En tant que photographe, j’ai longtemps eu un œil critique sur cette manie qui se développait depuis quelques années autour des photos réalisées avec un Smartphone, cette mode de la photo iPhone, Instantgram et compagnie était assez irritante quand on travaille avec un bon reflex pro, des objectifs, le tout en mode manuel… Néanmoins, mon Smartphone évoluant, j’ai fini par apprécier toute une série d’aspects à cela et l’achat de mon dernier terminal, le Google Nexus 5 était notamment dicté par la volonté de disposer d’un appareil offrant une bonne qualité d’image.
Je n’ai jamais eu l’occasion de tester la qualité photo des derniers modèles Samsung et Apple, mais le Nexus 5 offre pour moi de très bons résultats. En condition intérieure, j’arrive régulièrement à avoir une photo nette et offrant suffisamment de contraste, même lorsque je prends en photo les enfants qui sont évidemment très mobiles. Si le Reflex a l’avantage d’être rapide pour immortaliser l’instant, mon Smartphone est lui toujours sous la main et Léger en poche.
Bien entendu, je n’ai pas la qualité d’image que m’offre la 30aine de pixels du D800, ni la gestion de la luminosité possible avec mon D4 ou la profondeur de champ offerte par mon 35mm F1.4, c’est vrai, mais les options telles que le Focus 3D et les options de retouches poussées directement sur mon téléphone Android permettent de combler d’une certaine manière ce handicap avec un peu de créativité.
Enfin, dernier avantage certain, je peux directement exploiter ma photo, soit via mon Smartphone, soit depuis une de mes machines où les photos sont automatiquement synchronisées.
Bref, je vous laisse quelques jolis souvenirs réalisés ces derniers mois avec mon Nexus 5 !
Et voilà la Belgique en route pour les quarts de final de la FIFA World Cup, c’est un évènement… un peu comme en 1999 lorsque nous allions vivre une éclipse totale du soleil !! Alors bien entendu, il y a tous les fans de ballons ronds qui jongleront entre la dernière mouture de FIFA et leur écran géant… et il y a les autres, ceux qui vont un peu devoir subir la Red Devils mania !
Et bien, j’ai quelque chose à leur proposer, histoire de se mettre un peu dans l’ambiance de manière décalée ! Sortez votre smarpthone ou votre tablette, Motion Twin, un petit studio Indie français vous propose un petit jeu bien fun : Uppercup Football, son premier dans le mode du Mobile. Un mélange entre Sensible Soccer, Worms et Speed Ball, … le tout sur une bande son INOUBLIABLE signée Elmobo (Moby/Frédéric Motte), un vieux de la veille sur Amiga, auteur notamment des musiques de Fury of the Furries !
Bref après avoir chanté « Baba, le ballon, baba le ballon » pendant 2 jours, j’ai fini par installer le jeu sur mon Smartphone et une semaine plus tard sur ma tablette quand celui-ci fut ENFIN disponible sur le store d’Apple ! Et je peux vous le dire, il n’y pas que la musique qui est bien chouette ! Le concept du jeu est vraiment bien foutu. L’idée de la petite équipe de Motion Twin n’est évidemment pas de réaliser ici un jeu de Football réaliste, mais bien de créer de nouveaux codes de gameplay autour d’un jeu de ballon, pas toujours rond !
Une première campagne vous accompagnera dans la découverte du jeu, il faut bien sûr marquer des goals dans le camp adverse, et pour se faire, le jeu se déroule en deux phases types. Si vous avez le ballon au bout du pied, une flèche tourne autour de votre personnage. Appuyez sur la zone tactile d’action de votre terminal plus ou moins longtemps et vous shooterez alors dans cette direction avec plus ou moins d’effet. Si c’est l’adversaire qui a la balle, vous reproduirez le même genre de mouvement, mais cette fois pour déplacer votre petit joueur dans la direction choisie de manière plus ou moins proche de l’adversaire. Simple comme un jeu de ver de terre, et rudement addictif !
Avec son style Pixel Art qui me rappelle un peu le World Cup à la sauce Kunio-Kun (à la sauce Double Dragon si vous n’êtes pas un lecteur Pix n Love averti) auquel je jouais sur GameBoy quand j’étais gamin, Uppercup Football propose bien plus qu’un simple jeu de football aux commandes simplifiées. Tout d’abord, il faudra non pas gagner un match, mais inscrire un nombre de buts bien précis, il faudra surtout parcourir des terrains remplis d’obstacles. Des flaques d’eau, un vent important ou … des mines explosives ! Vous avouerez que cela ajoute un certain piment à l’action ! J’ajouterais, gare aux tacles trop agressif ! Si l’arbitre sort le carton rouge, votre joueur devra poursuivre le match avec… un sac en papier sur la tête !
Sur ce, je ne peux que vous inviter à installer ce petit jeu gratuit, oh combien sympathique, maintenant disponible sur diverses plateformes mobiles !
