Bref, les vacances approchent et je me prépare à l’arrivée d’une jolie NES à la maison… voici déjà quelques titres venus commencer ma collection sur la NES de Nintendo !
Bien entendu, le grands classiques des grands classiques : Super Mario Bros 3 ! Vous constaterez que j’ai déjà une jolie manette NES pour agrémenter mes photos, merci Dragonus :)
Et puis d’autres titres sont venus rejoindre les rangs : Les aventures de Picsou (Ducktales) dans sa jolie boite en carton (merci Vega), ainsi que le deuxième épisode de Super Mario, l’excellent premier hit de Luca’s Arts : Maniac Mansion que j’avais découvert à l’époque sur mon Commodore 64,… ainsi que les Tortues Ninja, Tic & Tac,..
Fin 1993, alors proche de mes 16 ans, mes deux pots Pierrick Hansen et Romuald Dispa avec qui je trainais pas mal débarquent un mercredi après-midi à la maison avec l’Amiga 500 de Romu.
Une belle machine pour les jeux-vidéo bien sur, j’avais déjà pu m’en rendre compte sur la bécane de Bruno Devalkeneer et dans les magasines Gen4 et Joystick… mais ce n’était pas vraiment ce qui nous intéressait ce jour là. L’amiga 500 et sa technologie audio avait permis à bien des musiciens de faire des merveilles avec des logiciels de SoundTracking, permettant de transformer un échantillons (samples) en tant qu’instrument de musique.
Pendant de longs mois, j’allais rêver avoir un Amiga afin de créer de la musique avec autre chose que le Music Processor de mon Commodore 64. Mais les chances de voir notre PC 80386 remplacé par cette machine était quasi-nul. Petit à petit celui-ci allait s’offrir quelques améliorations, fier de ses 40mhz et son mega de mémoire, une carte VGA et l’écran nécessaire venait nous offrir la couleur, ainsi qu’une carte son Sound Boomer, compatible Sound Blaster… plus qu’à trouver un logiciel adapté !
Cela sera pour juin 1995, je vous en avais déjà parlé en son temps. En un peu plus d’un an, je composerais alors près de 300 modules avec Fast Tracker et Scream Tracker, bien évidemment dans la veine des productions Amiga, modèles par excellence : 4Mat, Moby (Frédéric Motte), Bjorn Lynne, Barry Leitch et bien d’autres.
Bref, ce nouvel album « Gimme an Amiga » est dédié à cette époque. Les titres ont été composé entre la fin d’année 1995 et décembre 1996, légèrement remastérisé pour cet album, histoire de vous offrir un petit plus comparativement au fichiers .MOD originaux, bien souvent signé de mon pseudo Mc Piet, qui n’avaient jusqu’ici été « édités » qu’en version K7 audio. Et en petite surprise, une version remix réalisée par Xenon (Fabrice Tonnellier) du titre Beyond the Galaxy !
J’ai testé il y a peu les applications « Tribal Nova » que le site EduMobile avait fait mention. Elles sont attirantes et graphiquement réussies et me donnaient l’impression d’être bien réfléchies au niveau pédagogique (arbre d’apprentissage, infos aux parents.)
J’ai d’abord testé « Apprends avec Planet Boing! », application gratuite qui n’est au final qu’une genre de porte d’entrée pour jouer avec les objets gagnés. J’ai fait testé l’outil à mon grand de 3 ans qui se débrouille déjà avec l’utilisation d’une tablette. Ils nous a fallu un temps pour comprendre qu’il n’y avait pas grand chose à faire et l’utilisation des objets n’est pas vraiment intuitives.
J’ai ensuite testé avec lui le jeu « Au pays des pingouins » pour l’apprentissage de l’alphabet. Pour son âge seul « les lettres » sont à son niveau. Là aussi, les choses ne sont pas intuitives, le jeu manque un peu de réactivité et de souplesse pour des doigts d’enfants… et puis pourquoi avoir choisi des lettres en minuscules imprimées, plus difficile à reconnaitre. Le contrôle du petit ours qui glisse, reste au final assez difficile.
Les Saisons de Triba Nova
Enfin, pour faire « simple » j’ai ensuite été voir le jeu sur les Saison. Pourquoi ne pas avoir intégré un peu d’apprentissage avant de tester de suite les connaissances de l’enfant. Dès le départ, moi adulte j’ai déjà du mal à trouver les « erreurs »… Les chaussures par exemple, il faut savoir que c’est ce genre d’éléments qui n’est pas cohérent dans l’image. Les Citrouilles, il faut que l’enfant aie appris que les citrouilles correspondent à l’automne… sur ce thème des saisons, un peu d’apprentissage aurait vraiment été intéressant !
Bref, les jeux pour apprendre, même s’ils ont fait des progrès depuis ceux que j’ai connu étant gamin souffrent toujours des même maux. Soit l’idée est chouette mais on apprend pas vraiment avec,… soit la réflexion sur l’apprentissage est plus poussée, mais le jeu est soporifique ou trop compliqué…. mais rarement l’équilibre nécessaire n’est présent… Et c’est vraiment dommage.
