Parti loin

Parti loin

Salut toi ! Ton nom c’est Tintin, tu étais mon doudou quand j’étais enfant et tu as une drôle d’histoire. Un jour, le facteur t’a déposé à la maison dans une grosse boite en carton, à mon nom. Cela fait tout bizarre d’ouvrir un colis quand on a 7 ans. Je t’avais choisi, sur un petit flyer, parce qu’avec tous les langes que l’on avait acheté pour la petite soeur, on pouvait choisir de recevoir une jolie peluche, et avec ton petit regard de nounours des neiges comme j’en voyais dans les images du WWF, tu me plaisais bien.

J'étais fier de mon Tintin reçu de mon parrain
J’étais fier de mon Tintin reçu de mon parrain

Pourtant quand tu es arrivé, j’ai décidé que tu venais d’ailleurs. Que ce colis que je venais de recevoir, venait de mon parrain Jean-Pierre Pinet que je n’avais plus vu depuis plusieurs années déjà. J’étais fier d’aller raconter à mes amis, à mes proches qu’il m’avait envoyé ce joli doudou qui venait de très loin… de la France.

Parce qu’à 7 ans évidemment, la France, c’est loin ! Je ne me souvenais plus vraiment de son visage, j’avais une photo qui datait de mes 4 ans où il nous avait emmené à l’aventure dans les forêts de Neupré.

Balade dans les bois avec mon parrain
Balade dans les bois avec mon parrain
1988, mon parrain !
1988, mon parrain !

Pour mes 10 ans, mon parrain était revenu nous rendre visite en Belgique, j’étais fier, il avait une grand barbe, il me faisait un peu penser à mon papa et je lui avais demandé de m’écrire un petit mot dans mon carnet de souvenirs. Puis il est reparti en France… et je me souviens que quelques années plus tard, j’avais reçu une photo de son épouse Bernadette qui m’annonçait que leur famille s’était agrandie, mais qu’il travaillait beaucoup, et qu’il avait en projet de partir plus loin encore.

Mon parrain vivait loin, il se donnait à de grand projet pour aider ceux qui en avait besoin, j’ai appris cela en grandissant. Moi j’avais mon « Tintin » pour me souvenir que lui, mon parrain était là quelque part.

Bien des années plus tard, j’ai eu l’occasion d’échanger quelques mots avec lui, aider de Facebook et quelques recherches. Il m’avait alors brosser en quelques lignes son monde, ses voyages, sa famille. Et j’étais content de ce moment.

Ce weekend, j’ai appris, qu’il était parti pour de bon. J’ai le sentiment qu’il avait fait beaucoup ici, mais je me dis aussi qu’il laisse un vide auprès de ses proches.

Au revoir parrain.

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L’odyssée de Mario, en attendant les vacances sur la plage de Cocolint Island

L’odyssée de Mario, en attendant les vacances sur la plage de Cocolint Island

Oui, c’est fait, j’ai ramené une Nintendo Switch, nouvelle génération à la maison ! Il y a des offres à ne pas louper… c’était il y a une semaine et depuis lors j’attends qu’Amazon se bouge un peu pour m’apporter le nouvel épisode de Legend of Zelda – Link’s Awakening. Oui je sais je vous ai probablement assommé ces derniers temps à ce sujet. Mais bien mal m’en a pris, voulant profiter d’un prix avantageux, me voilà à attendre interminablement des délais de livraison repoussé à près d’une semaine. Espérons que rien de ne se perdent dans le Vortex de Charleroi X, que le mouvement de grève de BPost ne prenne trop d’ampleur, voire que la neige et le gel ne s’en mêlent. Oui déjà je me souviens des ces grands moments de désespoir à attendre les jeux de ma Wii il y a quelques années ; )

Rien à jouer sur ma Nintendo Switch
Rien à jouer sur ma Nintendo Switch

Si j’ai pu le premier jour prendre le temps de découvrir « l’objet », cela m’a confirmé que la Nintendo Switch n’est pas une console à mettre dans les mains d’enfants trop jeune, on loin de la construction du Gamepad de la WiiU où du monobloc de la 2DS. Tout ce système de clips, de switch et de différentes manières jouer implique d’être méticuleux. Non mais Charly, je n’ai jamais dit que tu pouvais me chiper ma Switch le premier jour, non je ne l’ai pas dit ! Bref, pour les plus jeunes, l’arrivée de la Switch Lite a vraiment tout son sens…

Sous les bons conseils du frangin Pype, je mettais en téléchargement quelques démos gratuites du store en ligne dont notamment l’excellent titres de Ori and the Blind Forest. La situation est cocasse, le premier titre tournant sur ma nouvelle console Nintendo est donc un jeu développé par Microsoft ! Probablement le plus beaux jeux « indés » de ces dernières années. Je pensais d’ailleurs n’avoir jamais l’occasion d’un jour y jouer. Mais je m’attarderais aujourd’hui sur Super Mario Odyssey que m’a gentiment laissé le petit frère ce weekend.