Illustration issue du trailer de Facebook Home, 2013
Pour l’heure, le marché du Smartphone semble se refermer à l’écosystème iOS, Android et Windows Phone… Facebook se tente néanmoins à se faire une petite place avec Facebook Home, une surcouche qui vient prendre le contrôle de votre Smartphone avec parfois bien plus de réussite que cet Android 4 vieillissant. J’ai testé ce dernier sur le téléphone de madame avec plus ou moins d’intérêt, mais je l’évite sur le mien…
Facebook s’est longtemps laissé distancer par Google, et n’a jusqu’à présent pas réussi à diversifier ses activités. Difficile de lancer un nouveau système d’exploitation pour smartphone par exemple… Il existe bien l’application Android Facebook, mais rien d’aussi complet que ce que peut proposer Google avec Android. Mais Facebook semble s’être réveillé et devrait annoncer demain une nouvelle application ne permettant pas seulement d’accéder au réseau social, ni d’envoyer l’équivalent de SMS ou de passer des appels, mais bien un logiciel prenant la place de l’écran d’accueil sur votre téléphone… Baptisé Facebook Home, le lanceur d’applications du réseau social annonce la diversification de Facebook dans le monde des nouvelles technologies et devrait lui accorder une place bien plus importante au sein des smartphones. (Un article à lire sur Nikopik)
Sorti en avril dernier, Home se concentre donc à optimiser l’écran d’accueil de votre Smartphone pour y mettre l’éco-système de Facebook en avant avec parfois des pertes importantes sur d’autres fonctionnalité de votre Smartphone… Sur certains modèles, cela est pénalisant, mais sur d’autres il rend un peu moins rigide votre téléphone.
Facebook Home se présente sous la forme d’une surcouche à Android, un peu comme TouchWiz, Sense ou encore TimeScape. Vos applications et vos contenus sont toujours là. Mais l’habillage ainsi que l’interface utilisateur autour de l’utilisation du réseau social sur votre smartphone changent du tout au tout. Sur l’écran d’accueil, vous avez droit aux derniers statuts, liens et photos en date, le tout sans déverrouillage. D’un point de vue esthétique, l’interface est plutôt réussie, les photos sont mises en valeur. De même, elle s’avère assez pratique à utiliser. Tapez deux fois du doigt sur une actualité pour la “liker” ou la commenter. Pour passer d’une actualité à l’autre, il suffit de faire glisser les actualités. De même, pour déverrouiller votre téléphone, il suffit de faire glisser votre photo de profil, tout comme pour accéder rapidement à Messenger… L’écran d’accueil se dote d’un design épuré qui donne une très bonne première impression. Mais malheureusement, les choses se gâtent bien vite. (A lire sur le Journal du Geek)
Depuis le début de l’année, je garde à l’oeil le remplacement du Nokia sous Windows Phone de madame. Rien à faire, l’éco système de Microsoft peine à convaincre et j’aimerais donc trouver un petit smartphone réussi, rose et sous Androïd. L’entreprise française Wiko avait il y a peu annoncé l’arrivé du Wiko Cink Slim qui semblait être adapté et mis en test chez Les Numériques.
Wiko, jeune constructeur français qui agit en faveur de la démocratisation des téléphones double SIM, revient à la charge avec un smartphone vendu sans abonnement au prix agressif de 139 euros ! À ce tarif-là, on imagine de suite un terminal au comportement médiocre, peu réactif, un produit mal fini, voire carrément cheap. Pourtant, à la lecture de la fiche technique, on révise rapidement ses préjugés. Voyez par vous-même (…) (Un test à lire sur Les Numériques)
Je m’étais donc orienté sur ce modèle il y a quelques semaines, mais j’ai assez vite été déçu tant de la qualité du produit que de l’entreprise « »française » ».
Ce n’est que quelques jours plus tard d’ailleurs que l’on commençait à en savoir plus sur « Qui se cache derrière Wiko ? »
Wiko est une entreprise qui n’a même pas deux ans d’existence. Basée à Marseille, cette petite structure a rapidement été la star des distributeurs pures-players web. Cdiscount, LDLC, RueDuCommerce, Materiel.net… Les smartphones Wiko se sont très bien vendus et ont surtout réussi à convaincre jusqu’aux utilisateurs avancés. Nous observons Wiko depuis le début, et nous n’avons jamais vu une telle montée en puissance d’une marque de téléphonie. Qui se cache derrière Wiko ? (Un reportage de FranDroid)
La tâche se montre de plus en plus compliquée pour trouver un bon smartphone, pas une iPhone, pas un Samsung et dans un budget réaliste. Divers constructeurs exotiques voyant le jour (Lire Jolla, le smartphone que personne n’attendait) ou HTC, l’entreprise qui a conçu mon actuelle Smartphone qui semble de plus en plus sombrer (Lire : HTC, Panique à bord)
Depuis plusieurs mois, je suis avec intérêt les Smartphones à prix très compétitifs de la marque française Wiko. Il est vrai que leur produit phare, le Wiko Cink Peaks, est plus qu’accrocheur, un téléphone double core aux caractéristiques très proche de l’iPhone, le tout pour 180eur et une rawette et la dernière version d’Android.
