Archives de
Tag: batterie

Cyborgelis

Cyborgelis

Il y a 20 ans, en septembre 1998, je terminais le 4° album de musique de Cyborg Jeff : Eyes Dreams. Finalisé avec mon ami Valentin Boigelot, cet album se découpait alors en deux parties, l’une dans un style Dance Trance et l’autre, une sélection de titres très différents sous le nom de « Cyborgelis ».

Ces titres beaucoup plus mélodiques étaient une nouvelle étape dans ma création musicale. Ces musiques reflètent au fond parfaitement le Cyborg Jeff de cette époque avec des œuvres construites autour de mon approfondissement de ce que mon Synthé Roland E68 pouvait m’offrir comme ouverture musicale, construites autour de ma découverte d’autres univers musicaux durant cette première année à l’Institut des Arts de Diffusions ainsi que l’influence de mon colloc’ pianiste Didier Rombauts, et enfin des œuvres construites atour de ma découverte du monde de la Demmoscène aux travers des magasines PC Fun et PC Team.

Sans pour autant être marqué par les sons de synthétiseur de Vangelis, cette « autre genre », celui de ce que j’appelais la New Age était pour moi une connection à cet artiste, ce qui en a donné l’idée de ce nom « Cyborgelis » que l’on retrouvait sur la pochette originale de l’album.

Cyborg Jeff - Eyes Dreams, 1998 - Back Cover
Cyborg Jeff – Eyes Dreams, 1998 – Back Cover

A l’heure de célébrer les 20 ans de l’album Eyes Dreams, je me suis dit qu’il pourrait être plus intéressant de scinder ces deux sélections de titres en deux projets distincts… Est alors né cet album pour lequel j’ai travaillé en profondeur le remasstering de tous ces titres composés initialement avec Impulse Tracker II et mon PC Cyrix 133mhz. Vous retrouverez donc en bonus les fichiers .IT originaux.

Ce travail de remastering est plus poussé que pour les précédents albums « anniversary », j’ai en effet exporté les instruments séparément hors d’Open Modplug Tracker (merci Elmobo pour l’astuce) afin de travailler le tout dans Reaper sous les conseils avisés de Spaneo.

Parmy, Thierry et Piet - Virtual Music, 1998
Parmy, Thierry et Piet – Virtual Music, 1998

Je suis donc heureux de vous partager ce travail aujourd’hui, et de redécouvrir avec bien plus de plaisir ces petites compositions dont j’étais si fier il y a 20 ans et qui me semblait bien ternes depuis lors…

Pièce d’ouverture, Océanne 3D est probablement l’une de mes plus belles compositions dans ce genre musical, emportant celui qui l’écoute dans une histoire sonore à l’image de ce qu’aurait pu être la « Démo » en 3D que j’imaginais créer autour, afin d’avoir alors une production pour une première Demoparty. D’autres titres arrivent ensuite, toujours essentiellement construit autour de premières notes composées sur mon Synthé avant de passer à la moulinette Sound Tracker.

Cyborg Jeff - Soft Xmas
Cyborg Jeff – Soft Xmas

Parmi tous ces titres, beaucoup ont un petit goût de « Virtual ». C’était un mot que j’appréciais beaucoup à l’époque, il représentait le futur, l’avenir… mais aussi Virtual Music était le nom de mon groupe de Cover Pop de l’époque. Je puisais donc auprès de ma bande de pots des rythmes de batterie complexe avec Vivien, des loops de guitare avec Thierry et des séquences de basses mieux construites auprès de Laurent.

En route pour ce petit voyage dans le temps, n’hésitez pas à aller lire l’histoire de chacun de ces titres en commentaire sur Bandcamp… et tiens au fond… Si cette sélection Cyborgelis était à l’origine intégrée à l’album « Eyes Dreams », l’idée de remettre ensemble sur un CD ces morceaux avaient déjà été concrétisée quelques mois plus tard sur l’album de noël « Soft Xmas ».

Lire la suite Lire la suite

En route vers le futur

En route vers le futur

Afin d’éviter tout potentiel conflit de Droit d’Auteur, les images d’illustration de cette article intialement inspiré de la lecture du magazine Wapiti de septembre 2018 ne sont conservées qu’à titre privée et remplacée publiquement par des images générées par IA Gemini.

