Oui, dans la course folle de la rentrée de septembre, chez nous, il y a déjà ce petit goût de Noël qui est là ! Comme chaque année, nous préparons les Séances Noël pour accueillir les familles dans notre studio Petite Snorkys Photography situé à Esneux, à 10 minutes de Liège. Ce weekend, nous avons installé temporairement la nouvelle déco intérieur et c’est notre petite Rose qui s’est prêtée à jouer la petite fille modèle. J’en ai profité pour teste un peu plus mon Sony Alpha7 pour faire un petit clip vidéo pour vous donner envie de découvrir cet univers magique, le temps d’une séance photo, le temps d’une pause en famille !
Venez rêver avec vos enfants, de jours plus beaux et plus doux et réaliser vos souvenirs de Vie en ma compagnie. Du 21 novembre au 5 décembre 2020, les minis sessions de Noël vous attendent…
Il y a dans un premier temps un concours pour gagner une séance, cela se passe sur la Page Facebook, et si vous voulez vous assurer de ne pas louper l’un des créneaux encore dispo, vous pouvez réserver en ligne directement sur le site web.
Zoupla, aujourd’hui c’est la reprise. La semaine prochaine, ce sera la rentrée des classes. Les vacances sont terminées ! Vacances ? Mais quelles vacances ?
Il faut bien l’avouer, le bilan de ce mois d’aout est un peu déprimant. Si en juillet, nous avions espoir d’un mieux de cette crise du COVID19 pour envisager oublier les vacances annulées en Écosse et partir en dernière minute quelque part, les mesures resserrées et l’évolution chez nos pays voisins ne nous ont pas vraiment offert d’opportunité d’aller voir ailleurs. Comment imaginer des vacances à l’étranger avec 4 enfants sans visites, balades dans les villages, pauses sur une terrasses et après-midi piscine… Si j’avais bien commencé au début des vacances à rassembler quelques idées pour organiser des « vacances à la belge », les mêmes contraintes sont venues se glisser dans l’équation à l’heure où notre gouvernement craignait l’arrivée d’une seconde vague. Payer le prix fort pour un parc comme Pairi Daisa sans pouvoir en profiter, en jonglant avec le masque, éviter les pauses WC, plaine de jeux et l’étape au restaurant… Nos deux mois de vacances se sont donc réduits au jardin, balades dans les bois pour promener madame Padmé, quelques barbecues entre amis et beaucoup d’heures dans la piscine pour les enfants !
Saut dans le temps à l’époque de la bagarre entre le plombier de Mario et le hérisson de Sonic ! Comme le raconte William Audureau dans son excellent livre traitant des mascottes de JV, le jeu de plateforme est en plein essor et chacun cherche son animal fétiche qui mettra en avant son identité. Lézard, chauve souris, éléphant, tout y passe sur console, comme sur ordinateur ! Car oui, comme je vous l’ai déjà raconté, à cet époque je dispose non pas d’une console de jeu, mais bien d’un ordinateur enfin équipé de la couleur et du son… Et aujourd’hui, j’aimerais ressortir quelques vieux dossiers pour vous parler de Skunny, un écureuil belge à la conquête du Far Ouest !
Oh, les aventures de Skunny sont loin d’être des jeux à posséder ou même à avoir un jour tester. L’animation est médiocre et notre rongeur répond très mal tant au clavier qu’au joystick. Cependant pour l’époque, Skunny offrait quelques arguments pour se faire remarquer ! Un prix très bas, l’éxploitation de 256 couleurs de la carte VGA avec scrolling parallax et des sons digitalisés pour peux que vous disposiez d’une carte Sound Blaster. Sur la jaquette, parmi les divers jeux Shareware vendu chez GB, Skunny the wildwest semblait bien sympa et surtout débarquait de nul part ! Jamais entendu parlé dans le Joystick ou le GEN4, enfin une version PC de Mr Nutz m’étais-je dis !
Et oui, en 1993 du haut de mes 15 ans, je n’ai jamais regardé les grandes boites de jeux vidéo dans les magasins. Je ne jure alors que par les Sharewares, ces disquettes vendues pour quelques billets, soit l’équivalent aujourd’hui de 5€, qui renferment quelques trésors venus des Etats Unis, des jeux très proches des consoles de mes amis. Si les pépites ne sont pas rares de Keen Commander à Halloween Harry en passant par Duke Nukem, Bio Menace, Raptor ou encore Highway Hunter, il faudra bien admettre que le résultat de Skunny n’était évidemment pas là hauteur, des saut difficiles, des ennemis qui ne cessent de revenir, et puis diable attraper tous ces maudits moutons était quasi impossible à réussir, même si l’on n’avait eu aucun ennemi à combattre.