Quelques semaines avant la Fête des mères, madame me fait savoir que « oui tout compte fait, elle ne serait pas contre remplacer son actuel téléphone ». Il est vrai qu’elle n’a jamais été emballée par son Sony XPeria X8, et moi non plus. En tâchant de lui trouver quelques choses de correct et de coloré (ce qui n’est guère facile), je suis tombé sur le tout nouveau Wiko Cink+ décliné en rose.
Sorti début avril, celui-ci se présente comme un modèle équipé du processeur du Cink Peaks (Dual Core donc) mais à 101eur à peine chez LDLC. Difficile de lui tenir tête.
La sauce rétro commence à prendre. Si j’ai la chance d’avoir trouvé NES, Super Nintendo, Megadrive ou Game Boy juste avant que cela ne se transforme en mode, on commence à voir émerger divers projets dans cet esprit avec notamment la société Leikki, qui après avoir remis au gout du jour de vieux téléphone Nokia, propose des consoles Super Nintendo et Game Boy Color renettoyées et repeintes… mais à un tarif encore un peu salé, soit 140€ pour une SNES ou 80€ pour la GameBoy Color… Quand je pense que j’ai acheté la mienne 5€ il y a quelques mois !
En réalité, c’est Lekki qui sort une version remasterisée de la console culte de Nintendo. Après s’être attaqué aux téléphones, la firme passe maintenant aux consoles, avec cette SNES repensée et assez réussie. Lekki propose la console en 4 couleurs : jaune, vert, bleu et orange, pour un look vintage kitch à souhait. Vendue dès aujourd’hui au prix de 140 €, la Super Nintendo version Lekki est livrée avec une manette et le jeu culte Super Mario World. Elle est disponible sur le site officiel ou dans les boutiques partenaires. (A lire dans le Journal du Geek)
J’ai également constaté que la vague rétro vibrait toujours sur Commodore 64. En effet, l’entreprise RGDC encourage et édite la création de nouveaux jeux pour le mythique micro-ordinateur, sur port cartouche ! C’est le cas de Get’Em DX, un genre de Pacman like qui me fait grandement penser à notre projet de Slurp ‘n Burp que mon frangin et moi avions en tête à la fin des années 90.
D’ailleurs, c’est assez amusant, mais je suis également tombé sur Chompston qui dans le même esprit, lui dispo sur PC gratuitement. On cette fois dans un mélange entre Bomberman et Pacman !
Dans mes vagabondages sur le net, je suis tombé sur l’un des jeux les plus beaux jeux GB, mais également très difficile à se procurer : Trip World. Le jeu est d’autant plus étonnant qu’il n’y a pas réellement d’ennemis…
Développé par Sunsoft en l’an de grâce 1992, Trip World est à première vue un petit jeu de plate-forme comme il y en a beaucoup (trop ?) sur game boy. Certes c’est super beau vu les limites du support, rien que le premier écran en jette un max je trouve, mais si on se contente des screenshots difficile de déceler le côté « expérimental », voire franchement culotté de ce qui semble être un petit jeu pour collégienne fan de Hello Kitty. (…) Contrairement à 99,9% des jeux de plate-forme depuis Mario, Trip World ne vous jette pas dans un environnement hostile : la plupart des animaux que vous croiserez ne sont tout simplement pas agressifs, et vous ne prendrez jamais de dégât par simple contact et ce même contre les boss. En fait tant que vous ne les attaquez pas la majorité se contenteront de se balader en vous poussant gentiment (ce qui peut toutefois être dangereux s’ils vous poussent dans une fosse remplie de piques…). Vous pouvez même les utiliser par exemple pour atteindre un bonus inaccessible. (Un article à lire ici)
Si difficile à se procurer, la solution pouvant alors nous orienter vers l’émulation ! Et justement Nikopik sur son blog nous présente RetroArch, une application Android qui permet d’émuler à peu près toutes les veilles consoles sur son smartphone !
Vous avez dépensé des sommes folles en piécettes sur les bornes d’arcade, passé des heures à vous user les pouces sur Nes, Master System, Megadrive, PC Engine, Super Nintendo, Playstation 1, et vous avez joué dans les transports sur Gameboy, Color et Advance, Neo Geo Pocket et Wonderswan ? Difficile de trimbaler une pareille collection de rétrogaming avec vous pour que vous puissiez y jouer n’importe où n’est-ce pas ? Et bien avec le multi-émulateur que je vais vous présenter, vous allez pouvoir bénéficier de toutes ses consoles et ses bornes d’arcade directement dans votre poche si vous avez un smartphone Android. ( A lire sur Nikopik)