Ah, le futur, cela fait rêver quand on est enfant ! Moi je me souviens parfaitement de ce petit dossier dans mon Hello BD qui nous parlait du Futur. En l’an 2000 on mangera de la nourriture d’astronaute et surtout, on écoutera de la musique qui tiendra sur une carte de téléphone !

Il y a quelques jours, Charly m’a demandé d’accrocher dans sa chambre le dernier poster de son magazine Wapiti qui offre une vision de ce que sera une journée type dans le futur. On est bien entendu dans un magazine pour enfants, qui donne un avenir heureux et positif à toutes ces innovations, mais lorsque l’on est fan du Da Vinci moderne, Elon Musk, c’est amusant à découvrir !

Plus de voitures privées

Une Navette scolaire solaire - IA Gemini 11/2024
Une Navette scolaire solaire – IA Gemini

En 10 ans déjà, les axes liégeois ont si pas triplé au moins doublé le traffic. Sur le campus universitaire du Sart Tilman, cette rentrée est encore plus compliqué coté mobilité. Depuis un bon moment je me dis qu’un jour on finira par mettre en place une politique qui taxera tellement la voiture privée que seuls les plus nantis auront encore accès à ce produit de luxe. Moi j’imagine bien voir fleurir un concept de voiture autonome mélangeant le fonctionnement de Über et qui proposera des covoiturages à la gestion organisée depuis un Big Data Center… Difficile d’imaginer que seul les transports en commun ou les vélos électriques puissent combler les besoins de chacun… Mais nous verrons ici à Liège ce que la nouvelle ligne de Train, le futur tram.. et qui sait les projets de funiculaires offriront comme solution.

Et les voitures électriques ? Ah oui, j’aime beaucoup le défi qu’a osé Elon Musk avec les Tesla, probablement les seuls voitures de standing qui m’attirent, mais dans les faits… leurs fournir de l’énergie n’est qu’une manière de contourner le problème de pollution… A moins que des panneaux solaires sur le toit ne suffisent à leur fournir de l’énergie… Tiens, les Pays-Bas n’envisageaient-ils  pas de construire des routes solaires ? Ceci dit, c’est écologique la production et le remplacement des panneaux solaires et batteries produites actuellement ?

Voitures volantes, intelligentes, Hyperloop ou moto du futur

Lire la suite Lire la suite

Mode Expert sur mon robot Gardena

Mode Expert sur mon robot Gardena

Voilà 3 ans que j’ai installé un robot tondeuse Gardena dans mon jardin sous les bons conseils de mon ami Santo. Diable que cela change la vie de ne pas avoir à être au taquet pour tondre la pelouse, ramasser les herbes… Surtout lorsque l’on a des Weekends si chargés. Jusqu’ici ce modèle de seconde main avait été plutôt efficace et ce malgré un jardin un peu compliqué et en pente. Néanmoins, j’avais eu besoin il y a deux ans de le faire passer par un entretient, mise à jour firmware et changement de lame que j’avais trouvé trop couteux à mon gout… J’ai donc acheté des lames sur Amazon l’été dernier pour un prix dérisoire, cependant depuis début mai, mon brave mouton ne travaille plus de manière efficace et je le retrouve souvent à la recherche de sa base de recharge. Problème de batterie ?

Je dois bien admettre que je n’avais pas envie de simplement amener ce dernier chez le réparateur pour m’entendre dire que cela me coutera… trop cher. Il faut dire que le changement de batterie à 189€ hors main d’oeuvre de Samsung pour son robot ménager versus une batterie à 29€ sur Amazon m’avait convaincu que je pouvais peut-être me débrouiller par moi-même.

Après quelques recherche sur le net, j’ai repéré où se trouvait d’une part la batterie de mon Gardena R70i ainsi que l’accès à la prise USB. Dans un premier temps, vérifier s’il n’y pas de mise à jour à faire du firmware avant de pousser plus loin l’enquête. Un petit soft à télécharger sur le site de Gardena et je sais donc que mon appareil est bien à jour, il n’y a plus eu de nouveau firmware depuis 2014.

