Hier, le dernier jour de l’hiver ?

Hier, le dernier jour de l’hiver ?

« Ca ira mieux demain », je ne cesse de me le répéter depuis le début de l’hiver, cet interminable hiver qui m’épuise de jour en jour. Même si je reste confiant — ce sapin a tout de même réussi à tomber dans le seul créneau possible pour ne pas faire de dégat — il me faut bien admettre que chaque jour est un défi à relever et se termine par de nouvelles questions. C’est comme si le passage à 41 ans impliquait d’office de jouer en mode « Hard ». Mais le printemps est là… arrive-t-il avec soleil, chaleur, petits oiseaux et jolies fleurs ? Les congés de Carvanal me semblent encore être hier que je constate que nous sommes fin mars, Pâques, la saison des mariages, les 10 ans de Charly… 10 ans mon dieu… la communion des filles. Pour ne parler que de nous. Puis il y a tout le reste, toutes ces questions, toutes en même temps. Quel est le plan ?

Je vous laisse en vrac, un peu de ces dernières semaines… et une petite pensée à notre grand auto verte dont c’était les derniers tours de roue avec nous…

— Le dernier jour de l’hiver © Tony Di Napoli —

Parlons de culture vidéoludique et des histoires du jeu vidéo.

Parlons de culture vidéoludique et des histoires du jeu vidéo.

Faire se rejoindre ma passion de la culture du monde du jeu vidéo et mon travail de production de vidéos pédagogiques à l’Université de Liège, voilà plus que probablement un cas de figure auquel je ne m’attendais pas il y a encore quelques années. Et pourtant, ce 1er mars démarrait le nouveau MOOC réalisé par l’Université de Liège et le Liège Game Lab, un projet entamé il y a près de 2 ans avec Bjorn Olav Dozo avec qui nous venions de finaliser le MOOC « Il était une fois la littérature jeunesse » et l’équipe du Liège Game Lab.

Quelle histoire du jeu vidéo ?
Quelle histoire du jeu vidéo ?

Mais pour aujourd’hui, je change de chapeau en vous parlant de MOOC et je profite de l’occasion pour approfondir ma culture vidéoludique et partage avec vous mes réflexions liées au premier module de ce cours en ligne ouvert à tous, premier module centré autour de l’histoire du jeu-vidéo… ou plutôt des différentes histoires du jeu vidéo. Dans cette première capsule vidéo introductive du sujet, Bjorn Olav Dozo, enseignant-chercheur à l’Université de Liège, en charge des humanités numériques et des cultures populaires développe en effet qu’il y a bien des manières de raconter l’histoire du jeu-vidéo. Celle de jeux clés, de machines, de licences ou d’auteurs. Et pourquoi au fond pourquoi certaine et plutôt que d’autres.

Quelle(s) histoire(s) du jeu vidéo ?

Amateur de Playhistoire depuis déjà 10 ans, j’ai déjà engloutis de nombreux ouvrages racontant l’histoire du jeu vidéo. Si beaucoup d’éléments clés sont récurrents, chacun d’eux s’arrêtent sur des jeux, des machines, des licences ou des auteurs qui n’évoquent pas toujours avec autant d’intérêt l’histoire du jeu vidéo telle que je l’ai vécue.

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Sois la lumière au bout du tunnel

Sois la lumière au bout du tunnel

« Sois la lumière au bout du tunnel » est le message à méditer pour ce mois de Mars issus du calendrier dédié aux athlètes des jeux paralympiques dont ma Snorkys a réalisé le shooting. J’ai pris résolution de méditer chaque mois la devise choisie par chacun des athlètes, et celle-ci me parle tout particulièrement. Agir, ne plus simplement attendre, je fais partie de l’équation qui fera avancer les choses…

Je ne t’aurais jamais imaginé Fan de Formule 1 !

Je ne t’aurais jamais imaginé Fan de Formule 1 !

Tiens, c’est amusant, voilà plusieurs personnes ces dernières semaines qui me font la remarque « Hé bien, je ne t’aurais jamais imaginé Fan de Formule 1 !« . Et pourtant, pour la 26° fois, je me suis acheté mon magazine annuel présentant les nouvelles monoplaces de la saison 2019. néanmoins, je dois vous avouer que cette année, je n’ai surveillé les essais hivernaux que d’un œil, je n’ai que peu suivi l’actualité de l’inter-saison (Tout était par ailleurs plié depuis longtemps) et je ne ressens pas cette excitation qui me rappelle que le premier Grand Prix est tout proche… d’ailleurs, c’est pour quand ? Ah, le 17 mars à Melbourne, on commence tôt cette année.

