Mee-Kanik… il y a 30 ans
Pour être cool, je faisais des Dance Mix sur K7 sous le pseudo de Mee Kanik !
Pour être cool, je faisais des Dance Mix sur K7 sous le pseudo de Mee Kanik !
Je pensais écrire ce petit coup de gueule avec un peu moins de mauvaise humeur et mon bel album CD en photo… Mais malheureusement, les choses ne semblent pas aller dans le bon sens : (
Souvenez-vous, l’année dernière, l’Europe nous avait donc pondu une belle arnaque de loi afin de limiter l’importation de marchandises depuis les pays situés hors UE, entre autre tous les Alibabas et Cie chinois.
La Belgique n’avait pas tardé à mettre une stratégie en place, dès le 1 juillet 2021 ! Tout colis venant d’un pays non-membres étant donc bloqué à la douane belge et se voyant appliqué d’une taxe forfaitaire de 19€ à payer en ligne avant d’être traité !
A cette époque, un achat d’une dizaine d’Europe venant d’un site « soit-disant » Européen en juin 2021, s’était retrouvé pris en otage ! Un vêtement acheté moins de 10€ auquel on appliquait un taxe de plus du double du prix ! La Belle arnaque !
Depuis lors, je suis donc attentif à la provenance des achats fait, mais parfois, évidemment, dans l’euphorie, on oublie !
C’était le cas début mai, en voulant me faire plaisir avec le dernier CD de mon groupe québécois favoris Alfa Rococo :(
Découvrant que celui-ci était disponible sur Bandcamp, j’ai acheté le CD 10€… à cela s’ajoute la TVA canadienne et des frais de port vers la Belgique… soit 19€.
Mais, le colis se retrouve bloqué à la douane. Je vous passe d’ailleurs le fait qu’un SMS d’information arrive non pas sur mon portable mais celui d’un autre membre de la famille et que le courier papier distribué par bpost, datant du 17/05 ne m’est distribué que le 25/05.
Il me faut donc payer le plus rapidement possible les 19€ pour débloquer mon colis à la douane belge ! Soit plus que le prix du CD. Je le fais donc en ligne me 25/05. et j’attends.
15 jours, plus tard. Toujours rien. Je contacte BPost et lors de notre discussion, je me rends compte que les frais de douanes ne sont à payer que si aucune TVA n’a été payée. Hors, j’ai payé la TVA au Canada. Trop tard me répond-on. La Douane a déjà pris sa taxe, et on ne peut plus la contester !!! Mais vous pouvez vous retourner sur votre vendeur…
Ah ben je me vois bien me plaindre à mon groupe de musique, que j’avais envie de soutenir, que l’état Belge fait de l’excès de zèle et se retourne sur eux !
15 jours sont encore passés. Et toujours rien. Je reprends donc contact avec BPost. Et cette fois, on me dit directement : 1 mois… le colis n’arrivera pas, « il n’y avait pas de « tracking » et un colis sans tracking qui passe par la douane, il n’arrivera pas. Bpost n’est pas responsable dans ce cas là et la douane se dédouane, de toute manière on ne peut pas contester, c’est la faute de l’expéditeur, il devait mettre un tracking, prouver sur l’étiquette que vous aviez déjà payé la TVA… Bref, vous n’avez qu’à vous plaindre au près de l’expéditeur ! »
De fait, si l’on fouille un peu sur le site de BPost qui, quoi qu’ils en disent, est l’interface pour payer ces frais de douane, on y trouve les informations précisant que malgré le paiement des frais de douane, le colis peut rester bloqué et ne pas être livré. Il peu aussi être perdu, endommagé, mais qu’en aucun cas, les frais de douanes ne pourront être contesté !
Les coûts d’importation (TVA, droits de douane et frais administratifs douaniers) ne peuvent pas être récupérés si l’envoi est retenu à la douane belge en raison de restrictions à l’importation. Cela vaut également en cas de problèmes de livraison après un dédouanement (perte, dommage ou adresse introuvable).
Et bien moi je me plains auprès de notre gouvernement !! Très prompts à mettre en place un système de taxation sous pression au près du consommateur et incapable par ailleurs d’assurer la gestion de sa « taxe administrative ».
Tant qu’à faire, j’en profite pour râler sur ses politiciens européens qui sont tellement efficace pour pendre des décisions qui arrangent les lobbys plus que les citoyens !
