Voilà déjà quelques mois qu’un problème étrange apparait sur le Google Nexus 5X de madame. Ce dernier tourne sous la dernière version d’Android 7.1, mais ce problème arrivait déjà de manière aléatoire avant ces mises à jour : impossible de répondre par SMS à certaines personnes. Si le problème est relativement aléatoire, une fois qu’un numéro bloque, cela se montrait définitif. J’avais déjà migré de Hangout vers la nouvelle application « Messages »(*) de Google, mais le problème là aussi avait fini par réapparaître avec un code d’erreur 69 ou 10 le plus souvent, mais pas uniquement.
Peu de solutions trouvées sur le net tel quel, hormis de proposer d’effacer tous les messages ou de ré-initialiser le téléphone… ou encore de prendre contact avec son opérateur.
Avec 3 numéros posant problème ces dernières semaines j’ai fini par contacter Orange Belgique ce dimanche pour expliquer le problème, et nous sommes tombés sur un technicien vraiment efficace qui a permis de mettre un peu plus de lumière sur le problème après avoir échanger les cartes sim entre le Nexus 5X de madame et le mien et procédé à divers essais.
Il y a une semaine, un mois, un moment, Nintendo présentait enfin son projet « NX » maintenant connu sous le nom de Nintendo Switch ! Après plus d’un an d’attente et de secret, l’effet de surprise était plutôt moyen. Personnellement, j’avais déjà entendu tant de chose s’ébruiter qu’il m’en aurait fallut pour beaucoup pour l’être et je me dis par ailleurs qu’avoir fait tant de mystère si longtemps sera peut-être dès le départ un coup dans l’eau pour Nintendo !
Le concept, allier la puissance et l’aisance de la console de salon avec les aspects nomades de la console portable. En gros Nintendo réuni donc la WiiU et la 3DS en un seul appareil. Si pour le joueur l’idée est plutôt intéressante il me semble que le concept risque surtout d’affaiblir Nintendo qui a fortement perdu en présence sur le tableau « console de salon » face aux Playstation et Xbox et qui n’a plus autant de poids sur le marché des consoles portables grignoté par les Smartphones, la Switch risquant immanquablement de réduire les ventes de 3DS.
Personnellement, je ne suis pas vraiment emballé par l’idée pour de multiple raison… Tout d’abord, j’ai clairement le sentiment que la WiiU a été sous-exploitée. Voilà plus d’un an que Nintendo n’a plus rien sorti de fort cette console qu’il a clairement mis au placard en annonçant tellement tôt son projet « NX ». J’avais pourtant pris plaisir à ce mode jeu où je pouvais switcher de TV à portable… Ah ben oui c’est le concept « révolutionnaire » de la Switch ? La 3DS avait elle aussi un nombre intéressant de titres, mais que j’aurais apprécié pouvoir partager sur grand écran… Je ne me sens donc pas l’âme à abandonner ma gameothèque WiiU… La Switch ne disposant pas de lecteur optique !
Comme un vieux raleur, je suis déjà peu emballer à savoir qu’il faudra à nouveau repayer les titres acheter sur le store en ligne de la WiiU et la 3DS pour pouvoir en bénéficier sur la nouvelle génération. Il y a fort à parier que Nintendo aura une politique un peu moins rustre que Sony avec sa PS4, mais en sachant que j’ai déjà dû repasser par la case porte-feuille pour transférer mes quelques Super Mario World et autres Castlevania de la Wii à la WiiU… ça devient un peu énervant !
La pub annonce des parties à plusieurs, fédérant les joueurs autour d’une même Switch ou en les associant… L’idée est géniale mais pas révolutionnaire. Mais à l’heure où les gens jouentà distance, je suis assez positif à ce « retour en arrière »… Mais je ne rêve pas, il faudra bien sur s’assurer que chacun aie acheter son exemplaire.