Skunny the Wild West – PC MS-DOS (Copysoft, 1993)
Skunny aura incarné dans ma vie de joueur le « mauvais jeux » par excellence, c’est vrai. Et alors que mon frère et moi rêvions alors d’être créateurs de jeux-vidéo, c’était un bon outil de ce qu’il ne fallait pas faire. Au fond, pas si simple, nos premières créations : les séries Badman et Blork soufrèrent également d’un moteur rendant le gameplay difficile…
Ok, il y a les jeux qui vous motivent à les imiter, puis il y a les jeux qui vous motivent à faire mieux qu’eux pour prouver que c’est faisable. D’aussi loin que ça remonte, Skunny in the Wild West appartient à cette deuxième catégorie. Alors qu’on rêvait de pouvoir faire nos preuves sur Super Nintendo dans Bubsy, mon frangin ramène une diskette du supermarché avec la version shareware de Skunny. Une sorte de Mr Nutz pour PC ? (Once upon a Skunny, à lire sur le Blog de Bilou)
Pourtant, bien des années plus tard, c’est avec un étonnement particulier que je découvre dans une vidéo de Dos Nostalgia qu’en réalité, Skunny avait pris naissance chez nous, en Belgique ! Alors que nous gamins créions que ce que nous imaginions presque être la première équipe de créateur de jeux vidéo belges : P.P.P. Team Software, en réalité de vrais acteurs du jeu vidéo existait déjà comme Art & Magic installé dans le bassin liégeois ou encore l’équipe qui nous intéresse aujourd’hui : Copysoft, située à Bruxelles, comme on peut le retrouver en fouillant dans les fichiers .TXT
Nous sommes en 2016 quand je fais cette découverte et, à l’image de Florent Gorges, je me sens de devoir me lancer dans un article d’investigation vidéoludique sur les traces de Philippe Mercier, le programmeur des différents aventures de Skunny qui verront le jour chez nous en Belgique pour être diffusé sous le format Shareware de l’autre côté du globe ! Que deviendra l’équipe belge après son dernier Skunny ? Seront-ils impliqué dans d’autres équipes et projets.
Edisys lance donc ses premiers jeux sous le label Copysoft, puis par la suite sous le nom de Magic Touch. Le moteur de jeux utilisés et conçu par l’équipe belge s’appelle le Super Helix Engine et il semble que l’équipe avait pour intention d’en vendre la licence d’exploitation à d’autres équipes. A l’époque de mes investigations, le site Copysoft.com était encore existant.
Ce « retour de l’épidémie » m’étouffe. Je commençais tout juste à faire mes courses derrière mon masque sans le stress des derniers mois, les enfants étaient partis au camp, j’imaginais sortir un peu, un parc animalier, un musée,… peut-être prendre la poudre d’escampette au mois d’aout… Et puis bardaf… ce voile anxiogène retombe sur nous.
Comment interpreter la situation, entre les inquiets, les politiciens, les complotistes, les média à clic, les cartes blanches, les bons samaritains, les amis, la famille… Que pensez de tout cela ?
De l’autre coté de l’Atlantique, les America’s Frontline Doctors cherchent à laisser leur message pendant que Google, Facebook et Twitter tentent de les museler… à raison probablement.
« On confond pandémie avec menace mortelle » (carte blanche)
Chez nous, de manière plus diplomate, on peut lire cette carte blanche dans Le Vif
(…) La culpabilisation abusive et généralisée de la population rendue à tort responsable d’une épouvantable peste imaginaire muant les enfants fréquentant les grands-parents en assassins potentiels. La disparition du sourire. La disparition de la confiance. La disparition des manifestations de l’empathie, de la solidarité, de l’amitié, de l’amour. La disparition de la communication autre que par l’ersatz sans substance des écrans. Qu’on peut apprécier, mais seulement (comme tout ersatz) faute de mieux. (Une carte blanche à lire sur Le Vif)
Sans accepter l’idée d’inutilité de choix faits, je lui préfère ce ton plus ouvert à la réflexion personnelle que par exemple la « Contribution Externe » publiée ce matin dans La Libre. Je n’aime guère ce genre de dossier qui n’exposent plus des faits, ni des hypothèses mesurées, mais juste du blogging mis en avant par un source que je considère « fiable ».