En effet, les choses ont changé depuis la saison précédente, depuis cette saison où j’ai supporté notre Stoffel Vandoorne dans la tourmente d’une écurie Mc Laren malade… Un Stoffel Vandoorne dont je suis depuis la fin de l’année dernière les ePrix en Formule E, le pendant électrique de la Formule 1, auquel j’ai finalement pris goût en quelques courses.

Ce nouveau championnat parallèle est pourtant loin d’être aussi prestigieux que la sacrosainte F1. J’avais d’ailleurs regardé la course d’ouverture sur le circuit de Pékin en 2014 et j’avais bien eu du mal à accrocher à ces monoplace qui se dépassent sur de la techno bas de gamme avec « bzzzz » et ce malgré une brochette de pilote connus à l’époque tels que Nick Heitfel et Jarno Trulli dont une bonne de dose de « fils de » offrant même un duel Prost – Senna ! Nicolas Prost et Burno Senna.

C’était le tout premier ePrix de Formule E

En cinq ans, il me faut admettre que la Formule E a évolué positivement. La nouvelle génération de monoplace a un style futuriste qui colle bien à l’air électrique, de nombreux constructeurs ont pris le train en route surfant sur l’élargissement des ventes de voitures de marque prestigieuse motorisée de la sorte. Ce sont donc des noms tels que Audi, BMW, Citroen DS, Mercedes, Nissan, Jaguar et bientôt Porsche que l’on retrouve maintenant sur les circuits.

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Kingdom Hearts III, le 9° épisode d’une saga complexe

Kingdom Hearts III, le 9° épisode d’une saga complexe

Merci ma Valentine, je viens donc de commencer l’aventure après quelques hésitations. En effet, j’avais acquis Kingdom Hearts premier à sa sortie sur ma PS2. Madame et moi étions assez enthousiasme à ce concept qui mélait nos héros de Final Fantasy et le monde de Disney, mais très vite nous allions déchanter d’un gameplay un peu erratique lors d’un combat contre plein de petites bestioles noires… Las, je n’ai pas été plus inspirés par la sortie du second épisode, il y a déjà près de 15 années, malgré une si belle bande originale signée Yoko Shimomura.

Décus, nous n'avons jamais pas rencontré Anna et Elsa !
Décus, nous n’avons jamais pas rencontré Anna et Elsa !

Les bandes annonces de ce 3° volet, des années lumières plus tard me donnait vraiment envie de me plonger dans l’univers de Kingdom Hearts aux cotés des enfants. Mais, on m’a tout de suite fait comprendre que l’histoire impliquait d’avoir vu non pas les 2 autres jeux mais toutes la saga… Je dois bien admettre que les vidéos d’archives, proposées pour recontextualiser l’histoire, ne sont guerre jolies à regarder dans un genre de 3D reflitées et bien vide… Elles montrent une histoire très complexes avec des personnages qui se transforment et qui se croisent…. des vidéos qui par ailleurs restent éloignées de l’univers de Disney… voilà qui fait un peu peur lorsque l’on se rend compte que ce Kingdom Hearts III n’est pas simplement le 3° volet de l’histoire, mais le 9° hors d’une sage initiée en 2002 autour d’épisodes sortis sur PlaySation 2, PSP, GameBoy Advance, Nintendo DS et 3DS !

Commencer l’aventure donne il est vrai l’impression de tomber dans la soupe sans savoir ce que l’on va manger. Les mécaniques de jeux sont très simple à comprendre, la difficulté semble trop simple et je il faut bien l’admettre, j’ai l’impression d’être dans un film interactif plus que dans un jeu pour l’instant. J’aurais également préféré commencer ailleurs que dans l’univers du film Hercules, probablement le seul Disney que je n’ai pas vu. Cependant graphiquement, c’est beau ! Nous verrons pour la suite !

Mais la suite reste bien tarabiscotée. On continue à rencontrer des personnages propre à la série, que l’on est en principe censé reconnaitre, construire et customiser son vaisseau, lire ses messages sur son smartphone,… Mais quand diable arriverons-nous dans le monde de La Reine des Neige ou de Raiponce, histoire que les enfants accrochent… Au bout de longues errances dans la ville afin de trouver les ingrédients demandé par l’Oncle Picsou… Nous avons fini par abandonner l’aventure…