Rien à faire, les années passent, et le monde du jeu vidéo prend une direction hypercommerciale qui me met en rogne… J’ai toujours le sentiment que les Nouvelles générations ont bien moins « Waouw » que de fonctionnalité en moins… Il faudra probablement un bon moment avant que la Switch ne me fasse envie…. là de toute manière, avec toutes les chouettes sorties débarquées sur PS4, c’est plutôt la console de Sony qui arrive enfin à me faire de l’oeil !
A Nintendo de nous sortir du Waouw et du révolutionnaire avec sa palette de héros !
Pour ma part, je ne suis pas du tout de la génération Pokemon. Je n’ai jamais joué à un seul jeu de la série et j’ai surtout regardé épisodiquement le dessin animé, de quoi être familiarisé avec les quelques personnages principaux. De fait, ceci pourrait donc juste être un simple Pokemon de plus, une licence à rallonge à laquelle je n’ai pas vraiment envie de jouer. Après il y a le concept « Smartphone, addictif, réalité augmentée »… là encore, ce n’est pas mon truc. Rester scotché sur mon téléphone, déconnecté de la réalité… avec 4 enfants !!??
Facebook est déjà parfois trop envahissant dans mon quotidien.. Quoi qu’il en soit, je souligne le pari et l’audace de Nintendo. S’affranchir de ses propres consoles, oser l’innovation et s’accaparer les codes des jeux smartphones et du free to play… certes avec l’aide d’un partenaire, c’est une superbe réussite et plus que certainement à nouveau un marqueur principal dans l’histoire du jeu vidéo. Car en soit le concept, cela fait longtemps que j’entends parler de « clans » rouge et bleu qui se chamaillent notre planète en réalité augmentée… mais il s’agissait plus d’un truc de geek nolife qu’un coup de génie médiatique. A l’heure où je pleure le faible catalogue et l’abandon de la WiiU aux yeux de Nintendo et où tout le monde commence à sérieusement s’impatienter d’en savoir plus sur la future NX… Nintendo réussi clairement une belle opération !!
Envie d’en savoir plus, rendez-vous sur Press-Start !
Vous démarrez donc le jeu après une courte introduction et directement, vous pouvez choisir votre starter (Bulbizarre, Salameche ou bien Carapuce). Contrairement au jeu original, vous ne combattez pas de Pokémons pour les capturer, il vous suffit juste de marcher dans la rue et dès qu’il y en a un qui apparaît, vous devez lui lancer des Pokéballs pour l’attraper. Pas besoin ici de l’affaiblir, quelques objets vous permettront de faciliter votre capture tels que des baies pour l’appâter. Une fois le Pokémon capturé, vous aurez un écran de caractéristiques et vous gagnerez des poussières d’étoiles ainsi que quelques bonbons qui serviront soit à booster ses compétences, soit à le faire évoluer. (Un article à découvrir sur Press-Start)
Et bardaf, un nouveau coup bas dans les outils et solution web… Evernote modifie ces options dans la version Basic (gratuite) en limitant son utilisation à 2 appareils synchronisés ! Après Spotify ou plus récemment Kotobee Author, voici en encore un outils bien pratique qui implique de délier les bourses pour pouvoir en profiter correctement. Voilà un peu plus de 3 ans que j’utilise au quotidien Evernote que ce soit comme le voyez ici à titre personnel pour préparer mes prochaines vacances, l’achat d’une nouvelle voiture ou d’une nouvelle TV et même l’achat de notre maison, mais également à titre professionnel pour la préparation des achats de matériel, la rédaction d’article, la collecte de références et de lecture, la gestion du matériel informatique, des storyboards, des suivis de tournages vidéo et mes tâches quotidienne… Bref, je ne vous le cache pas, avec Evernote j’avais ENFIN trouvé une solution pour ajouter une extension de mémoire permanente à mon cerveau fort souvent saturé.
