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Category: Jeux Vidéos

je suis fan de jeux vidéo.. essentiellement les bon vieux d’ailleurs !

Parlons de culture vidéoludique et des histoires du jeu vidéo.

Parlons de culture vidéoludique et des histoires du jeu vidéo.

Faire se rejoindre ma passion de la culture du monde du jeu vidéo et mon travail de production de vidéos pédagogiques à l’Université de Liège, voilà plus que probablement un cas de figure auquel je ne m’attendais pas il y a encore quelques années. Et pourtant, ce 1er mars démarrait le nouveau MOOC réalisé par l’Université de Liège et le Liège Game Lab, un projet entamé il y a près de 2 ans avec Bjorn Olav Dozo avec qui nous venions de finaliser le MOOC « Il était une fois la littérature jeunesse » et l’équipe du Liège Game Lab.

Quelle histoire du jeu vidéo ?
Quelle histoire du jeu vidéo ?

Mais pour aujourd’hui, je change de chapeau en vous parlant de MOOC et je profite de l’occasion pour approfondir ma culture vidéoludique et partage avec vous mes réflexions liées au premier module de ce cours en ligne ouvert à tous, premier module centré autour de l’histoire du jeu-vidéo… ou plutôt des différentes histoires du jeu vidéo. Dans cette première capsule vidéo introductive du sujet, Bjorn Olav Dozo, enseignant-chercheur à l’Université de Liège, en charge des humanités numériques et des cultures populaires développe en effet qu’il y a bien des manières de raconter l’histoire du jeu-vidéo. Celle de jeux clés, de machines, de licences ou d’auteurs. Et pourquoi au fond pourquoi certaine et plutôt que d’autres.

Quelle(s) histoire(s) du jeu vidéo ?

Amateur de Playhistoire depuis déjà 10 ans, j’ai déjà engloutis de nombreux ouvrages racontant l’histoire du jeu vidéo. Si beaucoup d’éléments clés sont récurrents, chacun d’eux s’arrêtent sur des jeux, des machines, des licences ou des auteurs qui n’évoquent pas toujours avec autant d’intérêt l’histoire du jeu vidéo telle que je l’ai vécue.

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Pacman Syndrome : on re-jouera à quoi en 2019 ?

Pacman Syndrome : on re-jouera à quoi en 2019 ?

2019 a démarré sur le chapeau des roues et je cours déjà de tout coté. Ce n’est pas pour cela que je n’aurais pas le temps de « jouer » à des jeux vidéo, tout simplement parce que ces moments me permettent également de faire un peu le vide mais aussi maintenant de passer des moments FUN avec les enfants.

Kingdom Hearts III

Scoop.it me faisant défaut, je profite du nouvel outil d’intégration de lien de WordPress 5 pour vous partager rapidement les différents jeux annoncés ces dernières semaines qui auront marqué mon attention. Il y a bien sur le remake de Link’s Awakening dont je vous ai déjà parlé il y a quelques temps ou encore Kingdom Heart III sur lequel Press-Start et Site Geek se sont tous deux penchés et que dont nous avons également commencé l’aventure en famille !

Kingdom Hearts 3 est un bon RPG qui aurait même pu être excellent s’il n’avait pas décidé de laisser sur le bord du terrain les joueurs n’ayant pas eu l’occasion de parcourir l’entièreté des épisodes parus à ce jour. Ses mécaniques de jeu font mouche malgré quelques soucis de confusion lors des combats – des aléas qui sont bien peu de choses face à la direction artistique envoûtante du jeu – et on prend plaisir à retrouver les personnages de la saga et de nos Disney favoris. (A lire sur Press-Start)

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Kingdom Hearts III, le 9° épisode d’une saga complexe

Kingdom Hearts III, le 9° épisode d’une saga complexe

Merci ma Valentine, je viens donc de commencer l’aventure après quelques hésitations. En effet, j’avais acquis Kingdom Hearts premier à sa sortie sur ma PS2. Madame et moi étions assez enthousiasme à ce concept qui mélait nos héros de Final Fantasy et le monde de Disney, mais très vite nous allions déchanter d’un gameplay un peu erratique lors d’un combat contre plein de petites bestioles noires… Las, je n’ai pas été plus inspirés par la sortie du second épisode, il y a déjà près de 15 années, malgré une si belle bande originale signée Yoko Shimomura.

Décus, nous n'avons jamais pas rencontré Anna et Elsa !
Décus, nous n’avons jamais pas rencontré Anna et Elsa !

Les bandes annonces de ce 3° volet, des années lumières plus tard me donnait vraiment envie de me plonger dans l’univers de Kingdom Hearts aux cotés des enfants. Mais, on m’a tout de suite fait comprendre que l’histoire impliquait d’avoir vu non pas les 2 autres jeux mais toutes la saga… Je dois bien admettre que les vidéos d’archives, proposées pour recontextualiser l’histoire, ne sont guerre jolies à regarder dans un genre de 3D reflitées et bien vide… Elles montrent une histoire très complexes avec des personnages qui se transforment et qui se croisent…. des vidéos qui par ailleurs restent éloignées de l’univers de Disney… voilà qui fait un peu peur lorsque l’on se rend compte que ce Kingdom Hearts III n’est pas simplement le 3° volet de l’histoire, mais le 9° hors d’une sage initiée en 2002 autour d’épisodes sortis sur PlaySation 2, PSP, GameBoy Advance, Nintendo DS et 3DS !

