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Tag: processeur

Un Wiko pour la Fête des Mères.

Un Wiko pour la Fête des Mères.

Depuis plusieurs mois, je suis avec intérêt les Smartphones à prix très compétitifs de la marque française Wiko. Il est vrai que leur produit phare, le Wiko Cink Peaks, est plus qu’accrocheur, un téléphone double core aux caractéristiques très proche de l’iPhone, le tout pour 180eur et une rawette et la dernière version d’Android.

Quelques semaines avant la Fête des mères, madame me fait savoir que « oui tout compte fait, elle ne serait pas contre remplacer son actuel téléphone ». Il est vrai qu’elle n’a jamais été emballée par son Sony XPeria X8, et moi non plus. En tâchant de lui trouver quelques choses de correct et de coloré (ce qui n’est guère facile), je suis tombé sur le tout nouveau Wiko Cink+ décliné en rose.

Sorti début avril, celui-ci se présente comme un modèle équipé du processeur du Cink Peaks (Dual Core donc) mais à 101eur à peine chez LDLC. Difficile de lui tenir tête.

Mais qu’en est-il une fois déballé ?

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FCPX 10.0.6 la mise à jour que j’aurais du éviter !

FCPX 10.0.6 la mise à jour que j’aurais du éviter !

Il y a des jours, où derrière mes ordinateurs, je rage et je fulmine ! Mais n’aurais-je donc jamais la paix, un ensemble qui fonctionne tip top ! Depuis le temps que je galère avec la suite Pinnacle Studio, je m’étais dirigé vers une solution Final Cut Pro X, impliquant l’utilisation d’un Mac. Cette dernière a bien des avantages, mais elle a aussi ces désagréments, qui depuis ce lundi se montrent bien énervant !

Oui, c’est que depuis la semaine dernière, je suis passé à la version 10.0.6 de Final Cut Pro X, apportant son lot de correctifs et améliorations. Dans les fait, je me retrouve avec un soft (Compressor compris) qui ralenti bien plus qu’avant et surtout, au grand surtout, des projets de 2 à 3 minutes à peine qui ont tout le mal du monde à s’exporter. Difficile de comparer, mais je n’ai jamais dû attendre 2 heures pour exporter un projet jusqu’ici et surtout l’un des arguments forts que j’avais à donner à FCPX était justement sa souplesse et fiabilité de travail !

De fait, cela me fait d’autant plus rager que cette nouvelle version 10.0.6 n’apporte toujours pas l’import de fichiers M2T, issus de ma caméra professionnelle Sony Z5 et son module pour carte mémoire CF. Cela m’oblige donc toujours à devoir passer par un logiciel de conversion au format HDV Pro qui crée d’énormes fichiers. Rageant, d’autant que ce format de fichier fonctionne plutôt bien sur Pinnacle !

A coté de cela, les fichiers M2TS de ma nouvelle Sony VG20 fonctionne sans soucis sous FCPX (jusqu’ici), alors qu’à la maison, je rencontre pas mal de problème quand je les transformes en fichier MPG HDV2.

Je vous l’accorde, c’est un peu technique, mais cela vous montre la complexité de mon quotidien et le besoin ou du moins l’espoir de trouver un environnement stable et fiable !

Au bout d’une semaine de test et chipoteries pour comprendre pourquoi mon outil de travail me fait des misères j’ai fini par trouver d’autres utilisateurs qui galère également avec cette nouvelle mise à jour de FCPX 10.0.6 au coté de nombreux autres qui s’annoncent ravi des performances améliorées de cette mise à jour ! De mon coté, bon nombre d’actions s’enchainent de l’icone de « sablier » propre à Apple et mes projets entamés dans la version 10.0.5 mettent un temps considérable à être exporté par le nouveau module de « partage », y compris via Compressor.

