contre pas le talent de mon frère pour les faire vivre. C’est donc quelques années plus tard, que de ces courtes aventures dans mon cahier, nous créons les aventures des Jeunes Mécanos, Pierre, Skotty, Alain et Julien, une bande de copain amateurs de courses de voiture ! Entre 1990 et 1991 les 5 premières planches qui racontent la première course dans les rues de Liège verra le jour. S’améliorant aux fils des cases tout en gardant la naïveté des jeunes de 11 et 12 ans que nous étions alors. Le début de l’aventure sera d’ailleurs éditée dans la revue scout « L’écho des locaux », jusqu’à la perte de planches originales…
J’ai donc proposé au frangin de scanner l’intégralité des planches de notre projet et je vous livre aujourd’hui la première édition de cette course qui emmène nos jeunes mécanos dans un premier rallye dans les rues de Liège, rallye organisé par le WWF !
Les Jeunes Mécanos : Le Rallye en Folie – Page 1-1
Je poursuis avec vous ce petit tour de mes albums favoris avec un arrêt en décembre 2009. Je vous en parlais alors sur ce blog…
OwlCity – Fireflies, comme si c’était moi…
Noël dernier 2009, après un premier étonnement de découvrir sur les ondes de Radio Contact des notes de musique qui me rappellent ce style si originale de la Demoscène, il n’y a rien de plus à ajouter, je suis tombé sous le charme des sonorités de Owl City et son morceau Fireflies… entre temps un album est sorti, et depuis cette semaine je cherche sur mon auto-radio les morceaux de l’album n°7 : Ocean Eyes… Je suis dans un état autre, pas second… autre… j’y suis, c’est moi… je suis là derrière mon ordinateur, j’ai composé cette mélodie, je la vis, je la fais vivre… tous ces petits sons électroniques pures vibrent en moi, ils fourmilles et parcours tout mon être… je suis Owl City… c’est à n’y rien comprendre.
Bon vous le savez, je suis musicien depuis longtemps, j’ai de quoi être fier de mes créations, même si à cette époque je n’ai plus fait grand chose… mais c’est la première fois que la musique d’un autre artiste, Adam Young de son vrai nom me fait cette effet… Les sons, le style, l’ambiance… ce petit quelques choses de Radix, Hunz et autres musiques du monde de la Demoscène qui depuis toujours étaient mon influence principale… Entendre cela à la radio… vivre leur succès… Hier, j’ai regardais sur Youtube une vidéo filmée d’un portable de l’intro de leur concert… cela fait vraiment très Démoscène… Très vite, viendront s’ajouter dans mes armoires ces premiers albums et les suivants, mais de tous, c’est l’album Ocean Eyes qui me donne le plus de sensations. Pourquoi ?? pourquoi cette sensation si différente… peut-être aussi parce que la découverte de chacun des titres de cet album est magique… tout est inattendu, mais explosif !!!
Dès lors, une quête aux albums et aux nouveaux titres composé par Adam Young se mettra en route. Suivant les sorties d’EP versus sur iTunes, les duo sur Youtube. Achetant en primeur les nouveaux albums : Things bright and beautifull puis Mobile Orchestra ou encore UltraViolet qui ne sera disponible qu’en version numérique. Sa participation dans les musiques des films La légende de Ga’hool, Les Croods ainsi que Les Mondes de Ralph. Mais également ces albums de ses débuts sur MySpace comme May be I’m dreaming.
Je recevrais également son album signé du pseudonyme Sky Sailing, mais Adam Young aura en 10 ans signé des disques sous près de 40 pseudo différents ! Et puis comme-ci une petite flamme s’était estompé, il s’est retrouvé moins présent. La sorte de son dernier album Cinematic est resté discrète, avec peu de clip sur Youtube… J’en ai entendu quelques titres excellent qui me rappellent cet album Ocean Eyes… mais ce nouvel album n’est toujours pas entré dans ma collection…
En mode #Stayhome depuis bientôt 4 semaines, je n’ai guère trop le temps de me rouler les pouces. Entre les devoirs, les enfants, le télétravail… j’ai surtout mis à profit les moments de temps libre pour occuper les p’tits monstres ou m’occuper du jardin baigné de soleil ! Ceci dit, je n’ai pas trop envie de lire trop d’actualité… COVID19, COVID19… j’ai besoin de penser à autre chose. Je me suis dit donc dit que ce serait le bon moment pour sortir de sa pochette la console portable de Sony, la PSP. Mon joli modèle fuchsia était venu s’ajouter à ma collection il y a déjà deux ans. A cette époque j’en avais juste fait un tour d’inspection avant de partir vers le sud avec en « poche » quelques jeux à faire découvrir à Charly.