L’Odyssée de Mario

Denden Town Osaka - Mario Odyssey
Ah, enfin un étalage dédié à Mario Odyssey – Denden Town Osaka

Je vous avoue qu’il y a deux ans, alors que je me promenais dans les rues d’Osaka, je n’étais guère enthousiasmé par ce nouvel épisode de mon ami plombier, premier gros titre venant supporter le lancement de la Nintendo Switch sortie chez nous début 2017.

Un Mario qui lance sa casquette pour éliminer ses ennemis… Un Mario qui se balade dans New York,… Un Bowser en haut de forme et même un Mario qui entre dans la peau d’un Tyrannosaure. Euh, vous êtes sérieux ? Rien que le nom de Super Mario Odyssey sonnait faut dans ma bouche, avec toujours cette arrière-goût d’un Nintendo Switch qui n’a rien pour me convaincre d’abandonner ma super-WiiU et tous ces super-jeux familiaux !

D’ailleurs c’est moi où même ce rare étale de nouveautés aux couleurs du nouvel épisode de Mario dans les rues d’Osaka donne le sentiment que ce Mario n’est pas celui que l’on espérait ?

Peut-être aurais-je été un peu plus enthousiaste à cette nouvelle aventure si j’avais en son temps apprécié l’épisode tant adulé de Mario 64 venant bouleverser le jeu de plate-forme en 1996 sur la Nintendo 64. Mais pour ma part, cet épisode de Mario était le signe claire que j’avais grandi et que Mario n’était plus ce héro qui me faisait rêver…

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Retour au Digital Lab de Liège

Retour au Digital Lab de Liège

La semaine dernière, je m’étais promis d’emmener mon grand Charly au Digital Lab de Liège cet endroit à l’ambiance magique qui accueillait ce soir là un « Club Gaming » organisé par Les Interactifs Associés, dédié aux jeux de construction et notamment Mario Maker 2.

C’était l’occasion également de lui faire découvrir l’exposition XX Aout Minecraft mais aussi pour moi une option pour revoir quelques passionnés de l’équipe du MOOC « Jeux Vidéo ».

De fait, Pierre-Yves, Alexis et Fanny étaient déjà sur place… la tête dans le bouquin de BASIC d’un ZX Spectrum,… déjà tout une ambiance ! Charly, ne perdant pas le nord, demande « Tiens, on pourrait jouer à Minecraft avec les casques ? » Voilà qui lui permet une incroyable première expérience de réalité virtuelle !!

Je ne dirais pas que Mario Maker 2 aie vraiment marqué son intérêt. Je le sais, la « 2D » l’inspire moyennement, mais par contre Dragon Builder aura par contre piqué sa curiosité !

Pour ma part, j’ai tourné la tête dans tous les sens, au point d’avoir totalement zappé la présence de Mickael Blutch, mélomane passionné et auteur des excellentes chroniques du Blog « Musique de Jeu Vidéo » !! Nom d’un pixel, il faudra que j’y retourne pour discuter avec lui !

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A la découverte de Welkin

A la découverte de Welkin

Il est vrai que je ne ne vous parle par souvent de jeux de société et pourtant, j’y joue probablement tout autant qu’aux jeux vidéo… et j’ai me sens très vite attirée par une boite ou un plan de jeu.

Les dernières illustrations de Sylvain Sarrailh
Les dernières illustrations de Sylvain Sarrailh

Or il y a quelques semaine, mon ami, le talentueux Sylvain Sarrailh (à qui je dois les diverses illustrations de Cyborg Jeff) avait annoncé la sortie du jeu de société Welkin imaginé par Fabien Tanguy chez Ankama pour lequel il a réalisé les magnifiques illustrations.

Il ne s’agit pas de sa première réalisation dans le domaine du jeu de société, puisqu’il avait également travaillé en autre pour La Légende du Cerisier sorti chez Iello il y a deux ans.

La semaine dernière, en me promenant dans mon magasin favori de BDs et jeux de société liégeois, quelle ne fut pas ma surprise de trouver Welkin sur la pile des nouveautés. Il faut bien admettre que cette boite donne envie à découvrir de quoi il en retourne. Ramené à la maison, Charly lorgne également sur celle-ci : « Waouw, des maisons qui volent ». Une ville volante ! Et même un jeu où l’on serait un architecte qui construit tout cela !