J’ai donc analysé comment fonctionnait mon iMac lorsque je lui demandais d’exporter un montage relativement simple (quelques plans superposés et des textes en surimpression) de 3 minutes. Durant près de 30 minutes, mon Core i7 consomme assez peu de ressources, pour passer de 9 à 11%. Le disque dur ne semble pas plus travailler. Au bout de ce temps (parfois montant jusqu’à pas loin de 1h), la machine s’active. Mes 8 processeurs se mettent alors en route, le disque dur affiche un graphique de fonctionnement linéaire et je peux alors passer en quelques minutes de 11 à 22%, voir 26%. Ensuite calme plat pendant 30 à 40 minutes avant de refaire le même scénario jusqu’à 33%.

La dernière étape allant de 33 à 44% est elle assez variable. un peu avant 50% le travail est terminé.

Tout d’abord, il faut bien admettre que les informations proposée par FCPX sur l’avancement du rendu sont peu claires, mais je me questionne essentiellement sur les temps tellement long de visible inactivité, rendant le rendu anormalement long. Cela se présentant donc essentiellement dans des projets initiés dans la version précédente 10.0.5 au départ de fichiers rushs au format HDV converti pour FCPX.

D’autres bugs sont répertoriés ici :
http://fcpx.tv/bugs.html

Et mes discussions dans le forum :
https://discussions.apple.com/message/20239059#20239059

Les habitués de l’environnement  Mac me recommande évidemment « De ne jamais faire de mise à jour avec des projets en cours« , ou « de repartir de mon backup de la version 10.0.5« . Mais dans la mesure où je suis encore jeune utilisateur de cet OS, je n’ai ni les pratiques, ni l’équipement adapté pour cela. (Pas de TimeMachine sur cette station). Au mieux ai-je un FCPX 10.0.3 sur une clé USB, mais mes projets avaient été réalisé avec une version supérieure.

Bref, je galère ! Et je ne peux qu’attendre une mise à jour qui corrige les bugs que je rencontre !

Smartphone, étape suivante !

Smartphone, étape suivante !

Bien, souvenez-vous, l’année dernière je me lançais dans la découverte et l’utilisation d’un Smartphone avec comme choix ne pas dépasser la barre des 150€, puisqu’à l’époque j’avais un peu de mal encore à cerner de quelle manière j’allais intégrer ce nouvel outil entre mes déjà bien nombreux autres périphériques informatiques (PCs, Netbook,…) Les premières impressions étaient très positives et rapidement les nouveaux usages ont créés des besoins que le passionné de technologie que je suis à petit à petit eu du mal à combler. Agenda multi-comptes centalisés, gestion de tâches, aide mémoire, lecteur de flux RSS, appareil photo et caméra, conteneur et diffuseur de média instantanés,… Mon Samsung Galaxy Apollo m’a apporté beaucoup, mais au bout de quelques mois, mes demandes sont devenues trop importantes, m’obligeant à ne plus mettre à jour toutes les applications, à en limiter l’installation de nouvelles et parfois même le rendant peu souple à l’utilisation puisque mémoire (172 en mémoire interne) et probablement processeur (600mhz) se retrouvaient saturés (essentiellement par les tentatives de mise à jour des applications).

Bref, depuis la fin d’année 2011, j’avais déjà commencé à suivre l’actualité Smartphone qui débutait à proposer le nouveau système Androïd 4.x (Ice Cream Sandwich) et une mémoire interne plus importante. Ceci dit les produits étaient alors trop souvent de tout nouveau modèles couteux ou des déclinaisons à peine améliorées en Android 2.3 de ce que j’avais déjà analysé à l’époque… Avec des Galaxy Ace +, des Samsung Gio et compagnie… jusqu’au mois de mai où une news présentant le nouvel HTC One V m’interpelle : coque métalique, noir mais au design élégant, Android 4 et un prix envisageable sous les 350€, je me suis alors lancé à pousser plus loin les investigations : Processeur 1ghz, 512mo de mémoire interne (+ 16go de stockage avec ma carte MicroSD), capteur photo 5mpx et vidéo en 720p.

