« Together & I », mon 6° album de musique, sorti il y a 20 ans

« Together & I », mon 6° album de musique, sorti il y a 20 ans

C’était il y a 20 ans, l’été 1999, je terminais le 6° album de Cyborg Jeff : Together n I. A l’époque je parle encore anglais comme un moustique russe, mais l’idée de ce titre était mettre  en avant cette forte sensation fantastique de travail musical collaboratif, force principale de cet album qui aurait pu tout autant s’appeler Creadream, le nouveau nom de notre rassemblement musicale « Creadream Sound Studio ».

Cyborg Jeff prend ses marques dans sa nouvelle chambre.
Cyborg Jeff prend ses marques dans sa nouvelle chambre.

Nous sommes en 1999, et Internet ne représente encore pas grand chose pour moi. Je viens de terminer avec brio ma première année de Marketing à l’ESEJ et je me sens entouré d’amis, d’ondes positives propices à faire exploser le potentiel de ce logiciel fantastique qu’est Impulse Tracker, un programme de musique à la sauce Demoscène issus du monde Amiga et tournant sur mon PC en mode MS-DOS !

Et parlons-en de Demoscène, depuis le début de l’année, j’ai cette idée qui me trotte en tête avec le frangin de faire des démos ! Enfin, qu’il fasse des démos, moi les musiques ! Voilà qui change des musiques d’EuroDance et de Pop à la gratte !

Je lui propose donc de nombreux projets sur le disque dur : Polycosmos, une parodie de Worms et de Titanic… Et nous voilà finalement en route avec Gino pour notre première Demoparty, la Inscene’99 où « Back to Paradise » et « El Ritmo Latino » entre autre, remporteront les 2 concours de la section musique et d’où je reviendrais avec un toute nouvelle carte son Sound Blaster Life qui à terme m’offrira encore plus de possibilité musicale.


Mais c’est bien sur aussi tous ses amis et nouvelles rencontres qui ont une importance capitale dans cet album !

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La Toscane en mode famille nombreuse (2° partie)

La Toscane en mode famille nombreuse (2° partie)

Le temps passe tellement vite, tant de choses se sont déjà passées depuis notre retour d’Italie. Les soirées à boire un petit Apérol avec madame pendant que les enfants mangent leur pizza au soleil tombant sur la terrasse d’un restaurant toscan me semblent être un lointain souvenir déjà. Il est temps de vous emmener dans cette 2° partie de nos aventures dans les collines du Val d’Elsa à la découverte de Monteriggioni, Florence, Sienne poussant jusqu’aux archipels toscans. Bien évidemment en 10 jours, il ne fut pas possible de visiter l’ensemble des idées préparées dans mon roadbook !


Plus rien dans les assiettes, mais c'était vraiment bon !
Plus rien dans les assiettes, mais c’était vraiment bon !

J6. Monteriggioni – Colle di Val d’Elsa – Casole d’Elsa (61km)

Où allons-nous aller aujourd’hui ? Pendant que les enfants rendent visite aux animaux de la petite ferme, j’essaie de prendre la température auprès de notre hôte Roberta. Demain, c’est le Pallio à Sienne. C’est un grand évènement, la place centrale de la ville est pour l’occasion transformée en course de chevaux. Cela doit probablement offrir de magnifiques photos, mais avec quatre jeunes enfants… Cela va rendre probablement les choses un peu compliquées et les accès en voiture seront également probablement plus complexes. Peut-être vaut-il mieux prévoir Sienne après cet évènement plutôt qu’avant. Par contre, aujourd’hui il semblerait que l’on fête la Saint Martin à Colle di Val d’Elsa, avec festivités et feu d’artifice. Nous pourrions-nous prévoir cela pour la fin de journée et partir visiter la ville médiévale fortifiée de Monteriggioni qui ne se trouve qu’à une vingtaine de minutes de la Casa Verniano.

Perdu dans les collines du Val d'Elsa
Perdu dans les collines du Val d’Elsa

Il faut un peu grimper pour s’y rendre et… ce n’est pas bien grand. Quelques petits commerces autour de la place principale, un accès payant aux remparts, des restaurants hyper touristiques loin de la gastronomie attendue en Italie. Mais une affiche qui nous inspire ! J’avais effectivement repéré qu’un festival médiéval était prévu à Monteriggioni pour le weekend, après notre départ. Mais il semblerait bien que celui-ci démarre en réalité dès le vendredi soir ! Voilà qui devrait offrir une ambiance bien plus vivante à ce bel endroit qui semble encore un peu endormi…

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Un Roi Lion sans émotion

Un Roi Lion sans émotion

Illustration tirée de la vidéo Youtube de Ellejart.

Le Roi Lion, le dessin animé, à sa sortie avait été éblouissant ! Il offrait un retour fort des équipes Disney à produire un long métrage impressionnant avec des animaux comme personnages principaux le tout sur d’incroyable musique de Hans Zimmer et Elton John ! C’était en 1994, et du haut de mes 16 ans, j’avais malgré tout été surpris par ce film pour enfant.

Pumba est probablement le moins convaincant coté émotions !
Pumba est probablement le moins convaincant coté émotions !