Etonnement, je ne m’étais que très peu intéressé à cette console qui arrivait chez nous durant l’automne 2005, près d’un an après sa sortie au Japon. Cette première console portable du fabricant Sony fut donc la rude concurrente de la populaire Nintendo DS. Chez nous, c’est la portable de Nintendo qui avait eu nos faveurs dès sa découverte en 2006 et jusqu’à il y a peu encore avec les premières consoles des enfants. En main, la PSP est pourtant un bel objet qui rappelle l’élégance des téléphones de la marque ! On est loin du style « GameBoy », Sony a créé, comme il l’avait fait avec la console PlayStation, une portable mature et dont l’une des originalité est le stockage des jeux et films sur support UMD, une évolution des Minidiscs que la marque avait tenté d’imposer sur le marché HiFi à la fin des années 90.
A trouver, Ultimate Ghosts’n Goblins sorti 2006
Si la Nintendo DS lui avait été préférée, c’est essentiellement une question de ludothèque ! En effet, la majorité des jeux arrivant sur la PSP sont des adaptations de jeux présents sur la PlayStation 2 : Final Fantasy, Metal Gear Solid, Kingdom Hearts, GTA, Daxter, Ratchet & Klang,… Or, j’ai déjà tout l’équipement nécessaire pour jouer à ce type de jeux sur ma télévision !
Aujourd’hui, c’est avec un tout autre regard que je découvre la console et tout la série de jeu de ma collection. Il s’agit donc d’une PSP de série 3004, console de 3° génération qui débarque en 2008 avec notamment un écran amélioré, qui reste malgré tout un peu fade en pleine lumière. Aujourd’hui, il est assez facile de trouver pour quelques euros de nombreux jeux PSP qui est clairement dans le creux de sa vague d’intérêt, même si bien évidemment certains titres sont plus difficile à trouver, comme par exemple Castlevania : The Dracula X Chronicles ou Ultimate Ghosts’n Goblins.
Gratter le bitume.
Gratter le bitume sans me prendre la tête, sans parader dans les rues, sans tutos et sans leçons de freinage. C’était mieux avant quand mêm
Comparativement à la Nintendo DS et sa puissance 3D largement en retrait, la PSP de Sony propose un très large catalogue de jeux de course de voiture. Sega Rally, Burnout, Motorstorm et les épisodes annuelles de la série Need for Speed, le choix est vaste ! Si à l’époque on faisait évidemment mieux de la PlayStation 2 à la PlayStation 3, se caler dans son fauteuil avec sa PSP à gratter le bitume sans aucune prise de tête plutôt que de lire les statuts confinés sur Facebook est loin d’être déplaisant. Graphiquement, sur le petit écran de la PSP, les titres ne souffrent pas trop d’une 3D vieillissante, même les jeux de la première génération auquel j’ai joué (WRC et Need For Speed : Most Wanted) ne s’en sortent pas trop mal. Néanmoins, les titres réalisés en parallèle à la sortie d’un jeu sur la PlayStation 3 sont clairement un cran au dessus ! La folie des circuits de la série Motorstorm est parfaitement retranscrite dans l’épisode exclusif à la PSP Artic Edge. Burnout Dominator nous invite à des courses endiablées et cascades en tout genre avec autant de réussite que les épisodes auxquels je jouais en fin de vie de ma PlayStation 2. Enfin parmi les titres essayés, c’est clairement SEGA Rally EVO et Need For Speed Shift qui m’ont apporté le plus de satisfaction.