Illustration — © TheSandBox
Depuis quelques mois, certains termes numériques semblent prendre de l’importance : Metavers, Cryptomonnaies, Blockchain, NFT,… Et bien que mon intérêt pour le monde du web et du multimédia soit très prégnant. Je me suis senti parfois dépassé par certains concepts que l’on annonce parfois comme « L’Internet de demain » ou encore le « Web 3.0 ».
Il y a quelque temps, j’étais intrigué par un article dans Le Vif présentant The Sandbox, un Metavers français où des terrains virtuels se vendent plusieurs millions ! À l’heure où mon fiston construit des villes entières dans Minecraft, façonne des objets, certes encore grossiers, dans Roblox et rêve de devenir Architecte. Je ne peux que faire des liens entre ce monde du futur et les métiers de demain.
Je ne vais pas répondre à toutes ses questions ici, mais c’est un peu ce qui passe alors par la tête. D’autant, que pour arriver à me créer un compte sur la plateforme, j’ai dû m’y reprendre de nombreuses fois avant de pouvoir être proche à comprendre de quoi il en retourne. Visuellement, ce que l’on en montre ressemble à un croisement entre Minecraft et 3D Dot Heroes en un peu plus « jolis » mais jouant toujours sur une approche très voxel. (Des pixels en 3D, bref, des cubes…)
Le concept lui, semble jongler sur la rareté et la nécessité d’acheter tout ce dont vous aurez besoin. Terrain, Avatar, Résidence, Objets… Bref, on touche ici à ce que l’on appelle les NFT dont on commence également à parler de plus en plus… Des œuvres (ou objets) numériques uniques
Pour rappel, un NFT (« Non Fungible Token » ou jeton non fongible) est un titre de propriété numérique, émis par une blockchain (principalement Ethereum), et associé à un actif numérique (photo, vidéo, etc.). Chaque NFT est unique et ne peut être reproduit.
Si j’ai très vite compris l’idée : Créer des objets numériques RARES et uniques pour les vendre bien cher sur lesquels l’acheteur pourra ensuite spéculer sur une plus value. Très vite se dresse devant moi l’ombre de concept de Blockchain que mon cerveau s’est refusé jusqu’ici de tenter de comprendre… puisqu’associé à la Cryptomonnaie. Là aussi un concept que j’ai bien du mal à conceptualiser de manière positive.
Les éléments se sont bien placés ces derniers jours afin de me permettre de mieux comprendre ces nouveaux concepts. Tout d’abord, un excellent dossier Objectif Metavers proposé par L’écho – En Clair auquel s’est ajoutée l’opportunité de suivre l’un des derniers cours universitaires de Bjorn-Olav Dozo autour de l’Art Numérique, dédié au NFT.
Installée dans la maison depuis 2014, la WiiU aura clairement été « La Console Familiale » durant 8 années et ce malgré l’achat d’une Nintendo Switch pour papa en 2019.
Chaque semaine depuis plusieurs années déjà, les enfants ont construit une incroyable ville en commun sur l’édition Nintendo WiiU de Minecraft mais voici près d’un an que le fiston demandait la version Switch, et je dois bien admettre que j’ai longuement ralenti la demande.
Tout d’abord, nous étions « full équipés » en manettes pour qu’ils puissent jouer tous les 4 sur la WiiU. Passer à la Switch imposait l’achat de plusieurs manettes compatibles ! De plus, restait le problème de ne pas pouvoir récupérer leurs créations,… comme s’était déjà le cas avec la version sous Windows, rapidement abandonnée après achat.
Néanmoins, une petite recherche sur le net m’avait permis de trouver de nombreux articles et tutoriels sur Youtube présentant la possibilité de pouvoir importer très simplement ses créations de la version WiiU à la version Switch… Chouette !!!
Voici la procédure (Mojang a dédié une page exprès illustrée): - Allumez votre Wii U et votre Switch, en mettant la Wii U sur la télé et la Switch en nomade, lancez le jeu sur chacune d'elles et soyez connecté(e) sur le même réseau local. - Sur Wii U, allez sur la sauvegarde désirée et appuyez sur X pour révéler les options de sauvegarde. Sélectionnez "Transférer vers la Nintendo Switch", un écran de transfert se lance. - Il se poursuivra si vous acceptez le transfert sur Switch, passez donc sur cette console. Dans l'écran de chargement des sauvegardes, appuyez sur Y : "Transférer depuis une Wii U". Confirmez et le transfert se lance alors sur les deux machines. Une fois terminé, appuyez sur OK : votre monde est à présent sur la Nintendo Switch. Source : Nintendo Everything
Mais la déception sera vite là ! Cette solution n’est possible qu’entre la version WiiU et Minecraft : Switch Edition 2017. Une version téléchargeable temporairement jusqu’à la sortie officielle le 21 juin 2018 d’un tout nouveau Minecraft pour la Switch.