Aujourd’hui, Disney joue sur notre fibre nostalgique et dans la douzaine de films sortant de leur studio cette année, de nombreux « remake » envahissent nos cinémas. Après Dumbo et Aladdin, plus tôt cette année, c’est au tour du Roi Lion de nous offrir un peu de magie ?
Si j’avais bien apprécié le remake de Dumbo, le retour de Mary Poppins m’avaient un peu déçu… Je reste ici assez partagé par ce nouveau film du Roi Lion.

Techniquement, c’est une prouesse que d’avoir retranscrit l’ambiance et les scènes à l’identique depuis le dessin animé en animaux de synthèse. Mais rien non plus de bluffant au vu de ce qui a été déjà été produits ces dernières années. A cela, peu de choses ont été ajoutées au film original. L’histoire est identique, sans offrir de surprise, les musiques n’ont pas autant de saveur et… si de nombreux plans sont très beaux, ils n’offrent pas le « Waouw » que le dessin animé avait pu me procurer à l’époque.

Le point noir principal que je lui reproche est qu’au final, tous ces animaux n’ont aucune émotion faciale. Certaines scènes se montrent donc lentes et sans aucune saveur. Là où en dessin animé, les équipes de Disney avaient pu rendre vivant et réaliste leur dessins avec brio…

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Trouvailles du jour, Dance Computer 4 et jeux NES

Trouvailles du jour, Dance Computer 4 et jeux NES

Je ne sais pas ce qui est le plus excitant ? Enfin trouver le Dance Computer 4 après 28 ans de recherche ou le plaisir de la trouvaille retro-gaming devenue si rare depuis 2 ans !

Je dois bien admettre que ces dernières années, ce n’est plus vraiment sur les brocantes que je trouvais d’anciens jeux vidéo. La plupart du temps, ces derniers étaient uniquement vendus par revendeur « pro » à des prix trop élevé, et j’avais même fini par ne plus espérer tomber sur une belle occasion. Quelle ne fut donc pas ma surprise de tomber sur le premier stand de la brocante de Neuville en Condroz sur un monsieur bien sympathique qui revendait quelques cartouches pour la NES, première console de Nintendo dans nos contrées. Je commençais donc la balade en emportant une belle cartouche de Lemmings que je voyais pour la première fois sur cette machine… tout en gardant en tête ce Super Mario Bros. 3 dans sa boîte qui serait magnifique dans mon petit musée…

Un peu plus loin, alors que le soleil tape, je m’arrête sur une pile de 45 tours pendant que madame farfouille après des vêtements pour les enfants. Et je le vois, là à coté d’un disque des Bungles,… le Dance Computer 4. Ce fichu Dance Computer 4 que j’ai tant cherché dans les magasins à sa sortie en 1991. Etrange histoire que celle de ces 45 tours de la série Dance Computer réalisé et mixé par différents « équipes » et parfois bien difficile à trouver quand j’étais ados. J’avais découvert le n°2 chez un voisin, acheté le numéro 3. Alors que le numéro 4 tournait sur Radia Angelina Leader, mon ami Vivien s’était trouvé le tout premier et mon autre voisin Alain, le n°5. J’accrocherais à mon palmares le numéro 6, 7 et 8 sans trouver le numéro 9. L’édition Carnaval restera introuvable et j’achèterais encore l’édition spéciale numéro 10 avant la reprise du concept par Patrick Samoy et Luc Rigaux des Unity Mixers en version 60 minutes !

Crash Bandicoot refait le plein de Nitro

Crash Bandicoot refait le plein de Nitro

Je me rappelle des parties folles de CTR avec madame d’il y a 19 ans !! Je découvrais avec elle tout l’univers des jeux Sony : Spyro, Crash, Croc, Medievil… mais clairement les courses endiablées de l’univers de Crash Bandicoot étaient vraiment impressionnantes, fluides, colorées, funs, cooools.

CTR - Playstation (Sony - Naughty Dogs, 1999)
CTR – Playstation (Sony – Naughty Dogs, 1999)

Playstation et l’équipe de Naughty Dogs avaient réussi là où les magasines présentant Mario Kart 64 n’avaient jamais su me faire rêver pour un sous. Avec CTR, j’oubliais les après-midi chez mon ami Julien à attendre de pouvoir enfin jouer à Super Mario Kart sur sa Super Nintendo.

En ce début de millénaire, le succès de CTR allait faire fleurir de nombreux autres titres du genre à la ludothèque Playstation, jamais aussi géniaux, mais malgré tout amusants : Disney Magical Tour, Speed Freaks, Chocobo Racers ou encore Looney Tunes Racing… Etrangement, le passage à l’ère Playstation 2 et suivante ne laissera aucun prététendant sérieux aux Mario Kart Double Dash, Mario Kart Wii et Mario Kart 8.

Mario Kart 64 - Nintendo 64 (Nintendo, 1997)
Mario Kart 64 – Nintendo 64 (Nintendo, 1997)

A ce jour, j’ai eu l’occasion de faire le tour de Mario Kart 8 sur ma WiiU. Seul, à deux, entre ami, avec les enfants… et c’est donc avec grand enthousiasme que j’avais appris le remastering important mis en place par Activision. Un remastering qui esthétiquement serait du même niveau que la trilogie Crash Bandicoot sortie il y a 3 ans et celle de Spyro l’année dernière. L’idée de revivre quelques belles batailles sur la piste entre Crash et Crashette (oui en principe c’est Coco) pour les vacances était excitante !

Alors quid ?

Oh joie des jeux modernes
Oh joie des jeux modernes

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