On pourrait croire qu’il suffit de mettre sa carte SIM dans son nouveau numéro de téléphone, et tout fonctionne, et bien non ! Cela ne vaut que pour les « grands opérateurs » belges que sont Proximus, Orange ou Base. Lorsque vous êtes par exemple abonnés VOO, cette automatisation ne fonctionne que sur certaines « grandes marques », Apple ou Samsung par exemple. Le Google Pixel lui, n’est pas reconnu, et vous aller devoir entrer vous-même tous les paramètres nécessaires à pouvoir utiliser la 4G ! Je vous avoue que je suis resté un peu sur les fesses lorsque le technicien m’a expliqué cela, néanmoins,… celui-ci s’est montré très efficace pour régler tout cela !
J’ai récemment, ajouté un numéro mobile depuis mon abonnement VOO. Voilà près de 20 ans que je suis client Proximus et Mobistar/Orange et c’est donc avec étonnement que j’ai pris la nouvelle du technicien « L’internet mobile sur le réseau VOO, cela ne s’active pas automatiquement ! ».
En réalité, chez les deux opérateurs belges principaux, je n’ai jamais eu qu’à pousser ma carte SIM dans le téléphone et zou, tout fonctionnait automatiquement. Chez VOO, c’est un principe en recevant un SMS que les choses s’activent, mais…. cela fonctionne en général uniquement sur les téléphones les plus communs… Comprenez, les Samsung et les Apple !
Bon, je m’inquiète dès lors un peu avec le technicien, ici on est sur des Google Pixel, vous savez, c’est excellents smartphones si difficile à trouver en Belgique ! Et bien no, panique, ceuxi-ci se retrouvent bien dans le « pas à pas » que propose VOO pour un très grand nombre d’appareil, afin de faire les réglages manuellement !
Retour cette semaine sur les autres idées ramenées lors de notre passage à Ludovia 18, l’Université d’été dédiée à l’utilisation du numérique dans l’enseignement où une partie de l’équipe des MOOCs uLiège s’était rendue à la fin du mois d’Aout.
Je vous parlais la semaine dernière dans le rapport de la 1° journée de Merge Cube, d’Escape Game, de Thinklink, Lockee, de Podcast, de programmation ou encore de Mural.
C’est tout d’abord autour d’un atelier présentant un outil dédié à la création d’Escape Game, Pégase, proposé par le réseau Canopé que je me suis tourné.
Les Escape Game offrent une manière techniquement abordable d’apporter une couche ludique à des activités d’apprentissage en ligne, y compris dans les MOOCs. L’application web en ligne de Canope permet de créer un parcours, des énigmes, créer des environnements et différent type de manière de les résoudre (code couleur, notes de musiques, numéro de téléphone,…) . Une fois conçu, les apprenants pourront ajouter l’escape game sur un device Android ou Apple via un code unique. L’application étant alors autonome.
Si nous souhaitions utiliser cet outil, une mini-licence de 20€/an nous permettrait de créer 5 parcours différents. Dans mon document de recherche sur le sujet, l’Escape Game peut avoir du sens dans des activités intégratives, mais pourrait également être utilisé en amont pour poser certains bases de réflexion.
Le travail principale avant de se lancer dans un tel projet sera évidemment d’avoir réfléchi à une mission et des indices en lien avec les compétences à acquérir. Il faudra ensuite scénariser les croisement entres les indices.
Sur les différents stands techniques on retrouve régulièrement de petits kits de robotique. Sur l’un de ceux-ci, un des enseignants a réfléchi à différents scénari de missions sur Mars qui demandent à ses élèves de repenser la programmation de leur robot afin de résoudre la problématique de chaque mission et les objectif quotidien. Si j’avais à l’époque jeter un oeil aux kits proposés par LEGO, je me rends comptes que la marque à la brique est parfois près de 10x plus cher que les autres solutions ! Quoi qu’il en soit, chez nous en Belgique ce genre d’initiative d’initiation au codage est loin d’être généralisée dans les écoles !