Chopper Math – C64
Je me souviendrais évidemment toujours de Chopper Math pour Commodore 64 que mon père m’avait ramené histoire de nous améliorer en calcul. Addition, soustraction, multiplication,.. le petit hélicoptère apparaissait en haut de l’écran avec par exemple un 5+7. Il fallait calculer mentalement puis encoder la réponse au clavier le plus vite possible. Dès que la bonne réponse était validée, apparaissait en bas de l’écran la base d’atterrissage avec cette réponse. Bien souvent l’hélicoptère était déjà pas mal descendu et il restait peu de temps pour atteindre la base, mais le plus difficile c’est que pour diriger celui-ci il fallait utiliser la touche G pour aller à gauche et la touche D pour aller à droite…. alors que la touche D est à gauche de la touche G sur un clavier… Pas très pratique !
Ma fois, j’ai toujours en idée de retravailler le concept de Mimi la fourmi dont je vous ai déjà parlé en son temps, petit soft pour apprendre les lettres de l’alphabet. Et franchement, je vais vraiment m’y mettre à plancher la dessus !
Entre les parties de Rayman Origins et la lecture de l’histoire de Mario, je prends un moment pour faire le point pour la chronique Pacman Syndrome.
Sur son blog, le frangin poursuit l’analyse en profondeur du dernier Rayman.
« Je suis arrivé au 2eme monde: la musique » me dit mon frère. Il venait de lire mon éloge du premier monde de Rayman Origins, mais il était un peu déçu par ce nouveau monde « c’est tout creux, vide quoi. Un peu mort aussi ». Je souris: je viens de refaire le « Band Land » du Rayman d’origine, « Band Land » signifiant à la fois le pays des groupes (de rock/jazz) avec un jeu de mot sur « Bad Lands », les terres arides et rocailleuses … Mais une fois la manette en main, je dois bien reconnaître qu’il n’a pas tort: les mêmes instruments tordus encore et encore, quelques tambours-tremplins … » (A lire : Origins band land)
Annoncée pour la 2° moitié de l’année, la prochaine console de Nintendo s’appellera donc la WiiU. Elle semble déchirer les joueurs par son approche étonnante et sa position technologique en fort retrait. J’ai lu cet article intéressant à ce sujet sur Gameblog.fr
« Nintendo à enfin trouve des armes pour me séduire, après la 3DS c …Gameblog.fr (Blog)Et oui cette année Nintendo à su me séduire, depuis la gameboy advance j’ai toujours été hermétique à toutes les consoles, que se soit portable ou de salon, de… » ( A lire : Nintendo à enfin trouve des armes pour me séduire, après la 3DS c’est la Wii U)
Enfin, deux vidéos pour en finir… le dernier teaser sortis pour l’arrivée prochaine de Résident Evil 6 sur Playstation 3 ainsi qu’une vieille publicité quebecquois du Commodore 64 !
Les années filent, et avec maintenant trois enfants, elles me semblent passer encore bien plus vite ! Je m’arrête sur ce 34 car depuis longtemps avec le 27, il s’agissait de l’un de mes deux nombres préférés. Dire qu’il y a déjà sept ans que j’avais 27 ans (lol)… Bref, pour le 27, c’était facile, il s’agissait du numéro de la Ferrari durant de longues dates. Pour le 34, c’est un peu plus originale, il s’agissait en réalité de la F1 que l’on pilotait dans le jeu Grand Prix Circuit réalisé par Accolade en 1988. Qu’importe le modèle choisi Ferrari, Williams ou Mc Laren, le numéro de la voiture était le 34. Les Travis Day, Toni Borlini et autre Bruno Gourdo n’avaient qu’à bien se tenir.
Grand Prix Circuit ne fut pas mon premier jeu vidéo de Formule 1. Pole Position et Pit Stop s’étaient déjà invités sur le Commodore 64 quelques années au par avant, mais ils donnaient un résultat nettement moins réaliste. Grand Prix Circuit, se fut surtout mon premier bon jeu sur notre déprimant PC. Avec un écran orange monochrome et un PC Speaker, il ne pouvait pas faire tourner grand chose. De plus ce dernier n’était équipé que d’un lecteur de disquette 5’1/4, ce qui ne permettait pas de récupérer d’autres softs des PCs de mes amis qui eux disposaient déjà d’un unique lecteur Floppy. C’est donc via mon ami Luigi Sacco que j’avais pu ramener GPC à la maison, le cachant dans les tréfonds de notre disque de dur de 20mo derrière quelques répertoires ALT255 ALT255…. C’était évidemment sans compter que j’allais ramener avec moi le virus STONE !
Grand Prix Circuit eu surtout son heure de gloire chez Alain et Vivien, disposant d’un ordinateur permettant d’afficher le jeu en couleur, et surtout de se faire des saisons, alternant la conduite à chaque Grand Prix.
Grand Prix Circuit fut aussi ma première tentative de « Crack/Hack »… grâce à PC Tools et son éditeur hexadécimal, je m’étais tout d’abord attaqué à changer le nom des pilotes afin d’y mettre mes copains, tellement sympa non !? Puis des crédits, histoire d’ajouter un « Cracked by Piet The Cracker Boy », j’allais aussi tenter de changer la musique, ce qui donnera une jolie cacophonie de PC-Speaker.
Bien plus tard, alors que Formula One Grand Prix de Microprose avait déjà atomisé Grand Prix Circuit, j’allais trouver la version C64 de celui-ci, avec sa super adaptation musicale et ses longues minutes de chargement… De quoi lui offrir une seconde vie !