L'ancien Samsung Apollo et le nouvel HTC One V
L’ancien Samsung Apollo et le nouvel HTC One V

L’opportunité se faisant, je suis depuis hier l’heureux possesseur de cet HTC One V et je vous en livre rapidement mes premières bonnes impressions. Livré dans un emballage spartiate, mais au fond très écolo (carton recyclé, sachet plastique biodégradable), la prise en main fait tout de suite sensation. Très plat (plus que l’iPhone 4) mais lourd, il laisse apparaitre quelques finitions en métal brossé au coté d’un large écran (3’7) comparativement à mon Galaxy Apollo et même l’iPhone 4 (3’5). La partie arrière en matière type caoutchouc n’est pas vraiment ce que je préfère, mais bien plus jolie que ce que propose Samsung, et s’avère au final bien pratique, puisqu’une fois posé sur la table, le Smartphone y sera bien accroché !

La boite du HTC One V très écolo
La boite du HTC One V très écolo

Après quelques deux bonnes heures de première recharge, je peux enfin allumer la bête, et de suite je suis impressionné d’une part par la qualité d’écran, mais aussi par la luminosité de celui-ci. Il faut dire que mon petit Samsung se limitait à une résolution de 240×400 et que je suis maintenant au double 480×800 ! Un poil quand même en dessous de l’iPhone 4. Et puis, afin de préserver la batterie de mon Samsung, j’utilisais une application qui limitait la luminosité de l’écran de ce dernier !

Le One V en main
Le One V en main

En avant pour l’install ! Et oui, bien évidemment, Smartphone oblige, il y a tout une série de chose à paramétrer ! WiFi, compte Google, Facebook, Dropbox HTC,… et récupération des données du Samsung. HTC propose un système de transfert de donnée via Bluetooth, mais le Galaxy Apollo n’y est pas reconnu. J’avais une copie de ma carte MicroSD, mais pour ma liste de contact, j’avais pu réaliser deux backups. L’un via le téléphone en fichier .VCF et l’autre depuis l’application Samsung KIES. Aucune option pour faire l’import de ce genre de fichier depuis l’HTC, j’ai finalement résolu le problème en déposant le fichier VCF (un standard de base de donnée de contact) sur ma carte mémoire et tenté de l’ouvrir depuis l’application « File Explorer » fraichement installée… et zoup, tous mes contacts étaient à nouveau importé. Je n’ai par contre pas pu récupérer mes SMS.

En quelques heures, je suis séduit ! Agréable à utiliser, beaucoup plus souple et une qualité de son bien supérieur à mes derniers téléphones ! La différence de prix se justifie vraiment par rapport à mes besoins. Certains me diront que j’aurais dû acheter un iPhone… mais c’est bien le double du prix ! J’apprécie vraiment Androïd pour un Smartphone, là où je préfère iOS pour les tablettes..

A suivre donc, puisque c’est à l’usure que je verrais si l’HTC One V me fera conserver le sourire !

Petit essai "brut" d'une photo avec l'HTC One V
Petit essai « brut » d’une photo avec l’HTC One V

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T’as ta tablette ? (1/2)

T’as ta tablette ? (1/2)

Bon, cela fait un moment que j’en parle. J’ai la chance de pouvoir tester depuis le mois de juin deux tablettes tactiles : la bien connue iPad 2 d’Apple et à l’époque sa concurrente directe signée Samsung, la Galaxy Tab 10.1 (version P7100).

Technologiquement ces deux appareils sont assez proches, et je ne m’attarderais donc pas sur le processeur graphique de l’un ou la mémoire embarquée de l’autre. Ce qui m’intéresse par contre, c’est évidemment l’écosystème des deux, à savoir Google Androïd (Honeycomb 3.0) et iOS (version 5).

Histoire de ne pas dire de bêtise pour certains visiteurs, il faut savoir que le Galaxy Tab que j’ai ici a testé est un modèle resté très peu de temps sur le marché Belge et hollandais (P7100) et que celui-ci a été très remplacé par un autre modèle, améliorant peut-être l’expérience sur certains points.