Cela me fait penser qu’il faudra que je remette les différentes trouvailles dans mon Padlet « Numériques »
D’autres stands proposent des équipements dédiés pour créer sa radio de Podcast ou son studio fond vert portable. Une mixe audio avec jingle programmable et des micros Rodecaster Pro, cela fait un kit intéressant. En revanche l’option proposée pour de la WebTV ne m’a pas convaincu. Avoisinant les 2200€, on se retrouve avec une solution « GreenKey portable » basée autour d’un iPad. Et plus que probablement sans l’iPad. Pas de prompteur dans, pas d’outil vidéo ou son de qualité… Je reste à préférer mon approche de Micro Kit Vidéo auquel ajouter ensuite un éclairage et un fond vert portable si nécessaire !
La semaine dernière, notre équipe de production des MOOCs uLiège était à Ax-Les-Thermes afin de participer à la 18° édition du colloque Ludovia, d’une part pour présenter les résultats de son étude sur l’utilisation de nos MOOCs pendant la période COVID, mais également pour faire le plein d’idées numériques pour la rentrée.
Avant la publication d’un document plus officiel qui rassemblera les notes de chacun, je me conserve ici les miennes.
Je me suis régulièrement intéressé à des ateliers présentant des retours d’expériences, idées et outils permettant de ludifier des phases d’apprentissage. Parmi celle-ci l’approche Escape Game me semble relativement abordable à mettre en place.
L’Académie de Toulouse avait par exemple choisi de présenter une série d’outils numériques à utiliser dans ses Edulab au sein d’un Escape Game, soit une série d’énigmes à résoudre en manipulant les différents outils numériques qu’ils peuvent mettre à disposition des enseignants.
Point important, un moment est pris pour expliquer le concept de l’Escape Game et la finalité de l’expérience.
On retrouvera par exemple un Merge Cube à manipuler avec un casque VR (ou depuis un Smartphone). Ce genre de cube à imprimer et coller comporte des QR codes sur ses faces qui permettent d’afficher et manipuler des « objets virtuelles » en 3D.
Au sein d’un Escape Game, ce concept peut-être intéressant à mettre en place avec une personne qui manipule et un groupe qui doit trouver d’autres éléments connexes via d’autres sources. Un peu dans la lignée du jeu « Keep Talking and Nobody Explodes » que présentera plus tard l’équipe de Canope.
En soit, l’utilisation d’un Merge Cube peut également offrir une expérience à faire chez soi au sein d’un MOOC… à investiguer.
Ce fut l’occasion également de repérer deux autres outils intéressants. D’une part Thinglink, un outil permettant de créer des images et vidéo en 360° avec une couche d’interactivité, de quoi exploiter notre caméra Vuze. L’outil se montre simple et efficace, mais il faudra rester attentif à son coût calculé par étudiant, ce qui peut-être limitant dans un projet massif tel qu’un MOOC.
Créez facilement des expériences attrayantes pour les salles de classe et l’apprentissage à distance
L’autre outil, plus simple se nomme Lockee, ce petit outil en ligne permet de créer des accès restrictifs basés sur un code à remplir ou un QR-Code à scanner. De quoi concevoir un dispositif d’Escape Game simplifié.
Lockee.fr permet de créer des cadenas virtuels (numériques, à directions, à schéma, etc.) déverrouillant l’accès à un contenu (texte, image, son, lien ou vidéo externe).
Ludovia18 – Cécile Cathelin et Gaëlle Hallez
Je me suis ensuite intéressé à un retour d’expérience sur l’utilisation de Podcast audio dans la pratique pédagogique d’enseignants dans un lycée d’Orléans-Tours dans un cours de français. Le projet permet de réactiver les acquis, adapter le discours et les compétences orales. Il propose également de travailler l’écriture du scénario et du storyboard et bien évidemment différentes compétences numériques.
Aux cotés du traditionnel Audacity, les enseignants ont surtout utilisé Soundtrap, un outil de montage audio multi-pistes en ligne et gratuit qui permet par ailleurs, dans ses services facturés d’ajouter une couche collaborative.
Soundtrap, Le studio qui vous suit partout
Anchor.fm a également été utilisé, soit comme outil de conception ou de promotion. Les podcasts étant ensuite partagés au sein des établissements ou sur la plateforme Podcastics.