Car l’avantage d’Evernote était que je pouvais ajouter et consulter de nouveaux éléments à mes carnets de manière synchronisée sur mon Smartphone, ma tablette, mon PC de bureau, mon PC à la maison, le Mac de Madame, mon Mac de montage vidéo perso, ma station de montage aux bureau… ou sur le site web en ligne depuis une machine externe… bref, limité à deux appareils synchronisés n’a aucun intérêt dans mon workflow quotidien.
Je n’ai qu’à payer pour résoudre le problème ! Puisque j’aime tant ce logiciel… Facile, facile…. mais je n’ai justement pas trop envie de faire ce genre de choix, CONTRAINT ET FORCE pour conserver les options que j’avais au paravant gratuitement !
Bref, Messieurs Evernote… je suis vraiment furieux de ce coup bas… et me voilà à devoir investiguer une solution similaire gratuite !!
—Opération risque zéro, j’ai dû rendre privé mon illustration montrant en toute petite vignette des notes prises dans Evernote illustrant des villages français–
Voilà quelques années que les éditeurs de jeux jouent avec notre fibre nostalgique. Pas plus tard que cette année, on nous resservait un lifting de Day of the Tentacle, une version 3D de Shadow of the Beast ou encore le retour des Buster Brothers dans un nouvel épisode de la licence Pang que j’ai eu récemment l’occasion de tester sur Press-Start !
Cannon Ball – Hudson – 1983
Pang est à l’origine un jeu d’action et de réflexes sorti en 1989 sur borne d’arcade. Vous y contrôlez un petit personnage armé d’un « pisto-grappin » avec lequel vous allez devoir détruire une série de balles rebondissantes dans un niveau figé. Lorsque vous en explosez une, celle-ci se sépare en deux autres plus petites. Pour l’époque, il n’y avait pas vraiment de grande révolution en la matière et le concept n’était au fond pas vraiment éloigné de ce bon vieux Astéroïds où les météores se scindent en deux morceaux plus petits lorsque votre vaisseau parvient à les atteindre d’un shoot bien senti ! Les plus anciens vous diront même que Kihaji Okamoto, concepteur de Pang, n’aura au fond que remis au gout du jour un titre de Hudson sorti en 1983, Cannon Ball, où là aussi votre petit personnage devait détruire des boules rebondissantes se coupant en deux une fois atteintes !
Pang – Mitchell – 1989
Pour ma part, je n’ai pour ainsi dire pas connu la version arcade et ses nombreux portages. Ce n’est dans un premier temps qu’avec la version Super Nintendo que j’ai découvert le concept et c’est surtout avec l’épisode Playstation plus de dix ans tard, que j’ai vraiment touché à l’essence même du jeu : Le bon timing ! Car en fait, tout est là. Si Pang n’innove pas réellement, il offre un jeu stressant où vous devrez anticiper les rebonds des différentes boules autour de vous pour vous positionner au meilleur endroit pour réduire la taille des obstacles. Lorsque vous scindez une balle en deux, son amplitude de rebond se réduit et il vous faudra donc rapidement changer de position.
Nous voici donc, 27 ans après la sortie de Pang dans les salles enfumées et c’est le duo français Pastagames et DotEmu qui s’attelle à remettre au gout du jour les aventures des deux frangins sur Smartphones, tablettes et consoles next-gen. L’un et l’autre nous ont offert jusqu’ici de chouettes réalisations. Le premier avait su nous surprendre avec Maestro Jump in Music sur Nintendo DS, Rayman Jungle sur iPad ou encore Pix the Cat sur PS4 alors que le second est essentiellement connu pour ses portages parfaitement au point de grands classiques tels que Another World, Gobliins ou encore Little Big Planet sur supports tactiles. Vous conviendrez donc qu’avec un tel bagage, j’étais plutôt enthousiaste à l’idée de tester Pang Adventures sur mon iPad.
La petite séquence d’introduction est réussie, les musiques sympathiques… voilà nos deux frangins rappelés de vacances pour sauver le monde d’une invasion extra-terrestre particulièrement bien préparée… à base de bulles ! Le prétexte est amusant, vous en conviendrez !