Bref, un élément intéressant à comparer est la qualité de l’écran. La brillance de l’écran Samsung donne un rendu moins agréable à la lecture. Sur ce point l’iPad est clairement plus agréable pour lire du texte. Lors de mes premiers essais, je préférais vraiment la taille des touches tactiles de la Samsung, mais les améliorations apportées par iOS 5 ont rendu l’iPad plus agréable à ce niveau. Enfin, si je trouvais l’ergonomie de l’interface d’Androïd 2.2 Froyo (sur mon Smarphone) claire et pratique, je trouve au final la futuriste version 3.0 de Honeycomb assez désorganisée. J’ai du mal à savoir où mettre mon doigt, ou trouver les options et quels boutons fait quoi ! L’iPad avec son unique bouton n’est pas toujours intuitif… Il faut apprendre, mais une fois les habitudes prises, on se met dans le rythme. Peut-être la version 3.1 de Honeycomb améliore-t-elle les choses, mais il semble que Samsung ne se presse pas vraiment à la proposer sur la P7100.

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Il faut sauver Pinnacle Studio

Il faut sauver Pinnacle Studio

Après une première découverte du montage vidéo informatisé via un logiciel Magix fin des années 90, j’ai vraiment fait mes débuts à la dur sur Adobe Premiere 6 en auto formation avec l’aide de mon formateur multimédia… Avec des études en ingénieur du son, un intérêt tout particulier pour l’informatique et les média et à l’époque une très récente formation approfondie d’Adobe Photoshop 6, j’avais pu maitriser de manière basique l’outil, et même à gagner ma croute avec,… puisque c’est grâce à cela que j’ai pu décrocher mon actuel job dans le domaine de l’e-learning.

J’ai donc travaillé quelques années avec Premiere et une excellente carte d’acquisition vidéo de la marque Pinnacle, qu’il allait me falloir remplacer en 2003 ! Or une petite gueguerre venait de froisser Adobe et Pinnacle, les nouvelles cartes d’acquisition vidéo n’étant plus supportée par Adobe Première, je me retrouvais à découvrir Pinnacle Liquid Edition 5, la version « pro » de leur de logiciel de montage vidéo…. Un poil plus conviviale que mon aseptisé Adobe Premiere 6, Liquid Edition souffrait tout de même d’une grosse gourmandise en ressource et surtout d’une ergonomie mal pensée… C’est alors qu’un nouvel heureux hasard allait me faire croiser la route Pinnacle Studio 8 !

Des Pinnacle Studio 8… j’en avais une pelletée de CD dans mon armoire ! C’est qu’à l’époque, les ordinateurs Asus que j’avais choisi pour mes collègues était livré avec ce logiciel. Mais je n’y avait guère fait attention. Un jour, mon patron m’apporta un boitier de digitalisation vidéo analogique USB pour faire un essai…. Un boitier de la marque Pinnacle, livré avec une version bien étoffée de Pinnacle Studio 8… La mayonnaise allait prendre !

Il faut savoir qu’à l’époque donc, je donnais une formation pour adultes concernant la digitalisation vidéo, et j’y présentais Adobe Premiere 6, et qu’il fallait bien avouer que ce logiciel était assez mal adapté à mon public, certes intéressé par le sujet. Pinnacle Studio 8 se révélait être bien plus simple, très intuitif, beaucoup plus flexible et nettement moins cher !!! Je me lançais donc à ré-écrire ma formation autour de ce dernier,… avant d’en faire mon outil de travail quotidien !

Durant près de 6 ans, j’évoluais donc de version en version Studio 10, 12,…. 14 ! Studio n’était pas exempt de défauts, il avait ses caprices, ses plantages, ses lenteurs… C’est vrai ! Mais fort souvent les plus gros soucis étaient rapidement corrigé par une mise à jour…. Alors donc, pourquoi aller voir ailleurs ? Pourquoi aller voir comment a évolué Adobe Premiere, à quoi ressemble son petit frère Première Element,… Pourquoi diable s’intéresser à iMovie et Final Cut uniquement disponible sur Mac,… ou tenter Edius Canopus !

Et bien voilà que je me retrouve à devoir me poser toutes ces questions !! La faute à un Pinnacle Studio 14 beaucoup trop buggués, abandonné par Pinnacle et son nouvel investisseur Avid… Des problèmes majeurs dont je ne cesse de me plaindre via les divers SAV depuis novembre 2009, et qui reste toujours non résolu… Aucune mise à jour !!! Et je suis loin d’être le seul à en avoir remonté des problèmes sur ce Pinnacle 14.

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