Mais ce n’est pas le seul motif pour lequel les virocrates me « saoulent grave ». N’êtes-vous pas vous aussi fatigué de ces espèces de Saint-Nicolas de pacotille venues nous expliquer d’un ton condescendant qu’il faut bien être sage… pardon : « appliquer les gestes barrières » ; que nous ne nous sommes pas comportés comme il le faut ces dernières semaines ; que Maman Sophie aurait dû nous punir plus fort ; que Sinterklaas alias Marc Van Ranst est « fier de nous » parce que nous avons été tranquilles à Pâques, et j’en passe … S’il y a bien une chose que je ne supporte pas, c’est qu’on s’adresse à moi comme à un gosse. J’ai en effet la faiblesse de penser qu’à force de s’adresser à ses concitoyens sur un ton mi-doucereux, mi-réprobateur comme on le ferait à un petit garçon, ceux-ci finissent par se comporter comme tels. (Un sujet à lire dans La Libre)
On peut se rendre compte ainsi qu’il devient difficile de garder la situation sous contrôle tant l’idée de virocrate s’immisce dans les esprits… Pour ma part, j’avale a chique, je n’ai pas encore d’avis… je ne peux juste que me dire que je nous pas Noël plus aisé que l’été, et cela, je vous avoue que cela me déprime grandement ! Je n’ai déjà plus très envie d’enchainer les soirées et barbecue, de chercher des activités à faire tout près de chez nous.
La semaine dernière, à quelques jours du retour en arrière, j’avais poussé jusqu’à faire quelques achats chez IKEA,… aux Pays-Bas ! Une histoire d’armoires blanches dont la production en Belgique n’est plus assurée, mais dont je pouvais encore trouver 20 pièces à 1 heure de route. Allé, ça me fera une petite sortie ! Je vais même voire des moulins si je passe sur l’une ou l’autre petites routes. Si j’ai bien ramené mes 20 armoires à bon port. J’ai tout de même été surpris de constater sur place que j’étais le seul à porter un masque dans un magasin pourtant organisé en mode COVID#19 de manière très similaire à chez nous.
Je me confortais encore dans la lecture d’un billet de Bernard Rentier, ancien recteur à l’Université de Liège, qui expliquait entre autre que la lecture des statistiques et des tests présentées par les média donnait une image probablement disproportionnée de la gestion de la crise.
Il est vraiment indispensable d’arrêter d’exprimer les résultats des tests de la #COVID_19 en ‘nombre de nouveaux cas’ mais plutôt en un rapport ‘nombre de tests positifs / nombre de tests réalisés’. Et de toujours préciser la proportion des positifs asymptomatiques et symptomatiques légers. (Un billet à lire sur le Blog Ouvertures Immédiates)
Bon, sur ce, je vais me déconcentrer sur la recherche Neowise dans le ciel, surveiller les guêpes qui s’incrustent dans mon jardin, chercher par où s’échappe le chien, rallumer la chaudière qui s’est encore bloquée et tuer des zombies…
Ma collection de petites Micro Machines grandit doucement, mais aura évidemment souffert de la crise, pas de brocante cette année ! Je prends donc quelques moments pour continuer à identifier les modèles trouvés aux fils des années.
Ce travail de petites fourmis, s’est compliqué depuis la disparition de l’ancien site web d’archive Micro Machines Worlds l’année dernière. Sur le site Micro Machine Muséum, on peut retrouver les différents modèles de petites voitures miniatures sans pouvoir en identifier l’année et la série. Dans un style plus visuel, Tim Smith s’était lancé dans son projet Micro But Many en photographiant les modèles les plus originaux, les plus rares, les plus beaux… Son site est très réussi, mais n’est pas le plus efficace pour faire des recherches. Entre temps, ce dernier vient d’éditer un livre chez BitmapBook qui semble magnifique de près de 400 pages ! Tim dispose d’un nombre impressionnant d’éléments rares et exclusifs au monde des Micro Machines, ce qui lance parfois certains débat brulant parmi les autres collectionneurs…
Le nouveau site de Joe Scheppe, une mine d’or pour identifier mes Micro Machines
Avec une approche bien différente, Joe Scheppe de son coté vient de partager son tout nouveau site internet qui reprend, en tachant d’être le plus précis, les différentes séries de Micro Machines sorties aux fils des années depuis 1987. Joe avait déjà pu m’aider à identifier certains modèles, avec l’aide d’autres collectionneurs, mais avec son site web, j’ai pu grandement avancer seul. Si bien évidemment, les modèles de ma collection ne sont pas ceux que j’avais étant gamin, je constate malgré tout que ceux que je trouve en Belgique sont parfois assez rares dans les séries originales américaines. Ce sont le plus souvent des modèles des années 1988 et 1989 que l’on retrouve chez nous dont ceux qui étaient un temps offert en cadeau dans les pompes Texaco !
Moi je souviens que mon paternel m’avait ramené un Jeep noire !
Les Micro Machines offertes en cadeau chez Texaco en Belgique – Merci à Thomas Bodson pour cette trouvaille.
Enfin, depuis le début du mois, les petites Micro Machines ont recommencé à envahir les magasins, outre-Atlantique tout du moins, où les premiers nouveaux modèles sont disponibles en exclusivité dans les WallMart.