Allé, promis, on y jouera ce WE, Charly !

Ce que nous avons fait. Je vous avoue, qu’il n’est pas si facile pour moi d’organiser une partie à 2 avec mon grand de 10 ans qui implique que les 3 filles jouent à autre chose… Surtout s’il faut lire et comprendre un mode d’emploi. Mais fort heureusement si la durée d’une partie est estimée à 40 minutes, les règles sont simples à prendre en main.

Charly, un architecte la tête dans les nuages
Charly, un architecte la tête dans les nuages

Il y a 3 phases clés dans Welkin, et il faudra choisir l’une d’elle par tour.

  • Ouvrir un chantier de construction
  • Miner des ressources (idéalement utile à la construction du chantier)
  • Utiliser les ressources pour potentiellement finaliser un chantier.

Le but du jeu est de s’enrichir de la vente des chantiers terminés, mais la valeur de ceux-ci sera dépendante du marché des ressources végétale, animale, cristaux magiques, minerais,…

En effet, au moment de choisir un chantier, on retrouvera sur certaine carte la possibilité de faire une action qui modifiera le cours des ressources, ce qui poussera à choisir des chantiers exploitant des ressources à plus grande valeur de revente… et chaque chantier terminé offrira des actions bonus à effet unique à utiliser en cours de partie.

Charly a très vite accroché au gameplay, et la majeure partie de ces nuances tout en prenant plaisir à construire les bâtiments qu’il trouvait jolis.

Lui comme, moi aurions trouvé chouette qu’il y ai un petit plus encore au choix des cartes construites sur le résultat… Mais je lui répondu, que l’on testerait ensemble « Les Bâtisseurs » qui devraient alors bien lui plaire également ; )

Booster son ancien MAC.

Booster son ancien MAC.

Voilà des mois que madame me fait savoir que trop souvent, quand elle travaille des lots de fichiers photo bruts dans Photoshop, son ordinateur est extrêmement lent. Je me suis penché régulièrement sur le sujet, j’en ai bien fait le tour. Pendant cette phase de travail, l’application Photoshop souhaite exploiter beaucoup de mémoire RAM, ce qui déborde des 16go et utilise de la mémoire sur le disque dur. Ce dernier, crée également d’énorme fichier temporaire tout en devant accéder à des fichiers .RAW lourd sur le Fusion Drive du Mac. Or le Fusion Drive est un disque hybride qui combine un disque de 128go en SSD pour le fichiers devant être régulièrement accessibles et un disque à plateau lent (5400 tr/m) pour le reste de données. A ce moment, c’est sur cette partie du disque que se trouvent les données, ce qui ralentit la machine. Vu que ce travaille est long, le système de backup Time Machine va considérer qu’il y a de nouvelles données à archiver et risque bien de tenter de créer un backup sur le disque dur externe, connecté en FireWire.

On boost ou on remplace ?

C’est une question qui aujourd’hui a bien plus de sens qu’il y a 10 ans. Les ordinateurs modernes ne semblent plus apporter de nouvelle technologie changeant fondamentalement le quotidien au point de devoir changer complètement de machine. Si les anciens Mac sont particulièrement robustes dans le temps, ils sont par contre dépendant du timing d’achat. En effet, les modèles restant longtemps au catalogue, l’iMac acheté en juillet 2015 est en réalité un modèle de la fin 2013, alors que mon Mac Portable acheté à l’automne 2013 était un modèle mi-2012. Les Macs sont connus pour être difficilement upgradables, mais cela reste possible, surtout pour ces anciens modèles. Sur un PC, là,  c’est d’autant plus facile d’envisager des améliorations depuis la démocratisation du prix des disque SSD !

Remplacer un disque dur par un SSD et ajouter un peu de RAM à un vieux PC lui permet forcément de gagner en rapidité, mais à quel point ? Après avoir amélioré notre PC, nous avons bien évidemment évalué les résultats. Et ils sont incontestables ! Auparavant, notre PC de maison était ce qu’on pourrait vulgairement appeler « une brouette » qui mettait 151 s à démarrer et à tout charger sur Windows 7. Une fois le contenu du HDD placé sur le SSD, le PC ne prend plus que 36 s à démarrer, ce qui reste assez long, mais déjà plus tolérable. L’arrêt de Windows passe lui de 105 s à 15 s. (Un tuto à lire sur Les Numériques)

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