As of June 21, 2018, Minecraft: Nintendo Switch Edition (2017) is no longer available for purchase from the Nintendo eShop. Existing owners can continue to play. Existing owners will be able to download this version again if needed (Help center Minecraft)
Il est pourtant possible depuis cette nouvelle édition, celle que l’on trouve maintenant sur l’eStore ou dans le commerce de pouvoir convertir les créations de l’ancienne version Switch à la nouvelle… mais plus directement depuis la WiiU !
J’ai eu beau toquer un peu partout, aucune réponse de Nintendo ou de qui que ce soit. La seule option serait de pouvoir télécharger l’ancienne version Switch 2017, ce qui ne peut être fait que depuis le compte qui avait au préalable télécharger cette version !
Je vais encore tenter de lancer une bouteille à la mer…
Enfin, après deux années à reporter notre escapade aux portes de la Camargue à cause de ce foutu virus, nous avons enfin pu prendre la route du Sud pour retrouver la vaste région du Languedoc-Roussillon que nous apprécions tant ! Le soleil était au rendez-vous et bienvenue après quelques semaines particulièrement froides et arrosées que nous venions de passés, ici en Belgique.
Se libérer l’esprit et profiter, retrouver nos amis expatriés dans le sud, et revoir tous les villages que nous avons appréciés lors de nos dernières visites, tel était le programme… Un programme néanmoins revisité, histoire de limiter un peu les frais en carburant ! Et oui, avec la crise en Ukraine, survenue quelques semaines plus tôt et l’envolée des prix de l’essence fleurtant par moment les 2€/L et déjà prés de 2000Km aller/retour, nous avons un peu moins bouger sur place que prévu
Oublions donc la grisaille du quotidien, les froides pluies belges ! Après 10 bonnes heures de route, nous voici enfin arrivés sur le vaste domaine du camping Premium Les Petits Camarguais – Yelloh Village situé à quelques minutes du Grau-du-Roi et des plages de l’Espiguette. Le soleil brille, même s’il ne fait pas encore chaud en ce début du mois d’avril, mais pas de panique ! Nous avions choisi ce camping car il propose entre autre une très chouette piscine intérieure pour les enfants, un AquaBulle bien adapté aux plus petits et qui laisse encore les plus grands s’amuser comme des fous avec les copains et copines qu’il se sont faits au Mini Club.
Très vite les 15° du premier weekend sont oubliés. Le soleil se sera invité tout au long de la semaine, la température grimpant au de là de 25°, de quoi bien profiter de l’agréable piscine chauffée et des jeux aquatiques extérieurs situés tout près de notre petit appartement.
En réalité, le camping est découpé en différent village sur une superficie assez grande. Nous nous trouvions dans le magnifique quartier du port qui propose tout un complexe assez moderne d’appartement dans un look très lounge qui offre néanmoins tout un dédale de chemins qui laisse libre court à l’imagination des enfants ! En quelques minutes nous avions donc un pied dans la piscine, l’accès au Bar / Restaurant Octopus et leurs animations, la plaine de jeux et différentes promenades non loin du port du Grau-Du-Roi.
En retrait des autres quartiers, nous pouvions donc, en cette période profiter « calmement » (avec 4 jeunes enfants, peut-on vraiment profiter calmement ; ) ) de l’endroit. En revanche, les autres quartiers où par exemple retrouver le Kid Club et l’AquaBulle nous aurons demandés un peu de marche, mais pas de quoi entacher les vacances !
Mon petit regret, ne pas avoir eu l’occasion de faire des balades en vélo. Nous avions sélectionné la région pour en profiter, mais j’ai hésité à emporter ceux des enfants… et le cout de location sur place était, pour nous 6, plus élevés que nos précédentes expériences.
Bref, un camping de standing qui nous donne envie de revenir une prochaine fois et qui fut par ailleurs un bon point de départ pour nos divers visites de la région : Aigues-Mortes, Les Saintes-Maries de la Mer, le Seaquarium du Grau-du-Roi, Sète, Montpellier, Les Beaux de Provence, Uzès,…