Afin d’enrichir le podcast, les enseignants ont pensé à réaliser une infographie regroupant l’ensemble de l’information. Le projet aura également permis de sensibiliser les étudiants à la problématique du RGPD et des droits d’auteur.
l’utilisation des #MOOCs uLiège pendant le #confinement
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Faire un tube dans son salon avec un iPad et Garage Band, mon nouveau synthé IK Multimédia iRig i/o 25 contrôlant l’application gratuite Audiokit Synth One et le micro du fiston. Voilà l’objectif que je m’étais donné !
Les vacances sont proches. Maintenant que Charly a terminé son CEB, j’ai sorti mon nouveau mini clavier IK Keys de 25 touches pour tenter de voir si l’on pouvait vraiment faire un tube avec un son iPad et Garage Band. J’ai chipé le micro du fiston et pris un peu mes marques sur ce genre d’approche linéaire que je connais moins… Il y a eu cette basse qui m’a rappelé le premier studio de musique dans lequel mon ami Pierrick Hansen m’avait emmené. Dans sa cave, avec un Amastrad qui chante Danser/Bouger… Depuis ce jour je me suis dit que moi aussi je pouvais faire de la musique ! »
Avec près de 15 années dans la photo, nous arrivons à un moment critique d’achat d’un nouveau boitier photo. Vous l’aurez déjà lu sur ce blog, je garde toujours un oeil sur les nouveaux boitiers afin de ne pas rendre ce moment trop difficile à prendre et l’année dernière j’analysais déjà le nouveau Nikon D780, le D850, les modèles hybrides de Sony dans la gamme Alpha7 et les nouveaux Z6 et Z7 de Nikon.
Après quelques nouvelles mise à jour de mes recherches, et la comparaison entre le Z6II et le Z7II, nous faisions le pas de passer du Reflex numérique à la technologie hybride avec le Nikon Z6II, Nikon proposant de très agressives offres de prix en ce moment !
À moins que vous n’ayez vraiment besoin de la résolution supplémentaire du Z7 II, le Nikon Z6 II est clairement un meilleur choix pour la plupart des photographes. Il est nettement moins cher, a de meilleures capacités de mise au point automatique et de prise de vue en continu, une grande mémoire tampon qui s’adapte à plus d’images (puisque les fichiers sont plus petits) et il fonctionne mieux dans des situations de faible luminosité. Gardez à l’esprit que 24 MP est un résolution idéal pour la plupart des types de photographie, y compris la photographie de portrait, de mariage, de voyage et d’événement, donc si vous photographiez principalement dans ces genres, optez pour le Z6 II et ne regardez pas en arrière. Si vous avez 1 000 € de plus qui traînent, placez-le vers un excellent objectif Nikon Z prime comme le Z 50mm f/1.8 S. Cependant, si vous trouvez que 24 MP est limité pour les impressions plus grandes ou le travail demandé par vos clients, le Z7 II sera un excellent choix. (Un article à lire en anglais sur Photographylife.com)
Prise en main du Nikon Z6II
Le Nikon Z6II monté de son 24-70 2.8 Z en main
Dès sa prise en main, le Z6II, ici équipé de son objectif 24-70 2.8 en monture Z fait impression. Plus compact que les reflex de la marque, l’hybride Full Frame de Nikon est également plus léger tout en proposant des objectifs dédiés plus large, donc laissant entrer plus de lumière.
L’autre force de ce boitier, un auto-focus hyper intelligent de près de 270 points d’analyse, contre les 51 pour mes anciens boitiers. Clairement, on se trouve ici dans une approche assez différente, à l’image de que Sony propose déjà depuis un moment avec sa ligne Alpha7. Cela demande un peu de changement dans les habitudes, d’autant que l’on ne trouve plus de bouton pour switcher rapidement d’une mise au point AF-S, AF-C ou manuelle ainsi que l’option 51 points ou point centrale. Il faudra probablement jongler entre la détection de visage, d’animaux ou le mode multipoint. Spontanément, j’ai eu eu peu de mal à trouver le raccourci prévu à cet effet, caché entre la poignée et l’objectif….
Plus qu’à tester le résultat des photos ?
Arf, les fichiers ne sont pas reconnus sur le MAC !