Et la batterie ? Les avis pour les batteries sur Amazon sur ce modèle ne sont pas vraiment concluant pour des modèles coutant entre 39 et 56€ hors transport. Alors comment être certain que le problème est bien lié à la batterie, même si beaucoup d’élément me porte à le croire…

Activer le mode Expert.

Lire la suite Lire la suite

Navibot : Erreur C01

Navibot : Erreur C01

Voilà un peu plus de 4 ans que nous avons accueilli un scarabée dans notre maison. Ce petit robot domestique s’occupe de faire un peu de ménage de manière plus ou moins efficace. Il n’est certes pas aussi précis que lorsque je passe l’aspirateur pour ramasser les crasses des enfants, mais il optimise malgré tout la gestion du quotidien.

Néanmoins, il y a 6 mois, je devais bien constaté que son temps de travail était de plus en plus court. Batterie en fin de vie. Quelques échanges avec Samsung m’apprenait que le coût d’une nouvelle batterie était de 169€ minimum. Pour appareil d’une valeur de 400€ et déjà ancien, c’est salé ! Mon ami Santo m’avait alors recommandé de chercher un modèle « générique » sur Internet et effectivement, j’avais pu trouver une batterie pour moins de 40€ fdp in !

Depuis le mois mars, voilà que le Scarabée commence à nouveau à montrer des signes de fatigue. Le remplacement de la batterie avait pu lui redonner un peu d’air mais, depuis quelques semaines, le code C01 se présente de manière de plus en plus répétée. En général il apparaît une première fois au bout de 10 minutes de travail, puis se répète au bout de quelques secondes. Après une petite recherche sur les forums, il semble bien que ce symptôme soit le signe le plus caractéristique de fin de vie du robot de Samsung, à savoir lié à la surchauffe du moteur de la brosse principale.

De manière générale le Samsung Navibot SR8855 est plutôt bien conçu pour être démonté et nettoyé (cf le site ifixit), mais l’accès à ce petit moteur a semble-t-il été oublié. Le problème serait pourtant que la courroie qui entraîne la brosse se retrouve fortement encrassée, ce qui fini par faire forcer le moteur et donc le mettre en sécurité de surchauffe.

Google Loop of the Death

Google Loop of the Death

Caramba, voilà qu’à la veille de la Saint Valentin, mon précieux Google Nexus 5X m’abandonne tristement ! Smartphone de la gamme Google conçu par LG fin 2015, il m’accompagnait au quotidien depuis l’été 2016. Choisir un Smartphone est pour moi un choix cornélien, car j’apporte beaucoup d’importance à la qualité des photos qu’il peut m’offrir. Depuis la génération Nexus 4, les téléphones Google ont un argument de poids, ils sont les seuls à pouvoir bénéficier de l’application Google Camera qui pallie de manière logicielle aux carences des petits capteurs qui équipes les smartphones. Déjà le Nexus 5 et son capteur 8MP faisait de belles choses, le capteur 12,3MP du Nexus 5x et la technologie Google HDR+ pouvait rivaliser avec certaines photos réalisées avec du matériel semi-pro : image lumineuses, peu de bruit et mise au point efficace.

Il me faut me rendre à l’évidence, mon Nexus 5x semble rencontrer les symptômes décrits comme ‘Google Loop of the Death ». Le système Androïd ne parvient pas à démarrer et je ne peux non plus atteindre le mode Recovery. L’écran Google apparaissant en boucle jusqu’à l’épuisement de la batterie. Impossible donc d’envisager un Soft Reset ou un Hard Reset, je suis donc obliger de le renvoyer en réparation… pour combien de temps ?

Bon, les Geeks de niveau 56 peuvent toujours se tenter dans ce genre de manipulation, mais moi, je ne peux pas prendre des heures à tenter ce genre de choses  : https://www.xda-developers.com/nexus-5x-bootloop-fix-boot-phone/ d’autant que la cause du problème serait l’usure par surchauffe du processeur Snapdragon 808, ce qui impliquerait dès lors également une réparation physique de ce genre : https://hackaday.com/2017/03/21/fix-a-brick-fighting-the-nexus-5x-bootloop/

En effet, je trouvais que mon Nexus 5X chauffait un peu plus que d’habitude ces derniers temps… Celui de madame semble d’ailleurs montrer des signes avant coureur d’un problème similaire : lenteur, surchauffe…

Lire la suite Lire la suite