Commencer l’aventure donne il est vrai l’impression de tomber dans la soupe sans savoir ce que l’on va manger. Les mécaniques de jeux sont très simple à comprendre, la difficulté semble trop simple et je il faut bien l’admettre, j’ai l’impression d’être dans un film interactif plus que dans un jeu pour l’instant. J’aurais également préféré commencer ailleurs que dans l’univers du film Hercules, probablement le seul Disney que je n’ai pas vu. Cependant graphiquement, c’est beau ! Nous verrons pour la suite !

Mais la suite reste bien tarabiscotée. On continue à rencontrer des personnages propre à la série, que l’on est en principe censé reconnaitre, construire et customiser son vaisseau, lire ses messages sur son smartphone,… Mais quand diable arriverons-nous dans le monde de La Reine des Neige ou de Raiponce, histoire que les enfants accrochent… Au bout de longues errances dans la ville afin de trouver les ingrédients demandé par l’Oncle Picsou… Nous avons fini par abandonner l’aventure…

Le plein de jeux sur le C64mini : L’ordinateur personnel le plus vendu au monde

Le plein de jeux sur le C64mini : L’ordinateur personnel le plus vendu au monde

Les meilleurs d’entre-vous le savent, pour moi, l’histoire a commencé par un Commodore 64. C’était les vacances de l’année 1983 et mon paternel ramenait à la maison un micro-ordinateur équipé de toutes les options, dont le lecteur de disquette, sous les conseils avisés de notre Barballo, notre oncle spécialisé en informatique.

Yes, j'ai mon C64 Mini
Yes, j’ai mon C64 Mini

Mon frère et moi avions 6 et 5 ans et le C64 allait être notre compagnon pendant de très longues années, ressortant régulièrement de son armoire jusqu’en 1996.

Or donc, à l’occasion de mon 41 anniversaire, tout se petit monde se retrouvait autour du C64-Mini, version miniature du célèbre micro-ordinateur des années 80 afin retrouver les sensations d’un Pitstop, H.E.R.B.Y, Burger Time, Space Pilot ou encore Flying Ace !

 

Voilà plusieurs mois que je garde le garde à l’oeil et que je suis la communauté qui s’est crée sur Facebook autour de celui-ci. Aujourd’hui, moi aussi je peux fièrement m’afficher à coté de ce dernier !

Alors, que vaut cette « mini » console aux cotés d’un vrai Commodore 64, d’un autre mini console ou d’une solution reposant sur un Raspberry Pi ?

Tout a commencé par un C64

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Stoppez tout, Link’s Awakening est de retour !

Stoppez tout, Link’s Awakening est de retour !

L’hiver semblait encore bien là. Je prenais du plaisir à chipoter à mon nouveau C64-mini reçu pour mon anniversaire et nous avions même commencé à tenter de comprendre la complexe aventure de Sora, Donald et Dingo héros de Kingdom Heart 3.

Oui, du haut de ma sage quarantaine, j’étais dans de bonnes dispositions pour me dire que Rien ne presse pour « Switcher ». C’est que je l’admets, je dispose actuellement d’une grosse partie des meilleurs jeux de la WiiU. Si seul Mario Kart et Minecraft faisaient tourner cette dernière, depuis le début de l’année, voici que Charly, Alice et Juliette prennent plaisir à jouer régulièrement à Nintendo Land, New Super Mario U ou encore Pikmin 3. De plus, jusqu’ici Nintendo n’a eu de cesse que de sortir des ré-éditions de ces titres trop peu connus du public sur sa nouvelle console. Seul, Super Mario Odyssey sortait du lot mais n’avait pas vraiment sur rendre le Switch à la Switch indispensable à mes yeux et…  je me voyais donc encore attendre au calme.

Attendre au clame… Voilà qu’au hasard d’une avance rapide sur la vidéo du dernier Nintendo Live de ce 14 février, je vois apparaitre un petit Link tout mignon entre les remakes de Yoshi et Mario Maker. Ai-je bien vu, serait-ce… <3<3 Legend of Zelda : Link’s Awakening !? <3<3

I don’t need a Nintendo Switch
I don’t need a Nintendo Switch
I don’t need a Nintendo Switch
What ? Link’s Awakening is back !!! <3<3<3
I NEED A NINTENDO SWITCH

Oui, je sais c’est un comportement pas très adulte que j’assume totalement. Je ne suis pas de ceux qui achète tout parce que c’est nouveau, qui doivent tout posséder et en général je pèse longtemps le pour, le contre…. Et puis il y a ces émotions fortes auxquels on ne peut pas rien faire. Mais pourquoi diable un « nouveau remake de Zelda » peut-il me mettre dans cet état d’esprit ! Pourquoi soudain, je me réjouis de vivre l’excitation de ce moment où je pourrais le faire tourner entre mes mains…

Un voyage dans le temps s’impose ! Direction décembre 1993, j’avais presque 16 ans. La Gameboy, console portable de Nintendo s’était insinuée dans bon nombre de maisons, éclipsant bien souvent les mondes colorés de Super Mario World, les courses folles de Sonic the Hedgehog, les prémices de la 3D isométriques ou les décors chatoyant des jeux Point ‘n Clic des jeux PC…

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